À l'origine, je pensais faire un article plus classique et proposer un top 10 à partir de ma collection de figurines, mais j'ai  visiblement du mal à n'en retenir que 10 alors que j'arrive beaucoup plus facilement à établir un top 4.

Les habitués sur Twitter auront repéré la similitude du #Fav4Figs avec le #4FavMangas lancé sur le réseau social par Meloku cet été. Pourquoi seulement quatre ? Tout simplement parce que nous sommes limité à attacher quatre images au maximum dans un même tweet, et il faut des images car un post illustré est plus percutant qu'un texte brut.

Voici la seconde partie de la présentation des séries diffusées cet été au Japon, avec mes impressions sur Kûsen Madôshi Kôhosei no Kyôkan, Rokka no Yûsha, Gakkô Gurashi, Rampo Kitan Game of Laplace, Prison School, Shimoneta to Iu Gainen ga Sonzai Shinai Taikutsu na Sekai, God Eater, Working!!!, Aquarion Logos, Ushio to Tora, Senki Zesshô Symphogear GX et Gatchaman Crowds insight

Pour des questions de budgets, vous pouvez vous limiter à acheter des fig prizes de faible qualité à 10€ ou bien des petits formats tels que les chibi nendoroids et les nendoroids chez Good Smile Company ou les cu-poches chez Kotobukiya, pour un prix variant de 5 à 30€ si vous ne visez pas les modèles de haut standing ou en exclusivité. En revanche, les gammes de bonne qualité à l'échelle 1/8e ou plus sont en général dans une fourchette de prix plus haute, au-delà des 50€.

Je vous propose une sélection de figurines dans ce registre, qui sont trouvables pour une somme inférieure. Vous pouvez en trouver certaines dans des boutiques françaises mais je vous renvoie vers mes articles pour commander directement sur les sites internet japonais ou via Yahoo Auctions Japan, si vous êtes tentés par l'import direct au meilleurs prix.

Bien que plusieurs séries de la saison n'aient pas encore commencé en ce début août, la plupart ont dépassé le cap des quatre épisodes diffusés, ce qui donne un peu de recul avant de donner son avis. J'entame la présentation des nouvelles séries par Overlord, Monster Musume no Iru Nichijô, Aoharu x Kikanjû, Jitsu wa Watashi wa, Akagami no Shirayuki-hime, Charlotte, Gate Jieitai Kanochi nite Kaku Tatakaeri, Classroom Crisis, Jôkamachi no Dandelion, Chaos Dragon et Gangsta.

Je conclus mes comptes rendus de Japan Expo avec la conférence publique de l'invité d'honneur manga, Ken Akamatsu, puis quelques mots sur les jeunes groupes d'idoles croisés dans les allées du festival, avant de finir par la chanteuse Azumi Inoue, connue pour avoir interprété des chansons dans les films du studio Ghibli, dont Mon Voisin Totoro.

Les interventions grand public de Ken Akamatsu ont été concentrées sur le week-end, avec des séances de dédicace, une masterclass le samedi et une conférence le dimanche. C'est à cette dernière que j'ai assisté.

En ayant une collection commencée il y a 24 mois, je manque de recul pour conclure que mes figurines sont bien conservées par rapport à quelqu'un qui en accumule depuis 10 ans ou plus. En revanche, j'ai pu voir la différence de conservation entre plusieurs vieilles occasions que j'ai achetées et sur certaines, j'ai été confronté à un problème de remise en état. Comme je préfère plutôt prévenir que guérir, j'ai glané quelques informations et conseils pour minimiser le risque d'avoir le même problème sur mes figurines à moyen terme, surtout celles qui sont neuves et de valeur. En revanche, j'ai moins d'état d'âme à malmener mes fig prizes à 7 euros.

À force d'acheter des figurines depuis deux ans, je constate que j'ai testé pas mal d'options différentes et que j'ai accumulé un peu d'expérience pour éviter les erreurs, c'est-à-dire de payer une statuette plus cher que nécessaire.

En guise de préambule, je vous invite à relire mes articles sur les achats sur les sites internet japonais et celui sur l'utilisation de Yahoo Auctions Japan. Ils détaillent quelques aspects de base, tels que le transport et la douane, et présentent un panel de moyens pour acheter au Japon depuis la France.

Si vous désirez une figurine déjà sortie depuis longtemps, vous vous tournez naturellement vers le marché de l'occasion, en lorgnant sur différents sites pour dénicher votre produit à un prix acceptable.  Ici, je m'intéresse à un exercice un peu différent avec les figurines qui ne sont pas encore sorties.

Je poursuis les comptes-rendus de Japan Expo 16e impact, avec des thèmes pour le moins hétéroclite : La conférence du mangaka Kenjiro Hata, un aperçu des défilés de cosplay et du contenu orienté culture et tradition.

Kenjiro Hata est connu en tant qu'auteur d'Hayate the Combat Butler mais son actualité est en rapport avec la série Seiyû's Life, qui vient de commencer au Japon et qui adopte le titre éponyme dont il est le dessinateur.

Pendant que Shigeru Miyamoto faisait son show avec ses collègues de Nintendo sur la scène principale, j'ai préféré suivre la conférence Sword Art Online, où étaient présents les deux auteurs du light novel, l'écrivain Reki Kawahara et l'illustrateur abec, accompagnés par leur éditeur japonais.

Ce dernier a redéfini ce qu'était un light novel en le distinguant principalement du roman à cause des illustrations mais aussi par la longueur des séries, le nombre élevé de personnages et le public ciblé, plutôt jeune.

Du 2 au 5 juillet, avait lieu Japan Expo 16e impact, dont voici le premier compte rendu d'une série d'articles à venir, à l'image des textes publiés les années précédentes.

L'édition des 15 ans avait été remarquée par son extension sur cinq jours et du schisme avec Comic Con. Cette année le rendez-vous a repris un rythme plus traditionnel, du jeudi au dimanche. Cela ne signifie pas pour autant un simple retour au statu quo  et j'ai pu noter un bon nombre d'innovations et de changements pour les visiteurs festivaliers, que je tenais à aborder ici en guise d'introduction.