Le Ghibi museum est le musée officiel ouvert en 2001 à la gloire des studios Ghibli et particulièrement des productions d'Hayao Miyazaki.  Il se situe à Mitaka, une ville de moyenne importance dans la banlieue ouest de Tôkyô. Le plus facile pour s'y rendre est de prendre le train jusqu'à Mitaka-eki, cette gare étant un n?ud ferroviaire important avec plusieurs lignes. Au moins trois d'après mes souvenirs : Chûô sen, Chûô-Sobu sen et Tozai sen. La gare ferroviaire est doublée par une gare routière et vous trouverez une navette spéciale qui peut vous conduire jusqu'au musée.

Avec ses 3776 mètres, le mont Fuji est le point culminant du Japon mais il a une image qui dépasse celle d'un simple volcan. C'est l'un des symboles du Japon, aussi bien culturel que religieux. Le sanctuaire Shintô Sengen à son sommet veille sur le repos des divinités censées fréquenter les lieux. Pendant longtemps, l'ascension a été réservée aux moines et aux pèlerins. Ce n'est qu'avec l'ère Meiji, que les coutumes se sont assouplies. La montagne a été enfin autorisée aux femmes en 1872.

Ori pour plier et kami pour papier, l'origami est l'art du pliage de papier.  Son origine remonte à loin dans le passé et il existe des traces de son utilisation au Japon, au Moyen Âge. Son emploi était alors réservé aux cérémonies religieuses, étant donné le coût élevé du papier à cette époque. Il s'est ensuite démocratisé au fil du temps et il a largement dépassé les frontières nipponnes.

Parmi les modèles classiques en origami, la grue du Japon est sans doute le plus célèbre, notamment parce qu'une légende dit qu'en pliant mille grues, vous verrez votre voeux exaucé.  Le symbol est devenu plus fort depuis l'histoire bien réelle, vécue par Sadako Sasaki. Cette petite japonaise a été irradiée par la bombe lancée sur Hiroshima et s'est mise à plier des grues en papier pour guérir.  Elle est morte à douze ans avant d'avoir pu achever ses pliages mais ses camarades  de classe  complétèrent  son travail après sa mort, pour atteindre les mille grues.  Depuis,  lorsque quelqu'un que vous aimez est gravement malade, la coutume au Japon est de plier pour lui, mille grues en papier.

Les toshikoshi soba sont des nouilles au sarrasin que les japonais mangent traditionnellement à la Saint Silvestre, juste avant minuit. Littéralement, toshikoshi signifie « qui passe l'année ».  Le plat a l'avantage d'être vite fait alors que les tous les efforts sont focalisés sur le jour du nouvel an. Les nouilles se dégustent au son du joya no kane, les cloches des temples qui sonnent pendant la nuit, jusqu'au petit matin

A l'automne, les teintes prises par les érables japonais sont sans commune mesure avec les couleurs de nos forêts françaises. Ce sont des images caractéristiques du Japon pendant une période d'une à deux semaines à peine. Cette année, le temps est resté relativement chaud, plus longtemps que d'habitude et il a fallu se rendre en montagne pour pouvoir observer des paysages de koyo au début du mois.

Vous trouvez sur la toile de nombreux sites occidentaux traitant du Japon sous toutes ses coutures. Animint vous donne un petit aperçu des anime et des mangas, tandis que d'autres s'intéressent aux diverses formes de théâtre ou à la cuisine japonaise par exemple. Question actualités, ils font difficilement le poids devant les mastodontes des sites médias de l'archipel nippon. Les vitrines web du Yomiuri Shimbun (plus de quatorze millions d'exemplaires papiers par jour!) et de l'Asahi Shimbun fourmillent d'articles et de news en japonais. Ils ont une version en anglais, une langue plus accessible que le japonais pour la majorité d'entre nous, mais cette version reste quand même légère par rapport à la version locale. La ligne éditoriale est même différente comme elle est plus tournée vers les informations internationales et notamment américaines. Les deux journaux cités ayant passé des accords  avec  le Washington Post ou le Herald Tribune par exemple. 

Le temple Kiyomizu-dera se situe dans les hauteurs de Kyoto et comportent, entre autres, deux pierres d'amour célèbres posées à même le sol et distantes  d'une vingtaine de mètres l'une de l'autre. 


Les visiteurs sont invités à effectuer la démarche suivante : Partir d'une pierre et atteindre la seconde en gardant les yeux fermés. Il est dit que ceux qui réussissent  trouveront le grand amour.

Voici un paquet envoyé depuis le Japon, qui dépasse de loin la taille des boites Quality Street.


A l'intérieur, un assortiment purement japonais, avec un sachet plastique par biscuit.


Biscuit tradionnel, de forme hexagonale  comme la boite, en référence à un temple hexagonal de Kyôtô.

Norimaki c'est peut être le nom officiel  du docteur Slump  et de sa fille Arale , mais c'est surtout un met japonais classique, à base de riz enroulé dans une feuille d'algue. Le riz est accompagné de  divers ingédients qui font  la particularité de chaque plat cuisiné.


La version maison ci-dessus est faite entre autres avec de la saucisses de Strasbourg, de l'avocat, du concombre, du surimi et du  saumon fumé.

Chaque mois, le magazine japonais Animage  traite de l'actualité des dessins animés au pays du soleil levant.  Il contient  toujours quelques posters ou autres  goodies, allant de la paire de gants blancs de  Roy Mustang  (Fullmetal Alchemist) jusqu'aux pochettes plastiques Gudam Seed.  Les numéros d'octobre et d'avril contiennent un DVD. C'est en effet au printemps et à l'automne que sortent  le plus de nouveautés et le magazine est vendu, à cette occasion, avec un DVD qui contient les bandes annonces des principales séries à venir.  Il donne ainsi un aperçu des anime intéressants à suivre, en proposant des extraits de titres pas forcément  très médiatisés, telles que Binchoutan.

Le DVD d'octobre 2005 contient également un trailer de Gin-Iro no kami no Agito (http://www.gin-iro.jp). Il s'agit du premier long métrage des studios Gonzo, dont la sortie est prévue en janvier 2006.  Le trailer sur le DVD est différent de celui actuellement en ligne sur le site.