Facebook est un site web de réseau social, où vous pouvez ouvrir votre profile et constituer un cercle d'amis et de connaissances. Le site a défrayé la chronique suite à ses légèretés prises avec les informations privées laissées par ses utilisateurs et même maintenant, il faut penser à imposer une vue limitée entre les informations personnelles et publiques, si vous ne souhaitez pas qu'un inconnu, ami d'un ami, arrivé par le biais d'un de vos réseaux, ne découvrent vos penchants olé-olé.

Le deal est d'accepter de livrer des informations plus personnelles afin d'obtenir des fonctionnalités plus fines, mais l'échange ne se fait pas forcément en votre faveur. Certes, mon sujet n'est pas d'entrer dans ce débat autour du big brother business, mais soyez en un minimum conscient, quand même. Vous trouverez suffisamment d'articles dessus, en fouinant par ailleurs.

Detective Conan fait partie des séries antédiluviennes et elle squatte depuis plus de dix ans maintenant, le même créneau du lundi à 19h30 sur la chaîne japonaise Nippon Terebi. C'est également à peu près depuis le même nombre d'années que je n'avais pas visionné un épisode de ce titre que j'avais moyennement apprécié.

L'anime a l'air de revenir à une adaptation assez fidèle du manga, qui atteint son soixantième volume. Les histoires sont généralement des enquêtes isolées qui s'étalent quelques épisodes à peine, voir un seul. Cependant, il reste la trame principale avec la mystérieuse organisation maffieuse et ses hommes en noir qui ont transformé Shinichi en Conan.

Gegege No Kitaro : Yokai Dai Undokai est un jeu tiré du richissime univers de Mizuki Shigeru, mangaka d'horreur par excellence. L'adaptation vidéoludique du célèbre Gegege No Kitaro, est un party game à la sauce Wii.

Moins riche que Doraemon, Gegege No Kitaro : Yokai Dai Undokai vous propose deux modes différents: D'abord un mode en solitaire où le but est d'effectuer trente cinq mini-jeux classés en plusieurs catégories. Ensuite, un mode party-game jouable à quatre, où l'on n'a droit en tout et pour tout qu'à une poignée d'épreuves, en rapport avec les catégories pour le mode solo.

En jetant un coup d'oeil à a couverture, vous pouvez penser que le numéro se focalise sur Gundam double zero, de la même manière que Gundam Seed n'a pas arrêté d'être mis en avant pendant deux ans.  En fait, le magazine comporte seulement un booklet sur le dernier volet en date de la saga de science fiction, avec des images extraites des épisodes et un récapitulatif complet des relations complexes qui lient les personnages.

Dans l'Animage de février, vous retrouvez les rubriques habituelles pour décrire les séries du moment, avec quelques articles sur Shagukan no Shana II, Persona Trinity Soul, Clannad, ou encore Bamboo Blade, sans oublier une revue de la fin de Genshinken 2. Dennô Coil est encore à l'honneur avec une présentation des travaux et une rencontre avec Mitsuo Iso, le réalisateur à l'origine de la série. L'interview du mois est avec Kenji Nakamura, connu pour avoir travaillé sur des titres discrets tels que Ayakashi et son spin-off, Mononoke, deux séries au style très particulier.

Nous pouvons dénoncer l'hégémonie de Google, qui accapare plus de quatre vingt dix pourcents des recherches sur la France ? chiffres de janvier 2008 sortis par Xiti ? mais l'avantage est de pouvoir cerner les comportements de l'ensemble des internautes français, en consultant les outils de prospection fournis par la société californienne.

L'un d'entre eux, Google Trends,  fournit une vision relative du volume des recherches pour un mot clé, par zone géographique et sur une période donnée. Vous pouvez remonter que jusqu'en 2004 et ajuster votre zoom au niveau d'une région française, si vous ne voulez pas être parasité dans votre analyse par les requêtes émises par d'autres pays. L'outil sert à affiner le choix des mots clés sur lesquels vous voulez positionner votre site, à supposer que vous ayez une cible de population particulière et que vous  ayez une marge de manoeuvre.

Seirei no Moribito est une série de 2007, remarquable par sa qualité technique exceptionnelle alors que ce n'est qu'une série télévisée. L'histoire relate les aventures d'une garde du corps, Balsa, qui accepte de protéger un jeune prince, victime d'une malédiction et dont la tête est mise à prix par son père, l'empereur. Même si le character design en a rebuté quelques uns et bien que son scénario manque un peu de rythme, sa bande originale a également marqué les esprits.

Il s'agit d'une nouvelle réalisation de Kenji Kawai, habitué à travailler avec le studio IG. Nous lui devons, entre autres, les bandes originales de tous les opus de Pat Labor. Avec Seirei no Moribito, le style de Kawai est moins marqué que dans Ghost in the Shell mais nous ressentons sa signature avec l'utilisation abondante des percussions.

Tout le monde connaît-il le fameux Mario Party? Eh bien essayez de transposer le principe dans un univers sans Mario mais cent pour cent anime, vous obtiendrez Doraemon Wii Himitsu Dôgu - Ô no Ketteisen!

Il s'agit donc d'un party-game dans l'univers enfantin de Doraemon. Techniquement, le jeu aurait eu plus sa place sur une Nintendo 64 et fait vraiment pâle figure face aux blockbusters des consoles de dernière génération, mais bien entendu, ce n'est pas ce qu'on exige de ce genre de jeu, quoiqu'on aurait tout de même aimé plus d'animation et plus de détails.