Animate est une enseigne spécialisée dans les anime, les mangas, les jeux vidéo et tous les produits dérivés possibles et imaginables. La première boutique a ouvert en 1983 et aujourd'hui le groupe comporte plus d'une centaine de magasins à travers tout le Japon, avec également des antennes à San Francisco, Shanghai, Taipei et Hong Kong. Dans ce contexte, Animate propose ses propres publications dont les magazines gratuits Charaby.

Je continue le tour d'horizon des nouvelles séries de l'été 2014 avec cette fois-ci Rokujyôma no Shinryakusha!?, Shônen Hollywood - Holly Stage for 49, Sabagebu!, Free! Eternal Summer, Gekkan Shôjo Nozaki-kun, Glasslip, Sword Art Online II, Zankyô no Terror Shirogane no Ishi Argevollen et Aldnoah Zero.

Suite et fin des comptes-rendus de l'édition 2014 de Japan Expo, avec, le dimanche, la conférence publique de Ryuhei Tamura, l'auteur de Beelzebub, celle d'Ippei Kuri, l'un des fondateurs du studio Tatsunoko et enfin la présentation de ses travaux par Izumi Matsumoto, l'invité d'honneur manga et créateur de Kimagure Orange Road.

Qui dit mois de juillet, dit début de nouvelles séries au Japon. J'entame leur présentation par une dizaine de titres : Majimoji Rurumo, Barakamon, Hanayamata, Futsû no Joshikôsei ga Locodol Yattemita, Rail Wars Tokyo Ghoul, Tokyo ESP, Re Hamatora, Ao Haru Ride et Akame ga Kill.

Après une vue d'ensemble du salon et du pôle culturel, j'avais abordé la vague d'invités jusqu'au vendredi matin. Le vendredi après midi, c'était au tour de Yoshiyuki Itô de tenir sa conférence publique sur la scène des 15 ans.

Le character designer de Fullmetal Alchemist a été marqué par Gundam et il a fini par suivre un cursus spécialisé dans une école d'animation. Il a été prévenu que le métier était pénible et difficile mais il a embrassé la carrière d'animateur. Le rythme de travail lui permet cependant de dormir encore au moins 7 heures par jour.

Après une vue d'ensemble du festival et des spectacles culturels via un premier article, j'aborde les invités anime manga et notamment leurs conférences.

Shoko Nakagawa, alias Shokotan, était présente à Japan Expo pendant deux jours, avec, à son programme, une conférence, un concert au Live House et des séances de dédicaces.

Pendant la rencontre avec le public, elle est revenue sur ses débuts, où tout a commencé avec son attrait pour la culture otaku depuis son enfance. Sans amis, elle s'est tournée vers internet où elle a trouvé d'autres personnes qui avaient les mêmes hobbies qu'elle alors que ce n'était pas le cas à l'école.

En débutant mes compte-rendus, j'ai la curieuse impression de commencer par la conclusion, alors que j'ai toujours autant de matériel sous la main, entre les conférences suivies, les spectacles vus et le nombre affriolant de photos que j'ai pu prendre pendant Japan Expo.

La couverture est trompeuse et l'Animage de juillet 2014 ne consacre que 5 pages à Haikyû!! la série sur le volley-ball, soit presque autant que la deuxième série de Free!, Eternal summer, qui débute à partir du 2 juillet.

Quand j'ai commencé à compléter la base des anime sur Animint, j'étais à l'affût de la moindre information que je pouvais rajouter dans la limite de mes moyens quant à la maîtrise du japonais. Les magazines Animage et Newtype comportent une rubrique consacrée aux programmes télévisés et cela rentrait tout à fait dans mes cordes de noter à quelle heure et sur quelle chaîne étaient diffusées telles ou telles séries.

Encore aujourd'hui, je me contente juste de référencer la date des premiers épisodes et quand j'y pense, la date du passage du dernier épisode.  Au tout début, j'ai mis un peu de temps à réaliser que les séries passaient sur plusieurs chaînes et pas forcément à la même heure et je ne me suis jamais habitué complètement aux diffusions qui se passent à 26h30 le mardi au lieu de marquer 2h30 du matin le mercredi.

Bonjour à tous ! Ici Gemini[1], et cette année, c'est à moi que revient la lourde mais ô combien gratifiante tâche de rédiger un compte-rendu de cette édition des Sama Awards. Première fois que je me retrouve de ce côté de la barrière, après avoir participé aux trois précédentes éditions. Et maintenant que j'ai gouté au doux métier de jury, croyez-moi, je plains mes prédécesseurs : c'est une mission de longue haleine, durant laquelle nous vivons uniquement dans l'attente de l'Article, celui qui se démarque, qui illumine notre journée, et qui nous prouve que nous avons bien fait de participer. J'attends encore.