La cour principale avec le podium sur la gauche
Pour samedi, je n'ai rien de particulier à noter, ayant raté le cosplay individuel. L'association Tsubasa n'est plus là pour organiser les activités sur le podium mais le flambeau a été repris par d'autres organisations, d'autant plus qu'une partie des présentateurs de l'année dernière se sont dévoués pour animer à nouveau les divers concours, entre deux démos de jeux vidéo.
Il y a des spectateurs avec des oreilles pointues dans le public
Je suis allé faire un tour dans l'amphithéâtre non pas pour visionner les quelques "nouveautés" sortis par Kaze mais pour assister à la conférence publique de Murata en journée. Le thème était normalement centré sur "l'utilisation de l'informatique dans les illustrations" même si les questions posées ont souvent dévié. Nous avons ainsi eu le lot d'interrogation sur un projet annulé avec Gonzo, où Murata n'a même pas eu à se fatiguant, le traducteur répondant directement, la question ayant déjà été demandée la veille. L'exercice n'est pas forcément passionnant à suivre, surtout lorsque les personnes qui interrogent se perdent dans des méandres métaphysiques de dix kilomètres et que l'invité leur répond en deux mots. Finalement, ce sont avec les questions les plus bateau, que Murata a été le plus bavard et que cela a été le plus intéressant.
Range Murata en séance de dédicaces
Le sous-sol accueille les boutiques pros et les stands amateurs, plutôt entassés au fond. C'est également là que se déroulent les dédicaces des invités.
L'une des principales attractions y est aussi le dépôt vente. Vous n'y trouvez pas forcément grand-chose mais lorsque vous tombez sur ce que vous voulez, c'est souvent une très bonne affaire. Je me souviens avoir pris l'intégralité des mangas de Kimagure Orange Road au rabais – j'aime beaucoup le titre mais vue la qualité de J'ai Lu je ne l'aurai jamais acheté autrement. Cette fois-ci, je suis tombé sur des DVDs encore sous cellophane avec le prix d'origine dessus, encore moins cher que les fonds de tiroir d'I.D.P. vendus à cinq euros le DVD Box au stand Manga Distribution.
Le sous-sol où on peut souffler au frais
De même que l'année dernière le système de bracelet, pas franchement esthétique en soirée mondaine le samedi, est quand même super pratique le dimanche pour éviter de refaire une queue aux caisses. Bonne note aussi à l'organisation pour sonder ses visiteurs sur la qualité et les défauts de la convention. La seule grosse critique que j'ai entendue jusqu'à présente est de s'y être envoyé à mourir - si si, véridique - mais, vue de loin, je n'ai pas vu d'écueils majeurs.
Murata se prépare psychologiquement à dessiner un barbapapa
Le matin, j'ai bien aimé le pseudo concours de dessins entre les deux invités. Un, cela permettait de les voir plutôt qu'ils soient confinés dans une salle ou derrière une table en train de signer et dédicacer à la chaîne. Deux, c'était une façon ludique de les voir à l'œuvre dans leur élément et une vingtaine de visiteurs auront ainsi pu récupérer des dédicaces ;o)
La montée sur scène de tous les cosplayeurs à la fin du cosplay groupe
Le cosplay groupe a enchaîné rudement tôt en commençant aux alentours de midi. Hormis le groupe Goldorak qui a bien marqué cette édition, les autres participants de la journée sont passés un peu plus inaperçus même si leurs costumes étaient très bien faits, à croire qu'ils se sont vite changés après le défilé. La météo avait annoncé de la pluie – Roland Garros oblige – mais ce fut plutôt un temps à attraper des coups de soleil. L'Epita aura finalement toujours eu de la chance avec son cosplay en plein air.
Le moins lourdingue des Free Hugs pendant la convention