Histoire des forumeurs d'Animint (en attente suppr...)

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Eldamyo F
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L'année chez les barbares
Une victoire impossible


Les premières attaques de Wakayor avaient été, malgré l'odeur, évitées par le chef. Mais Wakayor y alla de plus en plus doucement...
Tandis que Wakayor attaquait, l'odeur commençait à vraiment prendre son ampleur sur un rayon de plusieurs mètres. Wakayor lançait l'offensive avec une certaine rapidité qu'il avait acquise après plusieurs heures d'entraînement. Il avait bouché son nez à l'aide d'une petite corde et de deux brindilles.
Une fois arrivé à distance de bras, le jeune garçon frappa de toutes ses forces et toucha finalement Dex avec une grande joie, à l'étonnement de tous. Mais manisfestemment... La force du petit homme ne suffisait pas du tout pour faire tomber le molosse. Dex broncha un peu mais sa douleur n'altéra en rien son état de concentration. Sur quoi, Dex attrapa le bras de Wakayor et le jeta à dix mètres de là après l'avoir fait tourner deux ou trois fois au-dessus de lui.
"Aaaaahhh, schponk ! Aillaille... Tu vas voir tête de rat, je vais te prendre par surprise..."

Wakayor grimpa aux arbres comme il l'avait fait contre Eve. Cette fois ci, Dex se déplaça, ce qui était rare. Et cherchait les sons et les vibrations... Wakayor était très agile pour monter au arbres et Dex le savait. C'est pour cela qu'il avait installé des pièges précisemment là où il allait se placer. Une fois son but atteint, le chef attendait que Wakayor tombe dans le piège posé sur un branche d'arbre.
Le jeune garçon atteignit donc la branche en question et soudain, son pied gauche se fit attraper par une corde qui le fit se retrouver la tête en bas, attaché par la ficelle en question.
"Arf !!!
- Ouai, oaui, on fait moins l'malin hun !
- T'as pas le droit vous, c'est pas du jeu ! Tête de rat !
- Ah, quelle malchance, tu ne devrais pas parler comme ça, je t'ai repéré !
- Oouuuu lalala !"

De ce fait, Dex frappa sans aucune retenue le jeune garçon, qui commençait à ne plus rire du tout car la force du chef ne correspondait pas à ce qu'il croyait devoir supporter.
"Aaahhh !
- Encore ?
- Aahhh ! non, je vais me..."

Dex essaya de lui mettre un autre coup mais dans un effort surhumain, Wakayor courba son dos et réussit à grimper à la corde qui le tenait pirsonnier. Il se détacha et se mit sur une branche se tenant les côtes, dont certaines était certainement cassées.
"Eh bien bravo, tu es solide ! Mais tes ressources sont quasiment épuisées... Que vas tu faire, je te laisse cinq secondes, après je vais te chercher, je sais où tu es.
- J... Non, pas de parlote, pensa Wakayor. Je vais essayer de l'étrangler avec la corde en l'attachant à cette branche, en l'entourant une fois autour de son coup en retombant en même temps, tampis s'il me blesse.
- Cinq... Quatre... Trois..."

A trois, Wakayor bondit donc de la branche, réussit à faire une boucle de corde autour du cou de Dex, et Dex frappa le garçon au visage si violemment que Wakayor, tenant toujours la corde, la tira avec l'élan provoqué par le choc ce qui étrangla sèchement Dex qui à présent était en mauvaise posture car Wakayor tirait fort malgré l'ennorme coup qu'il venait de recevoir.
Mais comme tous les chefs barbares, il lui en fallait beaucoup plus que ça pour le surprendre. Ainsi donc, bien que Wakayor tirait encore et encore, c'était maintenant Dex qui tirait le jeune barbares vers lui. Dex tirait si fort que Wakayor eut l'idée de lacher la corde en pensant que cela ferait tomber le chef. Ce qu'il fit donc. Et comme prévu, Dex tomba en arrière dans la bouze, car il tirait encore sur la corde alors que Wakayor ne la retenait plus. Wakayor, ayant réussit son objectif, fut heureux quelques secondes. Il estompa un petit sourire et tomba, de fatigue et de douleur, dans l'inconscience.
Ses blessures étaient très importantes et les guérisseurs se précipitèrent sur lui comme ils l'avaient fait avec Gourigrossmul.

Dex se releva et retira son bandeau. Il observa sa jeune victime qui venait de lui donner des difficultés peu habituelles pour lui. Il pensa : "Voilà un être humain original, et très efficace malgré sa taille et sa force. Avec un peu plus de force il aurai pu me mettre en echec..."
"Occupez-vous bien de lui, Barigrossmul arrive dans quelque heures, en attendant, Buli et deb, Installez les...
- Yaaaa !"

Eve chargea le chef avec toute la rage qu'elle pouvait développer... Dex lui attrapa la tête et tint à distance. Eve donnais des coups dans le vent et retenait ses larmes, tous les autres la regardait sans réellement comprendre. Eve était touchée et enragée par les blessures qu'avait infligé Dex à Wakayor. Elle cessa de bouger dépitée, et partit en courant dans le fond de la forêt vers le l'infirmerie.
Dex continua à parler comme si de rien était : "Oui, je disait, installez les arènes pour accueillir Barigrossmul et dépéchez-vous."

Tom Tom, Buli, Krisstal, Avrox, Gouri, Stork, Hyug et les autres n'en revenait pas de la prouesse du jeune étranger. Là où ils avaient tous échoués, le petit Wakayor devenait le maître incontesté. Tom Tom finit par admettre le niveau de Wakayor et par le respecter. Avrox était encore mitigé mais penchait plutôt vers Wakayor ainsi que le reste de la troupe. Quant à Krisstal, elle semblait toujours aussi neutre. Elle alla rejoindre son amie Eve non loin de l'infirmerie.

Krisstal ayant rejoint Eve, elle lui dit :
"Je t'ai connu plus dure et plus pragmatique que ça. Pourquoi une telle attitude ?
- Tu ne peux pas comprendre... Personne ne peux comprendre, dit Eve en sanglottant doucement
- Je peux comprender que tu apprecit quelqu'un mais au point de l'aimer...
- Je...
- Tais-toi Eve, dit Dex qui avait retrouvé Eve.
- Hun ?
- Krisstal, laisse la elle est malade... Elle a un problème psychique, je vais l'envoyer chez les guérisseurs afin qu'ils puissent régler ça car elle me fait ça depuis peu et cela m'inquiette, elle est ma cousine, je me doit de faire attention à elle.
- Très bien chef, dit tranquillement Krisstal qui partit aussitôt vers le centre du camp."

Dex emmena Eve à l'infirmerie. Elle rentra rapidement dans la cabane et alla voir si Wakayor allait mieux.
Dex entra lui aussi. Le petit était étendu sur la table, son visage portait un sourire étonnant.
"Chef, nous étudions la régéneration de cet homme... Il guérit très rapidement. Regardez, plus le temps passe, plus il guéri rapidement, ce qui expliquerait pourquoi il a tenu si longtemps le suplice du pendu à l'envers.
- A-t-il des blessures graves ?
- Oui une, aux côtes premières. Il lui faudra tout au plus un ou deux jour pour que sa côte se remette, vous lui avez fait très mal chef. Et nos pouvoir de guérisseurs ne sont pas assez puissant pour guérir ce genre de blessures à une grande vitesse.
- Et Hyurth lui-même ?
- Il en serait capable mais accepterait-il de venir juste pour une cote cassée ?
- Pour le futur chef !!! Appelez le vite, envoyer un pigeon voyageur."

Eve tenait la main de son amour. Elle ne pleurait plus et l'observait en détaillant chacune de ses particularités physiques. Elle n'entendait plus les gens autour d'elle.
Elle observait le visage, bouffit par le dernier coup qu'il avait reçu mais toujours aussi beau, la peau lisse et brune, les joues un peu creuses mais pas trop, la bouche charnue et le menton carré. Ses cheveux bleus le rendait brillant. Sa main était lisse mais un peu rugueuse. Il était presque nu il n'avait qu'une petite serviette pour cacher ses parties intimes.
Son torse était un peu velu, un duvet léger et doux apparaîsait et laissait présager une pilosité importante. Ses muscles bien déssinés était petits et compacts. Eve s'assit à ses cotés, comme il l'avait fait avec elle et s'endormit sous les yeux généreux des guérisseurs, qui laissèrent les deux jeunes seuls.
1er Chevalier de la Reine Jin Gar et membre du club des anciens.

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Eldamyo F
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L'année chez les barbares
Jalousie


Au centre du camp, Buli et Deb se dépéchaient d'installer les arênes fait de bois pour accueillir les chef et ses compagnons. Des arênes vous allez me dire... Pourquoi ? Ce qu'ils appelaient "Arênes" était en fait de grosses chaîses rondes à deux places. En théorie, Frigiliss et Barigrossmul devaient s'assoir tous les deux dessus mais malheureusement, elle était partit dans l'autre dimension.
Ils nommaient également ces chaîse ainsi, car elles étaient munies d'un dossier très haut, très large et courbé, qui permettaient aux sons, prononcés par les personnes assises dessus, de bien se propager autour d'eux. Ces trones étaient ornés de belles pierres précisieuses, de cristal et enveloppés de fer un peu rouillé.

Dex était resté à la sortie de la cabane des guérisseurs et attendait Eve, qui était effectivement sa cousine. Non loin de là, une silouette observait le chef et la cabane, caché dans un buisson. C'était Gourigrossmul dont la jalousie envers Wakayor dépassait les bornes des limites ! Il épiait Eve, car il en était fou amoureux en secret. Il avait maintes fois essayé de se faire apprécier d'elle mais cela n'avait jamais marché. Il avait donc abandonné depuis longtemps mais il l'aimait toujours. Une telle jalousie était forcément maladive. Ses yeux injecté de sang et sa mâchoire stupidement grincante de colère ne faisait que remplir son âme d'une noirceur évolutive. Certes, pour lui, il y aurait peut-être un moyen de changer, au bout de trente ans de pardon pour une telle attitude, mais un garçon comme lui n'allait pas laisser passer l'évènement, il avait un mauvais orgueil. En plus de ça, il se faisait sentir que Wakayor était en réalité bien plus capable que Gourigrossmul, pour endosser le statu de chef suprème après Barigrossmul.
Le chef s'impatientait... Il rentra finalement dans la cabane et vit Eve endormie sur le bras noir de Wakayor. Il l'essaya d'attraper doucement sa cousine pour la porter jusqu'au camp et rappeler les guérisseurs, afin qu'il surveillent l'état de Wakayor. Il réussit à la porter et lentement. Gouri le vit sortir de la cabane avec Eve, endormie dans ses bras.
Gourigrsmul voyant ceci, il essaya d'entrer dans la l'antre. Il sortit de sa cachette après que le chef soit hors de sa vue, et marcha doucement jusqu'à l'entrée. Il poussa la porte et déguaina une dague de sa ceinture. Il était prêt à tuer le futur chef, il n'avait que ça en tête. Il pénétra dans la petite pièce sombre et s'approcha du blessé. Mais à sa grande surprise, il n'était pas là.
"Mais où est-il ? Il n'a pas pu s'échapper tout de même, dit Gourigrossmul en observant en détail la table de soins recouverte d'une peau de loup. Cela est inconcevable !
- Amcene... ameuchuemeuchuemene...
- Ah non, ils arrivent, il faut que je sorte d'ici... Bon je vais me cacher dans l'ombre.
- Ah mais oui mon ami, Hyurth nous a dit que... Tiens... Une odeur peu commune, celle de Gouri, dit l'un des deux guérisseur qui avait stoppé sa marche au seuil de la cabane.
- Il est ici ?

Gouri bien caché attendait que les deux hommes rentrent pour que subréptissement, il puisse sortir. Les deux hommes entrèrent donc et Gourigrossmul s'en alla en rempant doucement autour de la cabane, puis il se mit à la fenête pour observer se que faisaient les guerisseurs. Mais à part des incantations et des prières, leurs activités ne semblait pas se porter sur la table. Il retourna donc au centre du camp en rengainant sa dague, déçu et plus jalou encore qu'avant.

Gourigrossmul rencontra Dex sur son chemin.
"Que fais-tu là toi ? Tu devrais être en train d'attendre ton frère, vas vite ou je te lance moi même la-bas !
- Ouai oaui, c'est bon..."

Dex rentra dans la cabane et posa sa main sur la table. Un phénomen étrange se produisit alors. La main de Dex s'arrêta bien au-dessus du niveaude la table. Dex serra sa main comme s'il attrapait une couverture et, oh magie, il tira doucement et au fur et à mesure, le corp de Wakayor apparaissait. Dex avait alors dans ses mains une cape qui, lorsqu'elle couvrait quelque chose, ne laissait voir ni la ou les choses, ni la cape elle même. Une cape d'invisibilité.
Dex demanda :
"Est-il venu ?
- Nous ne l'avons pas vu mais son odeur était présente lors de notre retour. Il a du partir sans que nous le voyions.
- Fort bien ma ruse a fonctionnée. Wakayor se réveille, cela veut dire qu'il ne l'a même pas sentit ni entendue.
- Eh oui, dit un des guérisseur, ce vêtement couvre non seulement se qu'on peut voir, mais aussi ce que l'on peut entendre et sentir.
- Un cadeau de Hyurth dit le deuxième homme.
- Ouaip !
- euuhh... Où suis-je, demanda Wakayor
- Ne te fait pas de mourron mon petit, tu t'es très bien battu !
- Où est Eve, je sens son odeur, dit inperceptiblement Wakayor
- Comment, demanda Dex... Eve ? Elle va bien, elle dort dans sa tente. Elle est restée là une heure puis elle s'est endormie, la tête sur ta main. Je l'ai ramené moi-même dans son lit.
- Merci, dit tout doucement Wakayor qui se rendormit soudain avec une petite larme.
- Eh bien j'avoue que c'est la première fois que je voie un tel feu sentimental entre deux personne. Comme Frigiliss avec Bari autrefois. Mais tout de même, Eve qui était réputée pour être la plus dure des filles du camp, elle s'est complettement laissée charmer par ce petit, qui certes a des resources marginales et originales, mais efficaces. JE crois que Hyurth viens aussi, préparer-vous à son accueil.
- Ah, magnifique, notre maître arrive, il va certainement pouvoir guérir le petit.
- Je l'espère. Je vous laisse, je vais rejoindre mes petites tornades de nerf."

(Je rappelle au passage que l'histoire est sous-titrer français parce que sinon ce serait tou écrit en language barbare, qui est un dialecte très connu dans les cinq communauté, car il était énormemment parlé à l'époque, oui parce que sinon, ça donnerait :
"Monoskavauss
- Sppe xxci Wakayor moss
- Petolane Eve èrèdlovina
- Teraxil dezenun Wakadancer
- Juvabyinjuvamine Eve twix euguène... TA GUEULE :lol: )

Ainsi donc, Barigrossmul vint avec Hyurth et Haribans. Dex s'entretenu avec Bari à propos des prouesse du jeune homme et Barigrossmul dessida d'emmener Wakayor dans un autre camp, celui des druides, afin qu'il puisse faire connaissance avec Hyurth, qui voulait absolument le rencontrer. Dex refusa, objectant que c'était à Hyurth de venir lui même. Bari rejeta son idée car Hurth était nécessaire au camp des combattants spéciaux. Dex insista et Bari ne comprenait pas pourquoi. Il accepta finalement que Hyurth vienne une fois par semaine.
Barogrossmul resta un moment, pour raconter ses exploits passés aux jeunes barbares. Puis quans il eut finit, il alla rendre visite à Wakayor, son protégé. Hyurth le guérit donc et voilà que le petit se réveillait :
"Waaoouu ! Je me sent... Renaître, cria Wakayor
- C'est normal, je suis guérisseur suprème ici, dit Hyurt
- Merci vous, dit Wakayor en souriant. Où est Eve Dex ?
- Eve, elle est dans le camp.
- Qui est Eve, demanda Barigrossmul
- Hey, il est là aussi le grognon, ahahaha
- Je vais te montrer moi...
- Non, non ok, c'est bon, j'ai compris. Mont'pas vous!
- Eve est une des fille qui a aidé Wakayor à guérir.
- Hum. Tu as des entiments pour elle ?
- Euh... Non, dit Wakayor pour dissimuler sa relation de peur qu'elle s'ébruite trop loin.
- Ok."

Bari parla avec Dex de guerres à venir et, Hyurth et Wakayor entamèrent une discution sur la science et la nature. Le petit était faciné par la connaissance du jeune Druide et il s'entendait très bien avec lui.
Autant Hyurth que le petit chef était triste car c'était pour Barigrossmul le moment de partir.

Durant cinq mois, les jeunes barbares eurent le même traitement, et ce de plus en plus difficile et long. Des simulations de guerre par groupes étaient mises en place, de jour comme de nuit, ainsi que des chasses aux loups. La saison des pluies était entamée et Wakayor était très heureux ; eh oui, il adorait la pluie.
Wakayor étonnait ses camarades en inventant et en fabriquant des armes et des sortes de machine pour se muscler, pour calculer et dessiner... Gourigrossmul était toujours aussi jalou mais ne pouvait quand même pas resister au bonnes vibrations que dégageait le petit, et il laissait partir sa jalousie par moment. Ses envies de meutres étaient toujours là mais étant donné la foule d'alliés qu'il avait à présent, il ne pouvait plus s'attquer à lui san organiser quelque chose de diabolique...
Les rencontres entre Hyurth et Wakayor devenait de plus en plus sérieuse et les deux personnage commençait à s'aimer sincèrement.
Entre Eve et Wakayor, l'amour était toujours là, pas changé d'un poil, comme au premier jour. Ils se donnaient rendez-vous à des endroits bien cachés de façon à ce que personne ne les soupsonne de trop.Cependant, au bout de ces cinq mois, Gourigrossmul avait détecté la cachette des deux tourteraux et Eve se senti obligée de se séparer un moment de Wakayor, mais sans pour autant cesser de l'aimer. Wakayor n'aimait pas cette situation, et se jura trouver une solution à ce problème.
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L'année chez les barbares
Opale


Les cinq mois passés à se battre engendrèrent des pertes de jeunes recrues. Soit elles abandonnaient, soit elle n'était vraiment pas à la hauteur.
Entre les combats à mains nues, les combats à plusieurs et la chasse aux loups, seule une dizaine des recrues avaient vraiment supporté les épreuves physiques orchestrées par Dex.
Il restait donc Wakayor qui se démarquait de tout le monde pour sa capacté d'adaptation et pour sa polyvalence en matière de combat. Il n'était pas toujours le vainqueur mais il avait été le meilleurs dans cinquante pour cent des compétitions. Ensuite venait Tom Tom qui était une sorte de Wakayor moins fort mais beaucoup plus sérieux. Gourigrossmul, Avrox, Buli et Eve étaient au même niveau et étaient très stables quant à leur évolution. Ensuite, Deb se distinguait toujours des autres par une résistance physique imposante et une tactique efficace, mais sa motivation n'allait pas très loin et il était du genre à laissez tomber rapidement et il évoluait donc très lentement. Krisstal était aussi très neutre gardait toujours une réserve d'énergie car elle était certes musclée mais moins résistante que ses camarades. Puis restait donc Hyug et Stork qui étaient deux frère inséparables et qui avait un bon niveau ; mais ils étaient assez feinéant et n'en faisaient jamais trop de peur de se luxer le petit orteille.

Ils avaient tous changés physiquement à part Deb. Ils étaient tous devenus plus robustes et visiblement plus courageux. La plupart d'entre eux n'était pas des crêmes mais Wakayor, Buli et Eve ajoutait tout de même la touche de bien à cette troupe de jeunes, et dangeureux barbares.

La haine que nourissait Gourigrossmul pour Wakayor n'avait pas cessé. Il avait trouvé un moyen de le séparer momentanemment de Eve. Qu'allait-il encore inventer pour mettre Wakayor dans une mauvaise situation ? En tout cas, Wakayor réfléchissait à une solution. Il était assit sur un arbre non loin de la tente de Dex. Son aspect avait changé, son visage avait gagné une certaine maturité et déjà, des pâtes apparaîssaient sommèrement sur les côtés de son visage. Il était maintenant habitué à porter du blanc. Son haut était fait d'une laine solide et élastique, et il n'avait pas de manche, ce qui mettait en valeur la couleur cramé de son bras droit. Son bas était fait de la même matière et de la même couleur. La bague qu'il avait au doigt demeurait toujours aussi invisible. En regardant de plus près ses bras recouvert de cicatrices guéries ou non, on pouvait s'apercevoir que les combats durant ces cinq mois n'avaient pas été de tout repos. Il leva son bras droit et ramena son poing séré vers sa figure. Il dit :
"Ce satané Gourigrossmul est de trop... Comment puis-je l'élimer sans l'éliminer ? C'est manifestement paradoxal, hihihi (coup du mini-marteau sur la tête avec une bosse en forme de boule de golf et une tête de blazé). Assez plaisenté... Eve tu me manques trop... Je vais aller voir cet avorton et lui montrer comment je traîte les pouilleux de son espèce.
- Cela ne serait pas très sage, dit une voix derière lui
- Buli ! Tu arrive encore en furtif... Tu es extraordinaire pour ça, l'un des meilleurs combattant aveugle.
- Merci chef ! Mais pour Eve, je te conseille sincèrement de ne pas provoquer Gourigrossmul, car même s'il est moins puissant que toi, tu risque gros s'il rouspête après toi.
- Je sais bien mais... J'aimerait tant lui couper la langue, si tu savais...
- Je comprends ton attitude, mais montre toi patient, un jour, tu auras peut-être le droit de voir Eve sans te cacher... Au fait, tu sais pourquoi Dex nous a donné un jour de repos entier aujourd'hui ?
- A vrai dire... Non. Peut-être que l'entraînement va changer
- Ouai !
- Tu es le seul à savoir avec Dex, que je suis avec Eve... J'espère que tu garderas bien le secret
- T'inquiette-pas. Je suis pas le genre à faire chier le monde !
- Je te fais confiance... Je doit trouver un endroit qui ne pourra pas être découvert pas cette crapule de..."

Le cor retenti plus fort que d'habitude. Le soir s'approchait et le ciel était nuageux. Il se mit à pleuvoir pour le plus grand plaisir de Wakayor qui gagnaient toujours ses combats sous la pluie, et qui adorait la pluie.

"Ah, quel bonheur cette eau magnifique !!! Elle donne une odeur splendide à la terre et aux plantes qui l'absorbent.
- Je ne sais pas comment tu fais, je ne supporte pas la pluie, dit Buli en courant lentement suivit de Wakayor qui marchait les bras levés vers le ciel et un sourire énorme sur sa figure.
- Arf ! Vous êtes tous bizarres ! L'eau que vous buvez vous permet de rester en vie, comme vous êtes ingrats.
- Oh, arrête tes leçons...
- Ok."

En trente secondes, le groupe des dix petits violents se réunifia devant la demeure de Dex. La pluie était de plus en plus dense. Une minute passa et toujours pas de Dex sortant de sa tente. Il ne craignait pourtant pas l'eau. Deux minutes, et rien de plus.
Soudain, des bruits de fléchettes parvirent aux oreilles de plusieurs d'entre eux. Mais ils n'eurent pas le temps de bouger que ces fléchettes se plantèrent dans chacun de leurs molets.
"Aïe
- Arf !!!
- AAaahh !
- Heu..."

Tout à coup, Krisstal se mit à chanceler, Gouri eut la même attitude aussitôt après, et Hyug, Tom Tom, et les autres. Seuls restaient conscients Wakayor et Deb... Mais Wakayor, lui aussi, finit par avoir une vision de la réalité complètement déformée d'un seul coup... Ses yeux de voyaient plus un plan plat mais comme une sorte de mirror dont la face se tordait dans tous les sens. Deb finit lui aussi par chanceler et marcher dans n'importe quel direction. Il se heuretèrent, ils tombèrent...
Puis vint ensuite, pour tous en même temps, des nausés épouventables. Eve et Buli vomirent instantanement, puis les autres aussi. Les nauzées étaient maintenant moins fortes mais toujours présentes. Le champ de vision se déformait toujours pour tout le monde.
Et soudain, une femme sortit de la tente. Elle était très petite mais assez jolie et robuste tout en gardant une taille de guêpe. Sa tête était celle d'une guerrière, les yeux grands ouverts, les soucils fin penchant vers le nez et la bouche pulpeuse mais sans expressions. Ses cheveux chatains foncés étaient attachés derrière sa tête en faisant un petit chignon. Une longue et fine mèche retombait sur son visage.
"Vous m'entendez, cria-t-elle
- Eaeueaueuae
- Je voie que vous m'entendez, hahaha. Je suis votre second maître, je vais vous apprendre à vous battre avec des armes blanches ! Je m'appelle Opale Esstamoundra ! Et j'exige le respect, sans quoi je vous massacre ! Est-ce que c'est bien clair ?
- Eauaueuaouoaueaiioi, dirent-ils tous à moitié groggy par le poison enduit sur les fléchettes qui coulait maintenant dans leur veines.
- J'ai lancé moi-même ses fléchettes sur vous afin que vous voyiez se que fait l'effet d'une goute d'un poison de ma composition, ça décoiffe hun ! Bun ça c'est rien à coté de ce qui vous attend !!!! Toi, le blondin, approche... Buli tu t'appelles Buli, ton nom est aussi raide que toi. Bon tu ne veux pas venir, alors je vais venir te chercher. Qu'est-ce qui m'a fichu une bande de mauviette pareille, même sous la pluie ça les reveillent pas !!!!"

Elle choppa Buli par le bras. Il était complètement prostré et titubait. Elle lui mit une claque mais rien à faire, toujours aussi mou.
Non loin de là, Wakayor avait la bouche ouverte vers le ciel et buvait de l'eau de pluie. Au bout d'un moment il fut le premier à reprendre à peu près ses esprits. Il dit :
"Eh didons la chose, attaque toi... à... quelqfin de fa faille... euhrr...
- Comment ! Je ne suis pas la chose, je suis Maîtraisse Opale !
- uuummm, fit Wakayor en lui tirant la langue à moitié dans le gaz
- Je vais te lui chauffer le derrière à celui là !"
Elle lâche alors Buli et partit en direction de Wakayor.
"Alors, je vois que tu es coriace petit, resister à mon poison aussi vite, c'est pas mal... Mais ici c'est moi qui commande !"
Elle balanca un coup de marteau sur la tête de Wakayor. Il pleura une petite larme de douleur et était dégouté de ne pas pouvoir lui mettre une pêche. Il tenta la flatulance...
"PPPrrrrorut ! Ahahahahaha euuheuheu...
- Vraiment aucune dicipline ce petit !"
Elle continua à le ruer de coup de marteau... Même ses bosses finirent par pleurer de douleur... Il était recouvert de boule partout, il ne pouvait même plus parler... C'était sa langue qui avait un bouche et des yeux et qui disait : "Même pas mal... Mais quand même ayayay."

"Je vais les mâter... Restez sous la pluie et rappelez-moi quand vous serez réveillés."
Elle s'assit sur une pierre avec son épée batarde dans un foureau, qu'elle posa sur ces genoux.
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L'année chez les barbares
Le déplacement floux


Au bout de trois minutes environ, les neuf étourdis reprirent complètement leurs esprits. La pluie s'était atteinuée mais tombait toujours.
Opale ouvrit rapidement les yeux et et vit ces élèves de très mauvaise humeur, surtout Avrox et Tom Tom. Wakayor était toujours dans les pommes avec ses multiples ématomes.
Ils retirèrent tous leurs fléchettes et soufrant un peu se regardèrent tous. Ils lancèrent tous en même temps les dards empoisonés vers Opale. D'un geste affuté et rapide, elle sortit son épée batarde et bloqua chaque fléchette en les faisant voler loin autous d'elle.
Ils furent tous surpris de la prouesse de cette petite femme.
"Hum ! Enfin, vous reprenez vos esprits bande de mauviette !
- Je ne sais pas qui vous êtes, dit Tom Tom, mais vous me donnez envie de...
- Envie de quoi petit morveux ?
- Ya !"

Tom Tom fonça sur elle. Elle se mit promptement debout et au moment où le jeune barbares atteignit son niveau, il n'eut pas le temps de bouger plus, car elle lui attrapa la nuque d'un geste extrêment rapide et le fit tombé au sol, la tête la première. En même temps elle avait sortit une dague de sa jambière et la mit au sol juste devant le visage de Tom Tom dont la tête approchait rapidement la pointe du couteau. Ainsi, il retenu sa chute.
Donc, il était allongé sur le ventre, la tête au-dessus d'une dague, et Opale, accroupie, poussait sur sa nuque.
"Enive de quoi... J'attends ?
- Mais laissez-le enfin, cria Eve
- Hum... Soit, dit Opale en lâchant la pression sur Tom Tom qui se relava subitement essouflé et quelque peu effrayé.
- C'est moi qui commande ici, et je ne vous ferai pas de cadeau !
- Grrr... Je vais vous, entama Tom."
Opale posa, toujours aussi rapidement, sa dague sur la gorge de Tom Tom qui n'eut même pas le temps de terminer sa riposte.
"Pas de jeste brusque, tu n'en a pas la carrure mon petit... Mais bien essayé quand même. Vas rejoindre tes amis, dit Opale en poussant Tom vers Wakayor qui venait de se réveiller et avait vu une parite de l'altercation. Je ne suis pas votre soeur, ni votre mère, ni votre amie ! Je suis là pour vous faire subir un entraînement de choc. Vous avez été sélectionnés parmis les meilleures recrues des jeunes barbares et j'estime que vous êtes capables de résister ! Y a-t-il des questions ?
- Ouai, dit Wakayor.
- Je t'écoute le comique.
- Eh bun je voulais savoir où est Dex.
- Il n'est pas loin. Il est dans la tente.
- Ok c'est cool, je peux aller le voir, dit Wakayor en vançant vers la tente
- Non ! Il m'a expressement dit de faire en sorte que personne ne la dérange. Maintenant, mettez-vous en formation de défense... Exécution !!!"

Les dix barbares se positionnèrent donc en formation "défense", qu'ils avait apris avec Dex. Elle consistait à mettre le meilleur et les plus faibles au centre et devant et derrière, les plus vaillants. Le tout formait donc un cercle. Au centre se trouvait Wakayor, Hyug et Stork, et les autres formaient autour, une barrière humaine.
Opale marchait autour d'eux en observant les positions. Elle parmait en même temps.
"Hum... Votre meilleure recrue est donc ce fils adoptif, Wakayor... Je vais tester votre barrière.
- Vous êtes seule, dit Buli. Comment...
- Psssss ! Tais-toi joli coeur, dit Opale en s'arrêtant devant Krisstal. Comment tu t'appelles toi ?
- Krisstal. Quatrième fille du chef du des forgerons. Experte en natation et en...
- Inutile de te venter je ne t'ai demandé que ton nom. Bien, dit-elle en se remetant à marcher. Toi tu es le frère du chef... Et toi Avrox. Ok... Je vais me préparer à l'attaque tenez-vous près."

Opale cessa de marcher et se retourna en avançant jusqu'à atteindre une distance de cinq mètres. Elle se retourna. Elle tenait fermement le fourreau de son épée avec sa main gauche et tenait la poignée avec sa main droite. Son regard était vide et terrifiant.
Elle dégaina son arme et soudain, disparu à moitié. A la suite de cette disparition soudaine, Tom Tom, Krisstal, Avrox et Hyug étaient à terre et dans un effort surpuissant, Wakayor retenait la lame d'Opale entre ses deux mains. Puis Opale fit rapidement tomber Wakayor mais Gouri, Eve, Deb, Buli et Stork attaquèrent la femme. Elle sauta très haut évitant ainsi les assauts des jeunes barbares et en retombant, elle chargea Eve et Gouri qu'elle mit hors circuit aussi rapidement que de respirer.
"Je continu ou vous voulez le coup de grâce ?
- Eu... Non...
- Fort bien. Votre défense est très moyenne. Et vous, relevez-vous feinéants que vous êtes !!!"
Les autres se relevèrent. Ils avaient tous une blessure au torse, un coup qu'avait mit Opale par clémence car elle aurait pu les blesser plus sévèrement.
"Je suis seule voyez-vous... J'ai réussi à vous mettre en échec quasiment total en quelques instants ! Vous devez vous habituer à observer vos adversaires avec plus d'attention ; je me déplace certes très vite mais vous devez parvenir me situer. Bon, je vais vous donner une panoplie d'armes et vous allez vous exercer. Si vous avez des questions, je suis disponible.
- Et que devons-nous faire, demanda Buli
- Essayez de vous habituer au maniment des armes. Patientez, je vais vous donner le matériel."

Elle alla dans la tente et revint en treinant un gros sac en cuir épais. Elle le vida devant les jeunes recrues. Elle pris une lourde épée à deux mains qu'elle donna à Wakayor.
"Prends ça toi ! Essaye de manier cette épée.
- Ah, c'est du gateau, dit Wakayor en tenant la poignée de l'épée pendant qu'Opale tenait la lame.
- Bien, je te la laisse, dit Opale en lâchant la lame.
- Wooooaaaa pfffoouu !!! Mais c'est hyper lourd, dit Wakayor en tentant de relever l'arme dont le bout ne voulait pas se décoller du sol.
- Tu as du chemin à faire petit."

Elle continua à leur donner des armes trop lourde pour eux.

"Battez vous entre vous, chacun pour soi. Je me contenterai de regarder.
- Mais...
- Exécution !!!"

Nos dix guerriers s'habituèrent rapidement au maniment de leurs armes mais avaient du mal à se déplacer avec et à toucher un quelconque adversaire. Opale Esstamoundra observait attentivement chaque recrue. Opale avait deux ans de plus que le plus vieux de ses élèves. Buli était le plus âgé d'entre eux, et sans faire attention, elle l'observait plus que les autres, elle le trouvait mignon. Mais elle n'était pas du genre à se laisser emporter par ses sentiments.µ
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Message par Eldamyo F »

L'année chez les barbares
Ignoble mise en sceine


Trois mois passèrent pendant lesquels Opale les firent endurer les pires combats. Dex continuait toujours ses entraînement et Hyurth venait aussi voir périodquement Wakayor. Comme leur maîtrise des armes se développait, Opale et Dex décidèrent de leur enseigner l'art du déplacement floux. Cette technique était très dure à concrétiser et demandait des années d'efforts. Mais nos petits barbares étaient d'une trampe rare, en tout cas pour Wakayor, Eve, Buli et Tom Tom. Les deux maîtres mixaient leur exercices ce qui donnait un coktail de rixe fameuse et riche d'expérience pour tous.
Eve et Wakayor s'aiment toujours mais leurs activités ne leurs permettaient plus de temps libre, alors ils se faisaient une raison bien que cela devenait très frustrant de ce cotoyer sans pouvoir vraiment se toucher, s'embrasser... L'amour restait intact malgré tout car il semblait éternel. Gourigrossmul était encore jamoux et eut un jour une forte bagare avec Wakayor qui avait bien failli le tuer car il ennuyait Eve. Eve le retenu heureusement et Gourigrossmul fit un scandale mais cela n'uet que peu d'insidance sur la popularité du futur chef.
Trois mois encore se déroulèrent dans la même ambiance, Gourigrossmul préparait un coup avec Avrox. Il espérait tuer Wakayor définitivement avec l'aide car il avait apris le secret de la bague en écoutant une conversation en tre Dec et Hyurth à ce sujet. Il projetait de lui retirer son anneau à un moment délicas, ce qui le rendrait coupable d'exercice illégal de magie ou de meurtre dans la tribu, ce qui entraînerait son exécution publique...

"Voilà six mois que je suis avec vous. Et vous n'êtes que cinq à concrétiser à peu près la technique du dépacement floux. Je vais devoir demander aux autres de s'entraîner plus sérieusement, vous serez donc soumis à deux fois plus d'entraînement et vous dormirez donc beaucoup moins je vous le garantie, cri Opale. Pour le perfectionnement, j'ai donc choisit Tom Tom... Gourigrossmul... Eve... Buli... Et Wakayor. Les autres, continuer avec Dex qui connait suffisemment cette technique pour que vous vous améliorier.
- Ainsi donc mes enfants, dit Dex, notre rencontre s'arrête là. Vous allez partir dans un camp spécial pour devenir des barbares d'élite. Bonne chance.
- Hun... Comme ça, d'un seul coup, on part, demanda Wakayor
- On ne discute pas, dit Opale. En route, et pas de blague. Nous allons passer dans une forêt où des monstres sont nombreux. Restez sur vos gardes.
- Dex monstres, dit Buli. Mais les seuls ennemis que nous connaissaons sont les loups et les ours... Les monstres...
- Arrête de te plaidre joli-coeur, dit Opale en souriant (ce qui était rare)... Je suis là, et puis vous avez réussit là ou beaucoup echouent, estimer-vous heureux et remercier les circonstance d'être tombé sur moi."

Une petite idile était née entre Opale et Buli mais ne se manifestait toujours pas au grand jour... Peut-être existait-elle belle et bien, mais en cachette.
Ainsi donc, les six voyageurs partirent en direction du sud de la forêt du Kurumaru vers la baie d'Aloa. En trois heures, ils parcoururent une quinzaine de kilomètres. Leur andurance était bonne. Gourigrossmul était bien dégouté de ne pas pouvoir avoir Avrox à ses côtés pour le coup de la bague. Mais il ne désespérait pas, si l'on peut nommer cela de "l'espoir" de vouloir éliminer Wakayor en le faisant tuer Eve et en salissant sa réputation !
A mi-chemin, la nuit commença à tomber. Opale s'arrêta et dit :

"Nous devons faire un halte car la nuit ne nous aidera pas par ici. Même vos facultés de combats aveugle ou autres instincts ne vous seront d'aucune utilité passé cette clairière.
- Pourquoi, demanda Tom Tom
- Ne posez pas de questions à ce sujet et entraîner-vous pendant une demi-heure aux offensives à contre-coup avec des armes lourdes et sans armures.
- Bien maîtresse Opale !"

L'offensive à contre-coup était une sorte d'attaque intuitive ou reflexive, comme vous le sentez. Elle consistait en une série d'attaques, de défenses, de contres-attaques, de contres-défenses et puis un enchaînement de ces quatre configurations pour finir par prévoir au moins cinq coups à l'avance de son adversaire afin de le maîtriser et de l'anéantir. Pour certain, la technique était plutôt de provoquer l'action, pour d'autre d'imposer son rythme complexe, semblant chaotique pour l'adversaire.

Puis c'est la que Gourigrossmul eut l'idée de se mettre contre Wakayor.

"Veux-tu être mon adversaire d'entraînement, demanda Gouri à Wakayor
- Tu es sûr de vouloir souffrir ?
- Je n'ai pas peur de toi !
- Ca m'est égal ! Je ne me bat pas pour te faire peur mais pour te vaincre !
- Nous verons ça..."

Gourigrossmul savait où était la bague mais ne la distinguait pas. Il fallait qu'il la prennent puis qu'il abandonne tout de suite le combat sinon il savait qu'il risquait un choc d'éclair puissant.
De ce fait, l'exercice débuta. Gourigrossmul était maîtrisé à quasiment tous les coups et il commençait à se demander s'il allait vraiment arriver à lui subtiliser la bague de cristal magic. Peu importait pour lui en vérité, car sa jalousie maladive le rendait fou et imprévisible, et dans un coup de speed, il attrapa les doigts de Wakayor et serra fort en se laissant tomber... Gourigrossmul, étendu par-terre, avait la main serrée et Wakayor eut comme un soudain choc au bras qui le fit s'évanouir.
"Je l'ai, se dit Gouri en lui-même. Ah ahahah... J'ai gagné, je l'ai mit par-terre, cria-t-il comme un tricheur devant les autres qui stoppèrent leurs exercices.
- Comment, s'écria Eve en regardant Wakayor inconscient... Je ne peux pas le roire, lui perdre contre toi.
- Aller, continuez votre entraînement, cria Opale. Gourigrossmul, viens voir par ici. Eve, arrange Wakayor afin qu'il se réveille !
- Mais, fit Gourigrossmul
- On ne discute pas les ordres de maîtresse Opale !
- Oui, oui, dit Gouri en se relevant et en s'approchant d'Opale la main gauche bien serrée.
- Fait voir ce que tu caches dans ta main gauche !
- ...
- Immediatement ou sinon tu me fait cent pompes acéréess ! (Pompes acérées = pompes faites avec dix pics aux sols au niveau du visage, quand on redescent trop fort, ça pique)
- Bien voilà, il m'a volé cette bague, je lui ai reprise c'est tout.
- Cette bague ? Je ne t'ai jamais vu porter de bague !? Tu te fiches de moi...
- Non, je vous jure que c'est un voleur ! Cette bague appartenait à une fille que j'aimait beaucoup dans le passé...
- Toi, tu as un passé à l'âge de quinze ans ??? Donnes moi cette bague elle me plait.
- Euh...
- Tout de suite, et pas un mot, à personne c'est bien compris ?
- Oui maîtresse, dit ouri en s'assayant sur un arbre.
- Voilà, c'est réussit, chuchota-t-il. Si j'arrive à mettre la discorde entre Wakayor et Eve, il pourra la tuer sans hésitation... Comme ça elle n'hantera plus mon coeur et je deviendrait le chef quand on aura exécuter Wakayor, pour meurtre d'un barbares, ahahahahah..."

Son regard était sanglant et ne respirait que peu de bien.
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Message par Eldamyo F »

L'année chez les barbares
On ne s'attend jamais à la mort


Eve essayait de réanimer son Waka mais elle n'y arrivait pas. Il sombrait dan sune inconscience intence. Eve le secouait. Elle posait sa main sur son coeur et le sentait battre très lentement et régulièrement. Opale se rapprocha et s'accroupit près d'Eve.
"Ne t'inquiettes pas, dit Opale. Il a eu une baisse massive de tension. Je ne sais pas à quoi c'est dut mais... C'est étrange.
- Il n'est pas mort c'est l'essantiel.
- Hum. Quel genre de relations as-tu avec lui ?
- Ah, euh moi... Juste amicales, très amicales... Il m'a souvent aidé, et j'en fait autant c'est normal.
- C'est évident... Vos sentiments se lisent dans vos yeux demoiselle, chuchota Opale. Ne laissez pas visible cela visible. Certes les amours sont importants, mais ils brouillent l'esprit par leur imperfection. L'amour entre deux êtres ne peut être parfait qu'après leurs morts successives. Ne l'oubliez jamais petite.
- Vous dites n'importe quoi, l'amour que... Enfin je veux dire...
- N'en dis pas plus Eve. Retourne t'entraîner avec Tom Tom et Buli. Je m'occupe de lui. Quant à ce misérable Gourigrossmul, dit-elle tout doucement, je l'ai à l'oeil, il migotte un truc pas clair. Retourne à ton travail Eve, et que ça saute !!!
- Oui maîtresse Opale !"

Opale porta Wakayor et l'allongea plus loin sur des pierres profusément recouvertes de mousse verte et épaisse. Il revint à lui en quelques minutes.
"Ha... Que c'est-il passé ? Où suis-je ? J'ai la tête qui tourne et qui me fait mal... Aaaa...
- Allons reprends-tes esprits, dit Opale en lui donnant de légères claques
- Euh... Gourigrossmul ! Où est-il, dit-il en se relevant sèchement. Ah ! Mon bras me fait très mal... Et ma tête...
- Etrange... Repose-toi ici...
- Non je veux voir Gouri, il m'a fait quelque chose à la main.
- A la main ? Ta main n'a rien du tout. Donne la moi pour voir...
- Non, il est là !"

Wakayor bondit comme un guépard et coura rapidement en direction de Gourigrossmul qui se releva se préparant à riposter.
"Qu'est-ce que tu l'as fait sale con !
- Eh bun voyons, je ne t'ai rien fait, dit Gouri avec un sourire désagréable aux lèvres. Lâches-moi"

Tout le monde regardait la sceine avec étonnement. Les deux hommes se regardaient dans les yeux et Opale retenait autant qu'elle pouvait Wakayor. Il était très en colère.
"Arrêtez tous les deux ! Ou je me fâches, cria très fort Opale
- GGrrrrrr... Je vais te tuer, parole, juré, sssttpffff, craché, dit Wakayor avec une rage peu habituelle.
- Ca suffit, arrête Wakayor, dit Opale."

L'incident fut ainsi clôt. Opale laissa Wakayor s'enfouir seul dans la forêt. En partant, il était tout conracté et son bras droit brillait étrangement dans la nuit qui était presque complètement tombée.

Ils firent un feu, alors que Wakayor n'était toujours pas revenu de la dense forêt. Eve savait où il était car il dégageait toujours une odeur de peau sèche, un peu salée et fraiche en même temps. Elle le trouva et à l'aide d'une torche, elle s'assit devant lui en posant la torche. Elle dit :
"Qu'y a-til ?
- Je veux qu'on me laisse tranquille.
- Tu as changé, tu as une expression de visage nerveuse et...
- Ca suffit ! Laisse-moi...
- Parle-moi sur un autre ton s'il te plais.
- Oui excuse-moi... Je ne sais pas ce que j'ai mais je me sens malade et je ne supporte plus cet imbécile de Gourigrossmul. Il est jaloux et rancunier.
- Oi je sais, mais c'est comme ça."

Ils se regardaient dans les yeux... L'instant valait tout l'or du monde. Ils se tenaient la main, lui la main droite et elle la main gauche.
Au même moment, Gourigrossmul, prétextant d'aller uriner, c'était caché et avait prit avec lui une fléchette empoisoné à forte dose. De plus il avait rendu la lame très acérée. Voyant que Wakayor et Eve se tenaient la main, il visa le bras droit du jeune homme et la fléchette se planta dans son épaule gauche. Il poussa un cri et serra la main d'Eve qui eut très peur... L'éclair de son bras se déclancha et grilla Eve, qui se mit elle aussi à crier de douleur. Wakayor la lâcha et commencer à subir les effets du poison.
Gourigrossmul s'approcha de lui mais Wakayor lui mit une droite d'une dureté rare dans la visage. Gouri se relava tout de même et retira violement la fléchette de l'épaule de Wakayor qui n'était plus dans son état normal à cause du poison. Gourigrossmul cria alors :
"Venez vite, il l'a tuée."
Les autres venaient de se réveiller devait mettre quatre minutes pour arriver.
Wakayor entendant ça, se releva et résista en réalité au poison plus vite que prévu mais il avait encore des problèmes moteur. Il respira un bon coup devant Gouri qui se mit à reculer doucement. En une minuscule fraction de seconde, Wakayor fit un coup de point retourné en plein dans le ventre de Gourigrossmul, qui en plus de la dourleur, subit un éclair d'une puissance insurmontable. Les yeux de Wakayor beignaient de larmes et ses pupilles n'avaient plus de couleur, elles étaient blanches. Sa machoire était sérrée de rage et le sang coulait tellement il contractait les muscle de son visage. Il termine par planter la fléchette dans le coeur de Gourigrossmul qui de toutes façons était déjà mort.
Il se mit à genoux devant Eve, qui respirait encore mais, elle était dans un tel état que sa mort se sentait venir...
"Eve... Eve... Je... Non, Non non, pourquoiiiiiiiii ! AAAArrrrrrrrrrrrrr !!!!! Non, c'est pas vrai, tiens le coup, dit Wakayor qui avait reprit le contrôle de lui-même mais qui pleurait comme jamais il n'avait pleuré de sa vie
- C'est... Finit, je t'ai... me... rait toujours... Waka... Vas-t-en... Ils vont t'accuser... vas-t-en...
- Non, pas sans toi, je...
- Laisse moi... hhheeauuu... Laisse moi, vite ils arrivent...
- Non... Je t'aime trop...
- Ha."

Eve avait le sourire malgré sa mort trajique. Wakayor la regardait et se maudissait lui-même... Il l'embrassa une dernière fois et partit
Il couru aussi loin qu'il pu vers le sud pendant plusieures heures jusqu'à tomber de fatigue dans un ravin qui le fit attérir dans le lit du fleuve Rygadon.

Opale, Buli et Tom Tom trouvèrent donc Gourigrossmul et Eve morts. Ils cherchèrent plusieurs jours Wakayor sans succès. Le jeune garçon passa pour un fou.
Barigrossmul fut informé de la nouvelle et condamna Hyurth comme druide profane car c'est à cause de lui que Wakayor était venu ici. Waraknob était bien content que Hyurth disparaisse, mais il ne retrouva jamais l'anneau qu'Opale avait détruit.
Barigrossmul ne pris quasiment aucune décision de lui-même, tout lui fut sous-entendu par ce magicien fou. Quant au sort de Wakayor, Braigrossmul ne se prononça pas car il ne comprenait pas son geste.

Quand Wakayor se réveilla, il était dans une cabine de bateau...
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Perte de mémoire


Wakayor ouvrit les yeux et n'avait pas la force de s'assoir dans le lit sur lequel il était allongé. Il observait le plafond de la cabine du bateau qui tangait très légèrement. La fenêtre laissait entrevoir un rayon de lumière solaire, le ciel était clair à l'extérieur. Wakayor se mit à parlé, le regard figé :
"Eve... Ce non résonne dans ma tête... J'ai mal... Qui est cette Eve ? Où suis-je ? Quel étrange endroit. On dirait une chambre qui vogue sur un bateau. Mais je suis sur un bateau. Qu'est-ce que je fait ici ? Je ne me rappelle pas, j'ai très mal au crâne !! Ah, il y a des affaires là, dit-il en tournant la tête à droite. Mais je suis tout nu ! Et ces bandages, qui m'a fait cela..."

Il y avait effectivement à droite de son lit, l'épée à deux mains qu'il portait tout le temps, ses habits blancs et ses gadjets. Parmis ces derniers, il y avait un canif qu'il avait fabriqué pendant sa période barbare, il y avait aussi deux dagues à triple lames, de sa conception. Enfin, il y avait aussi des chaussures en cuir épais de couleur noir et un petit sac de la même matière. Wakayor essayait de bouger, mais des douleurs intenables l'en empéchaient.
Ses bandages étaient situés au niveau de ses côtes gauches et il avait un tibias fracturé. Sa tête lui faisait mal, et pour cause, il avait une grande entaille qui partait en biez, de son front jusqu'à derrière sa tête. Cette blessure était bandée mais ses bouts dépassaient un peu du gros pancement.

"Arf... J'ai trop mal, je ne peut pas du tout bouger... Mais d'où je viens ??? Aa... Quelle douleur ! Aïe, cette blessure sur ma tête... Comment me suis-je fais ça ?"

Il tentait de se rappemer ses souvenirs mais des maux de têtes apparaîssaient à chaque fois qu'une partie du voile disparaissait. Il voyait un précipice et un fleuve en bas. Puis un nom criait dans sa tête, le nom "Eve".
Dans un effort considérable, il réussit finalement à s'assoir en poseant donc son dos sur le bord de la cabine qui longeait le bord du lit.
"Haaaa, hahhh... Je ne sais pas comment j'ai fait, mais je l'ai fait. Ce sont mes affaires... Elles sont pourtant propres. Quelqu'un est sur ce bateau. Il faut que je saches qui je suis, car je ne le sais pas.. Ouille..."

Il essaya de prendre le sac au pied de son lit. La douleur était importante mais malgré cela, le jeune homme arriva à récupérer son bien. Il l'ouvrit et vit un tas de petits papiers sur lesquels étaient notées des choses qui réactivait sa mémoire, un collier avec quatre nom "Motrax - Ratkor - Jin Gar - Lin Kin". C'est quatre prénoms ne lui disaient rien du tout. Dans le petit sac, il y avait aussi des fléchettes, une petite fiole d'un liquide bleu et une bague en cristal.
Cette fameuse bague qui était en possossion d'Opale, était là. En réalité, Opale avait réussit un coup de maître rendant la bague à Wakayor sans qu'il l'ai vu. Cela dit, Wakayor ne savait absolument pas d'où venait cette bague. Il posa la besace en le refermant devant lui sur son lit. Il observait la pièce. Les bord faits de bois semblaient solides. Des escaliers montaient à droite, plus loin devant le lit. En face de Wakayor, se trouvait un petit meuble sur lequel étaient posées des bougies étaintes.
Soudain, Wakayor tourna la tête vers les escaliers car au-dessus de lui, il entendit des pas lents et légers aller en direction des escaliers. Il ne savait pas comment, mais il était capable automatiquement de déduire que la personne qui marchait n'était pas la seule sur le bateau et que c'était un homme agé car il y avait sur le meuble un dentier. Et pour l'autre personne, il déduisit sa présence grâce à son odorat puissant, qui avait lui sembalit-il reconnu deux odeur bien distincte et en grande quantité.
Ainsi donc, un homme apparût au pied des escalier. C'était effectivement un viel homme, le dos un peu courbé et le regard adorable d'un homme cultivé et généreux. Il marchait doucement en direction du meuble sans se soucier de l'éveil de son invité. Il prit le dentier et repartit aussitôt. Wakayor l'appela mais le vieil homme n'entendit pas.
Une conversation se fit alors attendre entre le vieil homme une voix plutôt féminie et timide.
"Es-t-il réveillé, dit la voix de femme
- Hun ?
- Le jeune garçon, est-il réveillé...
- Le grand glaçon ? Quel...
- Mais non papi, un jeune GARCON !
- Ah oui... Mais je ne l'ai pas vu, ni même entendu. Où l'as-tu trouvé ?
- Laisse tomber, je vais aller voir moi-même.
- Ce n'est pas le même... Mais...
- Assez ! Grand-père, laisse moi, tu entends !
- Oui, oui."

Les bruits de pas s'écartèrent, et ceux de la femme descendaient les escaliers. Ils étaient plus rapides et un peu saccadés. A ce moment là, la dame se montra au bas de l'escalier. Wakayor regarda alors la femme. Elle se rapprocha en observant elle aussi le jeune homme.
Cette femme était grande, habillée aves une robe longue et large de couleur blanche mélée de bleue. Elle était svelte. Son visage fin avait comme une "odeur" de sagesse, ces yeux bleus exprimaient une grande séreinité. Sa peau était un peu brune. Sa bouche sans expression forçait le respect. Quant à ses cheveux, ils étaient long, raides et blancs platine.

"Comment allez-vous mon enfant ?
- Euh... Eh bien je suis... Je ne sais pas d'où je viens ni pourquoi je suis ici. J'ai très mal à la tête et j'ai des images et des mots qui attaque ma conscience.
- Bien, ce n'est pas grave. Voulez-vous m'écouter ?
- Oui !
- Bien. Je m'appelle Danaline. Je suis pretresse et je vous ai guérit mais pas complètement veuillez m'en excuser. Je suis dans une période pendant laquelle je ne peut pas exercer tout mon pouvoir, et mes prière me sont interdites pour le moments. Dès demain, je serai en mesure de vous guérir en totalité, soyez patient.
- Mais, je... Merci, dit Wakayor très ému car ce genre d'action désintéressée le faisait fondre d'émotion
- C'est normal, c'est mon rôle. Vous devez savoir que vous êtiez inconscient pendant cinq jours.
- Cinq jours !!
- Oui. Je vous ai trouvé au bord du fleuve. Vous étiez ensanglanté, grièvement blessé et je n'ai pas pu me retenir de vous venie en aide. Vous avez eu de la chance que vos affaires étaient restées accrochées à vous. Vous savez maintenant pourquoi vous êtes là.
- Ah, merci dans ce cas. Mais je ne sais pas pourquoi j'était là, d'où suis-je arrivé.
- Vous êtier certainement chez les barbares...
- Qu'est-ce que vous dites, barbares... aaa... ma... Ma tête, Eve... Je ne veux pas que tu meurs... Mais qu'est-ce que je dis moi...
- Eve ! Vous avez prononcer ce nom durant les jours où vous dormiez. Vous aviez une fièvre phénoménale ! Vous êtes très costaud. Vous cochemardiez pendant de longues heures et racontiez l'histoire d'une femme du nom d'Eve qui était morte...
- Taisez-vous... Aaaaaaa, non pas Eve, pas elle... Snif...
- Mon enfant calmez-vous... Pardonnez-moi d'avoir réveillé de mauvais souvenirs, peut-être que cela était-il nécessaire.
- Je... Je me rappelle... Cette fille... Mon amour, mourir dans ... mes bras..."

Le jeune garçon pleurait ainsi que Danaline qui se sentait un peu coupable. Elle essaya de le réconforter.

"Allons, reprenez-vous. Qui est cette personne ?
- Je ne sais plus, mais j'ai à présent un visage dans mon esprit. Elle est belle, je l'aime je le sent... Elle est morte... Eve.
- Je suis désolée jeune homme... Désolée.
- Aucune raison ! Vous avez fait quelque chose dont je vous serai extrèmement reconnaissant. Demandez-moi ce que vous voulez, j'exhausserai vos voeux, dans la mesure du possible. Aaa... Ouille... J'ai très mal.
- Votre gentillesse m'emeu.
- Au fait, c'est vous qui m'vaez déshabillé ?
- Oui, dit-elle en baissant doucement la tête. De toutes façon vous étiez... Déjà tout nu alors... Je vous ai raccomodé et lavé vos habits.
- Merci infiniment, dit-il en laissant partir une petite larme et en attrapant la main de Danaline, qui était beaucoup plus âgée que lui mais tout de même assez jeune.
- De rien, si je peux faire le bien, je le fais, car j'ai trop de bonnes intentions et pas assez d'actions pour pouvoir pleinement les conrétiser. Reposez-vous maintenant, car votre énergie est encore faible. S'il vous plait.
- D'accord, dit-il en relâchant la main de Danaline."

Puis soudain il s'endormit sous le regard de la prétresse qui venait de l'endormir. Elle le remit allongé et le couvrit. Elle l'observait avec bonheur, et se disait que ce jeun homme était peut être son sauveur, mais le sauveur de quoi, de qui ?
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Le voyage de Wakayor
Une guerre ?


Danaline remonta lentement les escalier les yeux remplis d'espérence. Cette femme âgée de vingt et un ans avait l'expression d'une femme sage et expérimentée. Elle arriva finalement sur le pont du bateau.
C'était un petit navire mais assez vaste pour quatre ou cinq personnes. Sur la droite de la pretresse ce situait l'avant du bateau, derrière lequel l'horizon était lointain. Le gouvernail était mené par le vieil homme courbé. Il portait un chapeau et se tenait à l'aide d'une canne.
De l'autre coté du bateau, ce trouvait le mat, les voiles, les cordages, les écoutilles et l'arrère du bateau.

La dame s'avança jusqu'à atteindre son grand-père. Elle dit :
"Cet homme me donne un nouvel espoir, je ne sais pas pourquoi, mais il me rassure.
- Comment, demanda le vieil homme en mettant dans son oreille une sorte de minuscule trompette
- Je disait que ce jeune homme me donne de l'espoir.
- Tu crois ma petite fille. Je ne sais même pas qui il est je n'ai pas mon monocle. Je ne l'ai même pas vu.
- Il est pourtant là depuis cinq jours !
- Comment ! Tu as laissé dormir un homme dans ton lit durant tant de temps !
- Mais enfin papi Gregor, j'était à ses côtés et je le soignais. Je suis une pretresse tout de même, j'ai une certaine dicipline à respecter, mais dans certains cas, il faut savoir passer outre.
- Passer outre ! Tu es une menteuse, je te connais depuis que tu es toute petite.
- Grand père, je n'ai rien fait, je te le jure. Il était grièvement blessé et s'est réveillé il y a peu de temps. Il n'a rien fait de mal.
- Hum. Je sais que tu es digne de confiance quand tu me montres ce regard. Mais je me méfit de lui tout de même. Tu es une belle femme !
- Ne t'inquiette pas mon papi.
- Alors tu penses qu'il pourait nous libérer de l'emprise des samouraïs noirs ?
- Je l'en crois capable effectivement. Les blessures qu'il avaient étaient telles que je me demande encore comment il a fait pour y suvivre.
- Cela ne suffit pas face aux samouraïs noirs ma chérie. Il faut un combatant hors paire !
- Il l'est je crois. Je le sent, ses membres sons recouverts de cicatrices de loup et d'ours ainsi que des entailles longues sur son torse faites par des armes tranchantes. Ses muscles sont extrèmement durs. Il a perdu la mémoire...
- Mais dis donc, tu l'as bien observé à ce que je vois. Si ce que tu dis est vrai... Quand il sera remit sur pieds, je lui ferai passer quelques tests. Nous verrons bien s'il correspond à ce qu'il paraît !
- A mon avis, tu vas être surpris, hihihi...
- Hum."

Le vieux Gregor tourna la tête vers la mer et se reconcentra pour naviger correctement à l'aide des boussoles et autres cadrans soffistiqués qui se trouvaient à coté du gouvernail. Ce vieil homme était un grand mathématicien de la navigation. Il avait lui-même construit ce bateau et voguait depuis très longtemps. Ses connaissances dépassaient largement celle d'un simple navigateur. Il écrivait en même temps que de conduire son navire. Il faisait des calculs de trajectoires.
Danaline quitta son aïeul et marcha vers le fond du bateau et ouvrit la porte d'une cabine. Elle entra donc dans la pièce aménagée en bibliothèque et en même temps en salle de prières.

Un fauteuil à bascule était posé dans le fond et à droite ainsi qu'à gauche, étaient rangés une multitude de livres. Des livres de mathématiques, de navigation, d'histoire, de magie, de médecine et de religions. La dame ferma la porte derrière elle et chercha un ouvrage dans le meuble de gauche. Elle trouva donc un bouquin à propos de la medecine, plus exactement, sur les explications des guerison des blessures. Elle s'assit et commença à lire avec calme.
Le bruit de la mer dominait, il était apaisant et puissant par l'impression d'éternité qu'il donnait. Un peu de vent souflait sur le pont. Le ciel était bleu, et le soleil était brillant, un belle journée en somme.
Gregor bloqua le volant et se rendit dans la chambre où dormait Wakayor. Arrivé devant le lit, il observa des endroits particuliers de son corps. Le bras droit de couleur noire l'intriga au plus haut point.
"Quel est donc cette chose... Un membre cramer mais... Il est toujours vivant. Aucun doute, son bras a subit un éclair pourtant il a garder son activité cellulaire... Etrange. Hum, les cheveux bleus, qu'est ce que c'est que ce clown... Lui, nous sauver... Ah, si c'était possible..."

Le vieil homme regarda devant lui comme s'il se rappelait quelque chose. Des images...

"Vous êtes contant ! Vous avez ce que vous vouliez, alors laissez nous tranquille, dit une femme qui serrait son petit contre elle, dans une route entre l'Est et la ville de Gira.
- Non ! Vous devez payer pour votre praisance ici, cria un samouraï habillé en noir et le visage caché.
- Laissez cette femme visigos ! Elle ne vous a rien fait, dit alors un guerrier s'approchant de la dame à cheval.
- Es-tu prêt à te battre salopar de noble, dit l'autre samouraï plus petit que son allié mais ayant les mêmes armes et le même accoutrement.
- Je veux bien me battre mais laissez cette femme partir ainsi que son enfant !
- D'accord, dirent les deux samouraïs
- Merci Sir Elrax, dit la femme en partant vite dans les bras de Gregor qui était le spetateur impuissant de cette mascarade.
- Sir Elrax, faites attention ils sont très dangeureux, dit Gregor
- Ne vous en faites pas Sir Farisstandaliss et éloignez-vous tous de la !
- Fort bien..."

Et Gregor disparu laissant son ami Elrax. Mais il ne le revint jamais.
Ce souvenir le hantait. Depuis une année, les samouraïs qui ne donnaient d'habitude aucun signes désagréables, avaient commençés à attaquer les nobles de Gira qui transitaient sur la route de l'Est. Un problème inconnu dérangeait maifestement le chef des samouraïs, Mekko Kensaki. Un début de guerre s'annonçait et la pretresse Danaline, qui était l'une des principale porte parole de nobles de Gira, cherchait une solution, une explication à toutes ses petites guerres. Elle avait une piste, des rumeurs comme quoi le fils de Mekko fut tué par un noble, ce qui expliquerait l'acharnement qu'avaient les samouraïs contre les enfants des nobles, dont nombreux d'entre eux furent purement et simplement masacrés.
Donc, ces discentions étaient nées et maintenant se multipliaient de jour en jour autant d'un côté que de l'autre. Les nobles les plus importants de Gira préparaient une guerre qui se désiderait d'ici une ou deux semaines. La pretresse ne voulait pas de cette guerre car elle aimait en secret un des samouraïs avant que l'incidents se produise. Depuis ce jour, elle n'eu plus de nouvelle de son amour. Elle ne voulait pas de cette guerre car elle considérait la philosophie des samouraïs parfaitement respectable... Mais commençait à en douté depuis un an.
Malgré tout, son amour pour Yaki Soko, son amant, ne disparaîssait pas.
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Le voyage de Wakayor
Les samouraïs moirs


Le lendemain, Gregor et Danaline étaient tous les deux prêt à amarrer dans l'un des port de Gira. Ils se situaient tous deux à l'avant du bateau et une troupe de pretres et des chevaliers s'étaiet préparés à leur arrivée.
"La pretresse Danaline est arrivée, cria une voix lointaine"
Ils leurs fallait encore une minute pour atteindre la côte. Les cris se rapprochaient. Une voix se fit entendre derrière la pretresse, et en même temps elle sentit une main chude se poser sur son épaule.

"Merci belle dame, je suis prêt à vous aider, dit Wakayor, rhabillée et paré à l'action.
- Hun... Mais, vous êtes déjà guérit ?
- Oui, la vie est trop courte pour la passer à se reposer, dit-il avec le sourire. Tout cet acueil pour vous... Mais dites-moi vous êtes célèbre... Euh on est où au fait...
- Oh, taisez-vous homme, dit Gregor. Ne savez-vous pas faire autre chose que parler pour ne rien dire !
- Hum... Votre papi est très gentil à ce que je vois...
- Ne faites pas attention, répondit Danaline, il est un peu dur avec les gens. Nous sommes à Gira.
- Hu... fffu, je ne suis pas dur."

Ceci dit, le bateau fit amarré par les prêtres qui attendaient avec impatience Danaline. Une bonne dizaine de clercs et une douzaines de nobles étaient là. Ils observaient tous avec inquiétute Wakayor. Wakayor était habillé de sa tunique blanche, il portait son épée à deux mains sur le dos et ses dague et son sac à la ceinture. Les nobles le regardaient n'un oeil ennmis et les prêtres avaient plutôt un regard reflexif.
"Soyez la bienvenue Danaline, dit le premier prêtre
- Merci Tarno, vous avez des nouvelles du chef des samouraïs.
- Non, nous avons envoyé des escadrons ce matin, ils ne sont toujours pas revenus.
- Et nous allons ordonner immédiatement une préparation de guerre, dit un noble richement habillé
- Monsieur Yard, arrêtez un peu cette phobie, l'affaire est importante, les samouraïs sont des ennemis redoutables, et certains d'entres eux peuvent tuer une dizaine d'adversaires sans être extrèmement blessés, dit Gregor Farisstandaliss
- Nous allons parlementer dans un autre endroit, dit Danaline. Mais laissez moi vous présenter un cousin. Il se nomme Wakayor. Il vient de très très loin, c'est un guerrier qui va vous étonner.
- Euh, non non... Je n'ai l'intention d'étonner personne eh oh... Faut pas pousser ma belle...
- ......
- Eviter de paler si cruement, chuchotta Danaline à Wakayor.
- e... hum.
- En quoi nous étonnerait-il, demanda le noble à droite de Monsieur Yard.
- Allons au temple, je vous expliquerai.
- Mais dites moi, que suis-je censé faire ?
- Suivez-moi en silence jusqu'au temple, je m'expliquerai auprès d'eux et vous aurez alors la parole."

Parmis les clercs, l'un d'entre eux observait avec facination Wakayor. Il marchait asez près de lui ce qui mettait Wakayor mal à l'aise. Le prêtre dit alors :
"Vous êtes un guerrier sir ?
- Sir, pourquoi m'appelez-vous...euh... Ah oui sir... Eh bien oui, je suis un guerrier.
- Vous avez fait beaucoup de combat n'est-ce pas ?
- Je suis certes un expert en combat à mains nues mais... Je déteste me venter. Disons que je reste assez ignorant pour ce qui est de la guerre.
- Mais vous avez des blessures partout !?
- Ayoriss, laisse la tranquille, tu pourras parler avec lui en temps voulu, dit Danaline.
- Bien pretresse."

Il marchaient donc dans la ville. Les nombreux commerces, étalages, forges, auberges de luxes profusaient de partout. Les rue étaient pavetés et peu de végétation apparaîssait.
L'activité humaine était énorme et les cheveaux de trais se dépacaient à droite et à gauche.
Un chateau se dévoilait petit à petit. Une marche d'un quart d'heure et ils atteignirent un temple divin voué au dieu unique Pazu. Le cortège s'arrêta devant l'entrée. Danaline se mit devant l'entrée et s'écria :
"Bien, nous devons aujourd'hui mettre les choses au clair avec les samouraïs. J'invite autant de gens que possibles afin qu'ils écoutent le résultat de mes enquêtes. Le roi est dans le temple et il m'attend, j'ai peut-être trouvé le sauveur que nous cherchions."

Tout à coup, tout le monde tourna ses yeux sur vers Wakayor qui se transforma alors en minucule sourie qui sourie...

"Euh... Ouai, j'ai une truc sur la figure ?
- Allons mon cousin, restez tranquille, je vous expliquerai"

Tout le monde rentra dans le temple. La beauté de cet endroit était impressionante. Le sol était fait d'un marbre bleu brillant presque translucide. Une fontaine de vie au centre s'élevait, et coulait autour d'un sculture en forme de grande jarre de couleur blanche.
Des vitraux sur chaque mur laissaient passer la lumière avec des reflets vert vif et rouge sobre tendant sur le pourpre. La chaleur de cet endroit remit d'aplomb l'état de Wakayor qui était très réceptif.
Cinquante personnes étaient présentes. Le roi était apparemment l'homme habillé d'une armure lourde. Il était assit sur un trone. Son aspect était celui d'un noble simple et assez triste. La pretresse se mit à ses côtés après l'avoir salué.

"Bien, nous nous somme fait attaquer il y a maintenant un an par une bande de trois samouraïs noirs. Ce peulple ne nous a jamais attaqué auparavant. J'ai trouvé cela étrange, et je n'ai jamais pu apprendre quoi que se soit à propos de cette énigme. Ils se sont mit à attaquer nos familles, nos enfants !
Cela fut une attitude infâme que je blâme autant que vous. Ils méritent la mort... Nous avons envoyé des vengeurs mais les affrontements n'ont rien donnés. Et à chaque fois que j'ai voulu savoir pourquoi ils faisaient ça, les réponses venaient puis disparaîssaient aussitôt. Et ce pendant un an.
Mais me revoilà et je sais maintenant ce qu'il s'est vraiment passé ! Un meurtre... Le fils de Mekko Kensaki chef des samouraïs, s'est fait tué il y a un an et un mois...
- Balivernes, dit soudain un noble au regard froid. Je ne sais pas où vous avez eu ces inform...
- Pas de polémiques Sir Zang, cria le roi Schnédèr
- Merci mon roi, dit Danaline. Je disait donc que cet assassina fut commit il y a un an et un mois. J'ai obtenu ces rumeurs de sources sûres et je ne les divulgeraient pas ! Toujours est-il qu'un tierce personne m'a empéché de mettre la main sur ces informations ou m'a obligé de ne les découvrir que maintenant. Je cherche la paix avant tout, et je ne ferai la guerre que s'il y a des raison tangibles, explicables et valables.
- Mais pourquoi ces visigos ne nous ont rien dit !
- Oui c'est vrai, les méchants dans l'histoire ce sont eux !
- Ouai, ya ayjkat jatkata !
- Allons, je suis d'accord avec Danaline, cria le roi
- Puis-je me permettre s'il vous plait, dit Wakayor qui avait sorti son épée à deux mains et qui était étrangement inquiet...
- OOOooohhh, au secours, il veut nous tuer
- C'est nu espion !
- A l'aide !!
- Calmez-vous, dit Danaline... Que voulez-vous Wakayor, que ce passe-t-il ?
- Sortez tous !!!!!!!!!!!!"

A la suite de se cri, trois homme surgirent du plafond et se lancaient sur Wakayor. Ils étaient des samouraïs noirs.
Tous les gens autour de Wakayor partirent en courant et le roi se leva de son siège, et la pretresse se concentrait soudain.
Wakayor repoussa deux ennemis en fonçant sur eux ainsi évitant le troisième. Les deux ennemis repoussés étaient tombés au sol et se relevèrent aussitôt.
Le troisième chargea le barbares, et Wakayor d'un geste rapide attrapa trois fléchettes de son sac et les lança sur son ennemi qui en évita une mais pas les deux autres qui se plantèrent l'une dans le visage et l'autre dans le genou. Le samouraï touché tomba mais était loin d'abondonner.

"Que voulez-vous, demanda Wakayor
- Pas de question, nous voulons votre vie !
- Allons, vous ne tinedrez pas longtemps contre moi, je vous laisse une chance, je range mon épée (ce qu'il fit aussitôt)
- Tu es fou mon pauvre...
- Ah oui ? Regardez plutôt ça."

L'autre samouraï derrière Wakayor s'appretait à lui mettre un coup fatal mais wakayor lui mit un coup de coude dans lestomac qui l'éjecta à plusieur mètres et il finit par se faire masacre par le peuple de la foule. Et avec ce coup de coude il pris son élan pour repartir et exécuter le déplacement floux. Les deux samouraïs ne voyait plus Wakayor...
Il réapparu brusquement et d'un coup sec cassa la lame du sabre de l'ennemi qui se trouvait à sa droite. Il évita une attaque de l'autre lui retourna un uppercut qui le mit KO. L'autre n'ayant plus d'arme s'échappa et partit trop loin pour que quelqu'un le ratrappe.

Une grand stupeur frappa Gregor, le roi, Ayoriss et même Danaline qui ne s'attendait même pas à un tel niveau.
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Le voyage de Wakayor
Enigmes


"Epargnez ces hommes, dit alors Danaline en s'approchant de Wakayor. Dites-moi jeune homme, d'où vous viens une telle adresse ?
- Oh... C'est rien... ahh..."
Tout à coup Wakayor se mit à genou et se tenait ma tête.
"Ah j'ai encore mal quand j'essaye de me rappeler, continua-t-il en se relevant avec l'aide de la pretresse.
- Ne vous fatiguer pas trop, sous vos airs puissants, vous êtes tout de même un humain comme moi.
- Merci de votre sagesse, je la retiendrai.
- Ne bougez pas, je vais guerrir cette blessure qui est sur votre tête."

Elle trira le bandage et laissa entrevoir une grande coupure encore non cicatrisée. Elle se concentra et ferma les yeux en mettant ses mains à quelques centimètres de la grande plaie. Une légère sensation de chaleur fit un bien fou à Wakayor qui ferma les yeux de bonheur et qui escissa un sourire bref. Les mains illuminées de Danaline cessèrent leur lueur au bout de cinq secondes. Wakayor sentait sa blessure guérie et sa mémoire revennait soudain de façon moins douloureuse.
Danaline retira ses mains et fit un sourire dégageant une aura de bien-être qui fit fondre d'émotion Wakayor qui était très réceptif par rapport à ces choses.
"Votre sourire illumine votre visage Danaline, merci.
- Merci à vous, votre aide est inespérée.
- Pour répondre à votre question, dit le jeune homme en baissant les yeux de tristesse... J'ai subit un entraînement forcé chez les barbares du nord. Je devais devenir leur chef.
- Leur chef ? Vous vous êtes échappé ?
- Non... Mais je ne veux pas parlé de ça, répondit-il en relevant la tête dont le yeux étaient bordé de larmes naissantes.
- Je vois comme vous souffrez... Je ne vous embettrais plus avec ça, pardonnez moi.
- Ce n'est rien. Il faut épargner ces hommes d'après vous ?
- Oui ! Ayoriss, viens ici s'il te plais.
- Je viens pretresse ! Que puis-je pour vous ?
- Ramenne moi les deux survivants et nous allons encore tenter de les intéerroger, peut-être que mon argument les fera enfin parler.
- Depuis un an, vous n'avez pas réussit à retirer quoi que ce soit d'eux, demanda Wakayor
- Non sir, répondit Ayoriss. Ces hommes sont former pour résister au interrogatoires les plus violents qui soient. Nous avons la souvance d'un samouraï qui a resisté à huit jours de questionnade et de tortures.
- Huit jours ??? Il est mrot en fin de compte.
- Oui. Malheureusement, nous ne pouvont pardonner à des hommes qui tuent nos enfants, dit violemment le jeune clerc."

Ayoriss était très beau, un charisme le charactérisait aussi par sa voix très humble et chaleaureuse mais sa timidité le rendait plus simple qu'il ne paraîssait.
Sa conviction quand il prononça cette phrase toucha Wakayor.

La foule autour dans le temple s'était dispersée et attendait une parole du roi Schnédèr, mais il était toujours aussi triste et pensif. En quelques minutes, le temple se vida.

"Oui je voie... Je comprend, dit Wakayor en regardant l'un des deux samouraïs qui était porté par deux hommes vers Danaline.
- Retiré lui son son masque dit Danaline
- Voilà, dit un des homme du peuple
- Qu'as tu à nous dire sur le mobile de votre mascarade ?
- ... Je n'ai rien à dire. Ma patience est ma force."
Soudain, Wakayor avança rapidement en direction de l'ennemi et le pris par la gorge serrant progressivement avec la main de son bras noir. Une lueurs légère aparu autour de sa main et il serrait de plus en plus fort.
"Répond à la dame s'il te plais...
- Ah.... je... n'ai... ri.. rien...
- Je me fache !"
Wakayor laissa partir un petit éclair qui surpprit les spectateurs de cet évènement. A ce moment précis, le samouraï se mit à tituber et à tremble à cause de la décharge qui l'affectait.
Puis un noble approcha soudain et intervint.
"Vas-tu parler, cria Sir Zang qui lui attrapa l'épaule aux côtés de Wakayor, dont le bras se mit à briller plus fort à l'approche de Zang.
- Laissez Wakayor faire, dit Danaline
- Je vais lui montrer à se samouraï de malheur, dit Zang mettant une dague sur le coeur du prisonnier
- Mais voyons que faites-vous, dit Wakayor
- Arrêtez de parler homme des bois, ne voyez-vous pas que vos tours de magie sont inutiles
- Inutiles ! Non mais, qui c'est ce lourdau, cria Wakayor en lachant le samouraï
- Comment osez-vous vous moquer avorton, lanca Zang
- Allons calmez-vous messieux, dit Danaline
- Je vais te... Par ta faute, cet homme ne parlera plus, dit Wakayor en regardant de très près le noble qui tenait fortement sa dague.
- Comment pouvez-vous m'accuser d'une telle chose, vous n'aviez qu'à pas l'étrangler si fort, imbécile
- Grrrrrr... Je m'en vais dit Wakayor qui se retourna de rage.
- Mais non mon ami, dit Danaline, restez !
- Je reste pour vous et Ayoriss... Mais votre allié, dit Wakayor d'un ton ironique, ne me plais guère.
- Dites plutôt que vous ne savez pas quoi dire face à votre erreur. Mélez-vous de ce qui vous re...
- Taisez-vous Zang, cria Danaline. Si cet homme n'avait pas été là, nous serions peut-être en train de compter nos morts !
- Dès à présent, s'il le veut bien, cette histoire le regarde, dit Ayoriss
- Votre peine me tiens à coeur, dit le jeune barbare. Vous m'avez aider sans que je ne vous demande quoi que ce soit. Votre âme charitable, chère Danaline, n'égal que peu de personnes ici. Je suit l'idée d'Ayoriss... Je vous aiderai autant que je le peut.
- Hufm ! Je ne fait pas confiance à cet homme, c'est un barbare, dit Zang en sortant du temple.
- C'est ça, vire ta viande, pensa Wakayor en regardant l'homme qui partait."

Zang était petit et assez sec. Ses yeux bridés et son manque totale de poils, autant sur la tête que ailleurs, le rendait particulié. Son visage n'inspirait que la froideur d'un homme d'argent.

"Bon débarra, dit Ayoriss, n'est-ce pas maîtraisse ?
- Hum...
- Il n'a pas tort pour ce qui est du prisonnier, dit monsieur Yard. Que lui avez-vous fait ?
- Je ne vous dirai pas ce que je lui ai fait mais je peux vous dire que votre soi-disant allié l'a tué lui-même !
- Vous ne pouvez pas porter de telles accusations sans...
- Peu importe, dit Danaline, nous aurons d'autres occasions
- Arrêtez je vous en prie, dit le Roi Schnédèr. Nous avons subit trop d'attaque, et cette affaire de meurtre ne fait que confirmer ce que je sais mais que je n'ait pas encore divulgé.
- Pas encore, dit monsieur Yard
- Rendez-vous au chateau à la fin de la journée. Je ferai venir ceux qui sont consernés ainsi que vous tous qui êtes restés ici. Vous saurez ce qu'il en est. Quand à vous Wakayor, je vous remercie infiniment, et vous invite également. J'ai une grande confiance en Danaline.
- J'en suis honoré, roi.
- Mais dites moi, vous ne seriez pas de la famille de la Reine ? Vous ressemblez beaucoup à sa fille.
- Non. En fait, je ne sais pas d'ou je viens... Ma mémoire est vide depuis que j'ai quatorze ans."
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Le voyage de Wakayor
Où est Razmo


Au même moment, un oiseau chantait dans un arbre gigantesque entouré d'une clairière, de jardins, de petit ruisseux, de pont courts. D'autres arbres plus petits s'éparpillaient sporadiquement sur une surface grande et luxuriante.
Des ruelles se formaient par-ci par-là, et rejoingnaient les temples des samouraïs.
Le fuyard du temple de Pazu revint rapidement et entra dans une des cinq temples. Ces lieus de recueillement et d'entraînement étaient faits de bois solide, construit en carrée avec un toit en forme de piramide dont les faces étaient concaves.
L'homme écarta la porte glissante de droite afin d'entrer. Dans la pièce, plusieurs samouraïs s'entraînaient assidument aux techniques de Mekko, qui observait ses élèves avec patience et attention. Ils stoppèrent leur activité en voyant leur frère arrivé.
L'homme salua Mekko Kensaki.
Le chef des samouraïs était mince et grand. Son visage neutre exprimait constemment la question. Cet homme était sans arrêt en train de se poser des question, et de se remémorer les réponses, au questions importantes. Il avait les cheveux raides et noirs, les yeux noirs et bridés et il avait aussi une moustache et une courte barbe.
"Que fais-tu sans ton katana diciple Rayane ! Ne t'ai je pas apris à ne jamais oublier, perdre ou caché ton arme.
- Eh bien c'est que... Voilà ce qu'il en reste, dit Rayane en montrant le manche du katana sans lame.
- Hun ! Que voilà ? Donne moi ça !
- Voilà.
- Hum... Du sang dessus... Du sang frai de plus. Hum... La lame a été frappée par un objet solide... La cassure est rude.
- Un homme est arrivé d'on ne sais où et a mis en échec deux d'entre nous, et avec sa main, il cassé ma lame.
- Un homme... A quoi ressemble-t-il ?
- Il est très jeune, quinze je pense. Il a la peau très brune et des cheveux bleus. De plus, son bras droit est tout noir. Il a détecté notre présence avant même de nous voir.
- Bras noir... Est-ce possible ? Je vois, et d'où vient cet homme ?
- Il ne le savent même pas eux-mêmes.
- Deux d'entre nous y sont restés. Ils pairons pour la mort de mon fils et de tous les autres, je ne cesserais pas de les combattre !
- Il y a autre chose.
- Je técoute Rayane.
- La pretresse Danaline a découvert que la mort de votre fils est à la source de tout cela, ce qui laisserait sous-entendre qu'ils ne savaient pas...
- Ils ne savaient pas... Comment cela... Où est Razmo, il avait là-dessus, des informations plsu claires... Pourquoi aujourd'hui... Ils ne savaient pas, mais ce n'est pas concevable, c'est certainement une ruse... Trouvez Razmo, et vite, je crains maintenant d'avoir fait une grave erreur !"

Tous les diciples, exépté Rayane et deux autres, partirent à la recherche du fameux Razmo.
Dans la pièce il y avait donc Rayane Boob, Mekko Kensaki, Yako Beril et Kataliss Gromm.
Yakko Béril était un bel homme équilibré, les cheveux brun et les yeux bleus translucides. Il était l'amoureux de Danaline. Mais ses sentiments pour elle avaient changées de nature... Il pensait à elle mais n'arrivait pas se remettre de la mort du fils de Mekko qu'il aimait beaucoup.
Quant à Kataliss Gromm, il était le plus grand et le plus robuste de tous. Sa figure inspirait le mystère, il était semble-t-il aussi âgé que Mekko, c'est à dire trente ans. Il avait des yeux verts, ronds et grands et sa cheveulure longue et turquoise faisait de lui un homme étrange au demeurant.

L'entrée du temple était très vaste les murs était affublé de tableaux, de textes d'armes. Plus loin se trouvait le sol d'entraînement, les tatamis, aussi vaste que l'entrée. Dans le fond, un escalier montait vers l'étage au-dessus. Le plafonds était orné de grands dessins de créature féeriques.

"Quel est cette histoire de connaissance des faits, demanda Yako
- Eh bien, Razmo, qui est mon principal espion, m'a donné des informations précises comme quoi les nobles de Gira savaient très bien que Ken avait été assassiné. Aucune preuve n'avait été donnée, mais des meurtres ont été commendité par les nobles à partir de ce moment là. Ils ont continué à tuer comme nous commencions nous aussi à tuer... Bref on ne sais réellement pas qui a commencé...
- Cela veut dire que... Nous avons un assassin mais nous ne savons pas qui il est... Dans ce cas, paut-être n'est-il pas un noble, dit Yako
- Cela voudrait dire que Razmo ment, et je connais Razmo comme si je l'avait fait. Il ne ment pas.
- Hu huhummm... Ne vous fiez pas trop à ce rat, dit Kataliss
- Allons mon frère, restez poli envers un allié en qui j'ai une entière confiance !
- Votre confiance est certes sincère de votre côté... En est-il de même pour lui, demanda Kataliss
- Je le crois oui ! Attendons qu'il approche et nous seront fixés ! Cela fait longtemps que tu me rabache la même chose.
- Cet homme... Tout à l'heure, il nous a nargué, dit Rayane
- Comment ça demanda Yako ?
- Il a sorti son épée lourde et la rengainée aussitôt qu'il eût mit Joe par terre. Il disait que ça lui suffisait d'utiliser son corps.
- Nous aussi, nous sommes forts sans katana, mais mefions nous. Je ne m'inquiette pas pour ce gars là, il a certainement un point faible, dit Yako
- Un ennemi ne s'aprécit que lorsqu'il t'a mit une fois en échec. Qu'en as-tu observé Rayane ?
- Eh bien... Il est très rapide, plus rapide que moi, beaucoup plus. Il détecte ses ennemis rapidement, son adresse avec cette grosse épée implique qu'il doit avoir une grande force physique, et sa confiance est dure à briser. Il avait un blessure à la tête, une grande etaille. Ses bras étaient recouverts de traces de combats avec des animaux... Je ne saurais préciser lesquels. Il est habillé en blanc de la tête aux pieds et lorsqu'il s'est approcher de moi, il sentait une odeur forte terre et de carbonne.
- Bonne constatation, mais tu as certainement oublié des détails.
- Oui maître, dit Rayane par humilité, mais il avait tout de même un certain orgueil qu'il avait du mal à cacher.
- Maître, nous n'avons pas retrouvé Razmo, dirent les diciples en revenant de leur recherche.
- Comment cela... Montons à l'étage, c'est le seul endroit qu'il nous reste à vérifier. Vous deux, restez devant la porte et observez bien les alentours !"

Le groupe des douzes guerriers, dont les quatre précédemment seuls, prirent le chemin des escaliers. Arrivés en haut, ils visitèrent les chambres une par une mais il n'y avait que des femmes, des enfants, des hommes, mais pas de Razmo.
Ce personnage était un samouraï puissant, il était petit et robuste, un peu comme un nain mais un poil plus grand. Il était censé être un espion rusé et adaptable. Sa présence au près de Mekko ne datait que de sept mois. Le chef des samouraïs l'avait choisit pour sa réputation auprès de son père.
Soudain, des cris en dessous d'eux retentirent brièvement. De fait, les douzes samouraïs descendirent aussi rapidement que possible. Une fois au niveau du sol, ils s'aperçurent que les deux gardes étaient morts, et devant eux se tenaient debout, deux hommes cachés par l'ombre du toit à l'extérieur. L'un très grand et costaud et l'autre petit et robuste, comme Razmo
A ce moment là, Yako et Rayane s'apprétèrent à lander l'assaut contre les deux ombres mais Mekko les retint avec force et dit :

"Ne bougez-pas ! Ces deux hommes ne sont pas comme les autres... Je resent une présence familière que j'ai connu il y a longtemps... Que faites-vous ici ?
- Vous me reconnaissez donc, dit une voix sournoise. Si vous cherchez Razmo, il n'est plus de ce monde depuis longtemps !"
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Le voyage de Wakayor
Le rebelle du passé


- Que dites-vous là, cria Kataliss
- Vous autres ne pouvez comprendre... Nous attendions ce moment avec impatience... Il est temps de nous dévoiler au grand jour.
- Qui sont-ils, demanda Yako
- Je crains que nous soyons dans une position difficile, dit Mekko... Tenez-vous prêt à vous battre mes frères ! L'homme qui est devant vous, se nomme Arsseunik !
- Oh, crièrent-ils tous."

Manifestement, ce nom avait un sens précis pour tous les samouraïs du temple de Mekko. Arsseunik était un ancien samouraï rebelle qui s'était échappé il y a près de vingt-cinq ans dans le Nord-Est. Il était passé pour mort mais un doute planait tout de même. Sa réputation de samouraï était des plus néfaste mais il était énormemment redouté pour sa connaissance riche en ce qui conserne toute les contre technique de l'école des Kensaki.
Il n'y avait donc pour le moment que les douzes samouraïs devant eux qui avaient pu se rendre compte de la présence de ce meurtrier sur leur territoire...

"Et votre ami, qui est-il, demanda Mekko
- Il se nomme Izakrame ! Il est mon allié depuis longtemps. Nous sommes payés pour exécuter des ordres...
- Izakrame, dit interrogativement Kataliss. Tu t'es joué de nous petit rat ! Tu n'est pas Razmo, tu t'es fait passer pour lui !!!
- Comment ça, cria Mekko.
- Oui, c'est bien moi, je suis le frère de sang de Razmo, dit le petit homme en sortant de l'ombre.
- Etonné n'est-ce pas, dit aussitôt Arsseunik en émergeant de l'obscurité qui le cachait.
- Quelle ignoble trahison que voilà ! Je n'ose pas imaginer quelle personne se cache derrière cette mise en sceine horrible...
- Nous n'allons pas vous épargner, dit Yako qui pensa soudain à Danaline.
- Vous n'êtes pas à la hauteur, je le crains, dit Arsseunik."
Arsseunik avait un charisme inquiétant, il était habillé comme un voleur de grand chemin. Il tenait la poignée de son katana fermement. Son visage représentait un beau faciès mais derière cette figure se cachait évidemment une véritable haine naturelle pour les autres que ses yeux bleus dissimulaient avec brio. Ses lèvres étaient pincées et sa chevelure rousse et volumineuse était en vrac ce qui lui donnait un charme particulier.
"De toute façon, ce n'est pas vous que je veux, continua Arsseunik, c'est la tête de Mekko Kensaki... Après celle de Ken Kensaki !
- C'est toi qui a tuer mon fils ! C'est toi ! Comment as-tu pu !!!? Je vais te punir sur le champ, cria Mekko qui dégaina rapidement son katana qui brillait grâce aux rayons solaires qui traverssaient les quelques fenêtres du temple
- Je vais vous aider, dit Kataliss et Yako en même temps
- Ne vous mélez pas de ça mes frères ! C'est entre lui et moi !"
Arsseunik dégaina son arme aussitôt, et s'approcha de Mekko et ce dernier fit de même. Les deux hommes se distancaient de trois mètres et ne bougeaient plus. Ils se regardaient profondemment. Cela dura plusieurs minutes. Tous les hommes autour d'eux avaient le front en sueur. Les deux ennemis avait atteint un niveaude concentration élevé.
Puis soudain, Mekko attaqua par l'une de ses meilleure technique, "l'offensive de la grife du chat" porté généralement au visage. Arsseunik évita l'attaque mais reçu quand même une coupure sur la jour gauche. Ils seretournèrent tous les deux et les katanas se cognèrent pour rester collés avec force l'un contre l'autre pour finir par s'écartez.
Ainsi, les deux hommes se retrouvèrent au point de départ. Cette phase se répetta six fois. A chaque fois que Mekko lui envoyait un coup, l'ennemi l'évitait de plus en plus facilement.
"Je crois qu'il ne te reste plus que deux technique n'est-ce pas, demanda Arsseunik
- Tais-toi, je vais te masacrer !"

Cette fois-ci, le combat devint plus chaotique qu'avant et les bruits de choc metaliques monopolisaient les vibrations sonores alentours.
En sept minutes, les deux guerriers se fatigèrent beaucoup, c'était justement l'avant-dernière technique de Mekko, "le rythme du guépard".
Mekko était théoriquement moins épuisé que son adversaire mais était-ce bien le cas. La neuvième et dernière technique de l'école Kensaki dépendait du rythme du guépard.
Mekko devait avoir touché cinq points vitaux, très agilement, qui contrôlaient l'attention au combat de son adversaire. Si ces cinq points étaient touchés, et pas un de moins, l'adversaire serait incapable de se défendre face la neuvième technique.
La dernière technique nommée "le découpage fatal" consistait à sectionner les bras et les jambes de son ennemi en un seul mouvement très rapide. Mais l'inconveniant de cette méthode résidait dans le fait qu'elle rendait la défense de l'attaquant totalement inexistante. Seul les plus grands maîtres étaient capables de se défendre pendant l'utilisation d'une telle technique.
Mais hélas, comme l'avait vu Kataliss et Yako, Mekko n'avait pas réussit la huitième technique... Et il avait en tête de la recommencer.
"Maître arrêtez, je vais vous aider, dit Yako
- Ne te mèle pas de ça Yako, dit Mekko."

Ainsi, le chef eût une réaction étrange tout à coup. Il regarda rapidement Kataliss... Kataliss sortit soudain une grande arme de la taille de deux katana en longueur cachée dans un mur... Il la lança très vite à Mekko qui laissa tombé son katana et attrapa l'objet par le centre. Il était recouvert d'une couverture.
Mekko retira le voile et un double katana apparu sous les yeux ébaïs de tous, même ceux d'Arsseunik.
"Non, tu ne vas pas utiliser ça... Tu n'en est pas capable. Seul trois homme étaient capable d'utiliser ça sans se blessé.
- Eh bien... Je tente le coup assassin !"

Bruquement, Mekko chargea Arsseunik. Cette fois-ci, le voleur avait beaucoup plus de mal à effectuer ses esquives qui devanaient limites... Mais étonnemment, il resistait et se bornait à ne pas attaquer se qui exaspérait Mekko de plus en plus impatient d'en finir.
"Je vais exécuter "le décupage fatal" ! Prépare toi à mourir !
- Je suis prêt, hahaha, dit Arsseunik, très épuisé mais malgré tout sûr de lui.
- Yaaaa !"
Mekko exécuta l'attaque en un éclair et Arsseunik éxécuta une autre attaque inconue des autres samouraïs. En une seconde, le bruit de quelque chose qui tombe au sol se fit entendre... La tête de Mekko était tombée.
"Non ! Je vais te tuer, cria Yako en courant.
- N'avance pas trop vite dit soudain Izakrame qui se mit en travers de sa route
- Dégage !"
Un petit combat s'engagea entre le petit homme et Yako Béril. Arsseunik s'en méla et ejecta le jeune homme.
"Arrêter votre sombre jeu... J'ai la tête de Mekko Kensaki... Qui sera le prochain, ahahahaha
- hahahahaha, riaient les deux meurtriers."
Kataliss fonça à son tour sur Arsseunik et pour cette fois, Izakrame fut éjecté et une petite rixe s'engagea entre le moloce et Arsseunik. Mais Arsseunik désarma facilement Kataliss.
"Je ne vous veut aucun mal... Ne me rendez pas plus méchant que je ne le suis déjà... Adieu messieux.
- Vous pairez ce que vous avez fait, cria Yako les larmes aux yeux
- C'est ça, on se revarra petit, j'en suis sûr."

Arsseunik partit rapidement dans un bon état apparent mais en s'éloignant loin de la vue des samouraïs du Kensaki, l'homme se mit à genoux aux côtés de Izakrame. Son épaule était complètement éventrée et une grande blessure apparu également sur les côtes flotantes de gauche.
"Ce maudit Mekko... Il a bien faillit me tuer. Un quart de seconde de plus et j'étais mort. Je vais me reposer ici, quant à toi, va voir comment ce passe les négociations avec les nobles et remenne cette tête à Zang.
- Bien maître !"
Izakrame s'en alla aussi vite de le son vers Gira, pendant la nuit commencaient à tomber.
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Innébralble Danaline


L'heure de la réunion au chateau approchait et Wakayor ne cessait de penser à Eve, le coeur brisé de chagrin, ne pouvant plus pleurer, ayant déjà trop pleuré. C'est yeux fixaient le vide de la réalité. Il était alongé sur l'herbe d'une clairière qui se trouvait derrière le temple de Danaline. Autour de lui, les prêtres priaient pour que la guerre n'ai pas lieu. Il sétaient très sincères cette l'ambiance réconfortait le jeune homme.
Tarno, le maître-prêtre, menait cette mélodie douce et derrière lui, les douzes autres hommes le suivait dans son chant. Wakayor regarda Ayoriss qui chantait avec passion. Ses mains sérées et son aspect sincère emotionnait Wakayor.
La clairière n'était pas très étendue. Elle était en fait l'entré d'un cimetière dont les portes se voyaient non loin de Tarno. Ils cessèrent leurs prières et se dispèrcèrent. Certains retournaient dans le temple et d'autres restaient dehors à faire des prières supplémentaires. Tarno et Ayoriss rejoignirent Wakayor.
"A quoi pensez-vous mon ami, demanda Ayoriss
- Des souvenirs difficiles, répondit Wakayor en se relevant
- Je voie dans vos yeux une énergie inhabituelle sir. Mais il y a aussi une femme, dit doucement Tarno
- Que... Comment ?
- Mon frère, nonus sommes tous plus ou moins responcable d'un acte, comme un engrenage engendre la rotation de son semblable que se soit à deux centimètre ou à un kilomètre de distance. Mais c'est l'intention qui compte. Soyez sûr que si votre intention n'était pas de tuer cette personne, vous n'êtes en réalité pas du tout responcable.
- Je voudrais bien vous y voir, médium ! Quand on perd quelqu'un de cette façon, je peux vous dire qu'il n'y a rien au monde qui peut remplacer un premier amour !
- Que savez-vous de votre avenir, jeune homme. Je vous comprend très bien, et je suis désolé. Mais... Je sais par expérience qu'il ne faut pas s'attacher aux gens, même les amis ou les amours les plus grands, dit aussi calmement qu'il pu le vieux prêtre. Attacher-vous à eux tant qu'ils sont vivant, mais gardz vos distance jeune guerrier. Je sais que vous me comprenez très bien.
- Assez ! Ne parlez plus ! Ne parlez... plus... Je fais ce que je veux prêtre !
- Ne vous emportez pas sir, dit Ayoriss. Tarno a des façon de parler très radicales mais ses conseils vallent de l'or je vous le garantie. Grace à lui, j'ai réussit à devenir quelqu'un de bien, quelqu'un que je n'était pas dans le passé.
- Il en est ainsi pour toi Ayoriss, mais pour moi c'est autre chose. Je te connais depuis peu de temps mais je vit ta présence auprès de moi comme quelque chose de très familier... Peut-être nous nous connaissons ?
- Je ne sais pas, j'ai aussi perdu des souvenirs, en tout cas, je ne sais pas qui sont mes parents mais ils sont bien vivants.
- Ah, je sais ce que c'est.
- Allons messieux, partons au chateau du roi Schnédèr. C'est l'heure, dit Tarno
- Nous vous suivons maître, dit Ayoriss
- Je vous suis, continua Wakayor."

Les trois hommes entrèrent dans le temple et rejoignirent Danaline.
"Mes frères, prenez ces armes, dit la pretresse
- Comment, que dites-vous là, dit Tarno
- Ne discutez-pas Tarno. Vous comprendrez une fois que nous seront aux chateau
- S'il y a de la bagarre, je suis là, dit Wakayor. Je suis contre toutes forme de violence mais je sais défendre et attaquer quand cela est nécessaire, continua-t-il en faisant un clin d'oeil à Danaline
- Nous partons chez les roi, pas dans une arène.
- Pardonnez-moi gentille demoiselle, je ne saurait en aucun cas vous offencer plus longtemps.
- Arrêter vos courbettes Wakayor, répondit-elle avec un petit sourire.
- Allons-y, j'ai hâte de connaitre le secret que nous cache Schnédèr, dit Ayoriss".

Ils partirent donc en direction du chateau dont on voyait le partie haute. Même à la tombée de la nuit, les rues étaient animées. De nombreux bardes et de nombreux clowns travaillaient enssembles pour mettre de l'ambiances. Les auberges étaient pleines à craquée. Les quatres voyageurs passèrent à côté d'une échoppe bourée de pédants à moitiée saouls. Certains d'entres eux se moquaient des prêtres. Wakayor ne dit rien mais m'un d'eux se mit en travers de le route de Danaline.
"Eh bun ma bellleee... hik... Tu veux pas passer un agréable moment avec un beau gosse ... hik... com.. me moi.
- Dégage gros sac, dit Wakayor en avançant rapidement et tenant la poignée de son épée à deux mains.
- Non je vous en prie pas de violence vous avez dit, repondit Ayoriss en retenant Wakayor
- Laisse le, dot Tarno... Allez laisse le !
- Ayoriss, la sagesse est très bénfique.
- Ah ahhaha, hik, la sagesse... Vous êtes des faibles, je vais me la faire cette grande... pucelle... ha !
- Continuez ainsi et vous allez avoir de mes nouvelles, dit doucement Danaline. Wakayor ne bougez pas.
- Si tu resistes.. hik... j'te baston...ne... hik...
- Mon rôle ici est d'aider les pauvres, les malades, de montrer un bon exemple à ceux qui peuvent en faire autant... Afin que vous pouviez tous aussi donner un bon exemple ! Et que voilà un homme de bonne famille, sir Oxforesst, dans un état pareil ! Quelle honte, vous devriez vous mettre à genoux et demander pardon même à vous même ! Si votre fille vous voyait".
La pretresse avait dit cela avec une telle force et un tel charisme que son discours frappa l'homme malgré son état d'ébriété. Il se mit à pleurer et se mit à genoux devant la dame.
"Pardonnez-moi.. sniff... hik... je ...
- Relevez-vous homme... Votre courage vous sera certainement redevable un jour... Je vous pardonne !
- Rentrez chez vous sir Oxforesst, dit doucement Tarno, votre fille est très inquiette...
- Je ne peux pas.. hik... Elle va... Elle ne voudra pas .. me voir.. hik.. ainsi...
- Vous avez eu le courage de vous excuser publiquement, dit Ayoriss, vous l'aurez pour faire face à votre fille.
- Hum..."
L'homme partit comme un petit nuage vascillant sous les yeux emus de Wakayor. Il n'avait jamais vu ça de sa vie... Une pareil maîtrise du langage...
"Extraordinaire, vous êtes magnifique pretresse, s'écria Wakayor.
- Merci... Mais il ne faut pas pleurer ainsi... Reprenons notre route.
- Je suis désolé, mais je n'arrive pas à me retenir à pleurer devant de tels actes, j'ai les orifices lacrimaux (je dis n'importe quoi) trop gros, hihiha. En tout cas merci de cette leçon de sagesse".

Ils arrivèrent en un quart d'heure devant l'entrée du chateau.
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Regrès et traitrises


De son côté, sir Zang était en marche vers le chateau. Tout à coup un homme apparut devant lui avec quelque chose sous le bras.
"Qui es-tu ?
- Izakrame, serviteur d'Arsseunik
- Arsseunik. Viens ici, dit Zang qui alla se cacher dans l'ombre en attrapant le petit homme. Comment puis-je être sûr que c'est bien lui qui t'envoie.
- Voici le contrat. Et la tête de Mekko.
- Ah ! Magnifique. La preuve est faites. Gardez cet objet aussi longtemps que je le dirait. Pourquoi Arsseunik n'est-il pas venu lui-même ?
- Il... Il avait des problèmes avec les autres samouraïs à régler. Il reviendra.
- Cela ne me plait guères. Je veux le voir demain soir. Sinon, terminer, c'est bien clair.
- Oui sir, dit Izakrame avec une certaine mauvaise humeur mais en se contenant bien.
- Hm ! Alors à demain."

Le rendez-vous improvisé se passa très vite. Izakrame repartit comme une fusée dans la forêt et Zang repris son chemin sereinement.

En retournant vers son maître, Izakrame se posait de plus en plus de question sur le travail qu'il avait exécuté. Il ne savait pas ce que c'était que cette histoire de fils. Zang leurs avait parlé d'un Ken Kensaki en tant que cousin ou diciple, mais pas du fils direct de Mekko Kensaki. Donc c'était ce qui pourrait expliquer l'état dans le seul est mantenant Arsseunik ; la rage d'un père peu être dévastatrice même à inégalité de force.
Arrivé là où il avait laissé son maître, Izakrame ne vit pas Arsseunik. Il se mit à le chercher longtemps. Il découvrit de longues trainées de sang qu'il suiva... Elle avançaient... Avançaient... Enfin, il tomba sur Arsseunik qui rempait et buvait de l'eau d'une rivère.
"Mais... Arsseunik, qu'avez-vous ?
- J'ai... J'ai soif, ça... ça ne se voit... pas !
- Mais... Vous êtes gravement blessé ! Je vais vous soigner...
- Laisse-moi idiot ! Je n'ai pas besoin d'aide, dit Arsseunik violemment. Arrête de t'apitoyer... Sur... Kuk, kuf... sur mon sort.
- Comme vous voudrez mais Zang exige de vous voir demain soir... Et vu votre état...
- Tais-toi, tu n'as pas à réfléchir à ma place. Que veux ce rapiat de Zang... Un sale manteur... Je ne savait pas que le fils de Mekko était Ken... A cause de lui, je crois que je ne pourais jamais plus me battre à mon réel niveau.
- Comment ?
- Mekko m'a infligé des coups dévastateurs et Kataliss a finit le... travail en me... blessant aux côtes... et au genoux droit !!! Mais j'ai tout de même réussit à le repousser... Un peu plus et je... Je perdait la vie...
- Mais c'est atroce !
- Oui... Je m'aperçoit que tout l'argent que j'ai amasser ne va finalement me servir à rien... Mais je n'abondonnerai pas. Je vais faire la peau à ce... à ce Zang.
- Arrêtez vos plaisenteries Arsseunik... Vous n'êtes plus en état...
- Tais-toi ! Je me méfie de toi depuis le premier jour... Tuer son propre frère... kuf kuf...
- Je l'ai tué ! Je devais le tué, il a tuer mon père ! Lui, c'est lui !
- Ah... je... kuf, je vois...
- Maître, ne faites pas cette bétise d'aller tuer Zang, il est notre seul espoir de retrouver...
- C'est un menteur... Il ne m'a pas dit que Ken était le fils de Mekko... Ah, ça va mieux, dit Arseunik en se relevant
- Vous êtes déjà guérit ?
- Non, mais demain, ce sera la bonne journée !
- Ah Oui ?
- Je vais peut-être faire une action pour les autres pour une fois... Mais mon intention en est loin... Et je suis triste de l'assassina que j'ai commit... Yako et Kataliss ne me le pardonneront jamais ! Je dois me préparer à me battre contre eux !
- Vous êtes contient de la force de ces deux ennemis ? Il ne vous feront pas de cadeaux...
- Hm... mhmhmhmhmhahahahaaa... Je n'ai pas peur d'eux, j'ai peur de moi-même... Je veux la retrouver..."

Les deux hommes s'assirent dans la forêt dense et se mirent à pécher.
En réalité, Arsseunik n'était qu'un ancien samouraï rebel et vagabon, frappé par la perte de son amour à l'âge de seize ans. Il la recherche depuis longtemps. Il est devenu chasseur de prime par obligation, et c'est habitué à ce travail qui raportait bien. Son ami Izakrame était du même bord que lui mais avant de devenir samouraï, il était un simple vagabon sans notions de combat au katana. Arsseunik est donc devenu son maître. De la est née une amitié forte.
Arsseunik resentait à présent une gène face au meurtre qu'il a commit... Et cette tête qui gisait à coté d'Izakrame lui faisait tourné la tête...

Un imporant combat se préparait et il faudrit être à la hauteur. Ce Zang allait réserver des surprises à nos amis.
Danaline, Wakayor, Ayoriss, Tarno, Monsieur Yard, le Roi Schnédèr, Sir Zang, Arsseunik, Izakrame, Yako Béril et Kataliss Gromm... Lesquel d'entre eux sont les traitres...
Il ne faut pas toujours se fier aux apparences...

"Patientez ici, dit un garde à Danaline devant le portail du chateau de Schnédèr.
- Fort bien jeune homme, nous attendons.
- Ouai ouai... C'est un sacrément beau chateau, cria Wakayor.
- Il a été construit il y a très longtemps dit Ayoriss.
- Ah, vous voici monsieur Yard, dit Tarno
- Oui... Ah, vous avez ammené ce barbare avec vous ?
- Hum... Dites moi monsieur, qu'avez-vous contre moi, demanda ironiquement Wakayor
- Laissez-moi, nos relations seront plus proches quand j'aurai une confince pleine en vous.
- Hum... soit, votre discours est juste, je l'accepte.
- Sir Zang, soyez le bienvenu, dit le Danaline
- Hmmm... Ce n'est pas à vous de m'accueillir, dit Zang sèchement".

En entendant cette voix, Ayoriss et Wakayor regardèrent l'homme avec une telle colère que Tarno retenu les deux par le bras, anticipant ainsi le moindre geste non maîtrisés.
"Il sont la aussi les piplette, hhahaha, je ne vous envie pas d'être aussi incignifiant
- Cessez vos critique sir, ou je pourrais vous faire très mal, dit Ayoriss en serrant les dents.
- Assez ! Pas de bétises, rappelle toi ton passé... Ne laisse aucun esprit embrumer ta conscience, dit Tarno plus inquiet qu'on aurait pu le croire.
- Vous règlerez vos compte plus tard, dit soudain Schnédèr
- A vous êtes enfin là, dit Danaline. Bous sommes impatient de connaître votre révellation !
- Fort bien chers amis, ainsi don, suivez-moi sans vous chamailler, je vous prie, sir Zang.
- Mmmmoui, répondit Zang".

De ce fait, les deux gardes ouvrirent le grand portail et les sept gens s'engouffrèrent dans le chateau. Le roi les firent monter, le chateau était assez beau.
A l'intérieur, beaucoup d'animaux empaillés ornaient les murs et beaucoup d'armes aussi. Peu de personnes étaient là, quelques cuisinier et ciisinières...
Le roi les fit entrer dans une grande pièce de conférence. Deux table rectangulaires étaient là. L'endroit était magnifque, le sol était recouvert d'une matière molle et agréable de couleur bleue, des urnes en or remplies de bijoux étaient posées sur une cheminée. Les murs aussi étaient très beaux, décorés par de splendides dessins accompagnés de textes écrits dans une langues qui échapait à la plupart des invités.
Il prirent place et des boissons leur fut servies. La discution commença...
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Le moment de vérité


"Bien ! Mes amis, je vous ai fait venir ici afin que vous sachiez la vérité sur notre ville et sur le territoire des samouraïs. Nous avons eu à déplorer de nombreux morts de notre côté... Les samouraïs en on eu tout autant.
Tout cela a commencé il y a exactement un an et deux jours... Je me trouvais dans mon appartement quelques étages au-dessus de nous, et un de mes messager est arrivée en trombe sans frapper à la porte... Je l'ai vertement semencé mais il n'a rien voulu entendre, il était prostré, il titubait et son discours sous-entendait une mauvaise nouvelle. Je l'écoutai donc et il me dit ceci :
« Au mon roi, pardonnez-moi mais j'ai un message de la plus haute importance à vous communiquer
- Eh bien allez-y !
- Le voici maître, il m'a été donné par un samouraï... Et... Et, dit le garde titubant
- Continuez, qu'avez-vous à tembler ainsi ?
- Voilà le parchemin, dit le messager en donnant un parchemin à Schnédèr
- Merci !
- De plus mon roi, un message oral doit vous être communiqué. L'homme qui m'a donné cela m'a dit que... Ah !
- Qu'est-ce donc ? »

"J'en vint à me poser des questions... Je n'avais même pas encore lu le message que mon messager fut assassiné sous mes yeux par une flêche plantée dans le cervelet... Je me hâtai en courant dans le couloir et en donnant l'alerte de fermer toutes les portes du chateau ! L'assassin ne devait pas partir de mon palais sans avoir été retrouvé et questionné ! Dans ma hâte, j'ai oublié le parchemin et j'ai laissé... Tomber ou je ne sais quoi... Toujours est-il qu'en recherchant le traitre, que je ne trouvai pas, j'ai bel et bien perdu le parchemin en revenant sur mes pas. J'ai gardé ce secret.
Le lendemain, un jeune de treize ans était mort dans l'Est de la ville. Les villageaois victimes de cet horrible évènement se sont bornés à faire justice eux-même en essayant de tuer des enfants chez les samouraïs, parce que soi-disant ils ont eu le témoignage d'un vieux clochard qui trainait par là qui a vu un samouraï exécuter cette basse besogne. Le sang fut répandu, et je n'ai pu qu'approuver le geste des villageaois car le témoin était formel. A partir de ce jour, des petite guerres s'engagèrent entre nos deux peuples et je ne maîtrisais que très peu les accidents des deux cotés.
J'envisageais une guerre mais Danaline m'en empécha et essaya de rentrer en contact avec les samouraï mais à chaque que cela fut possible, elle se faisait attaquer par un mystérieux samouraï. Elle échappa à la mort près de vingt fois. Bref, passant d'une guerre juste, cet affroontement est devenu plus barbare et à présent, le guerriers se battent pour défendre leurs terres mais la guerre est très proche et va eclater au grand jour.
- Et le parchemin, dit Wakayor, avez-vous essayé de le retrouver ?
- Oui, maintes et maintes fois. Mais sans succès... Par contre, je crois que le message était clair... Cela devait être dur genre "Vous avez tué mon fils, si votre pardon n'est pas expliqué et rembourcé avant ce soir, je me chargerai de faire la même horreur que vous !"
- Mais alors vous croyez que ma révellation était celle du parchemin, demanda Danaline
- Oui, j'en suis certain ! Nos deux peuples ne se sont jamais battu, je ne voyais pas pourquoi cela commencerait sans une raison valable !
- Je n'aime pas ces samouraïs, dit Zang. Ils sont fous à mon avis et ont fais ceci pour engager une guerre !
- Inconcevable, s'écria Danaline. Je connais leur code de l'honneur, il ne sont pas ainsi !
- Vous connaissez bien des choses je trouve ! Vous seriez une complice que cela ne m'étonnerais pas !
- Comment osez-vous, cria Ayoriss qui commençait à ne plus réussir à ce contenir une colère étrange
- Disciple, pas de bétises, dit Danaline. Cet homme n'est pas digne de confiance...
- J'ai la preuve malgré tout que vous avez des relations avec un samouraï, dit sournoisement Zang
- Hun, crièrent Yard et Schnédèr.
- Et alors... J'ai eu des relations avec l'un d'entre eux c'est vrai, et qu'est-ce que cela prouverait ?
- Et bien je suis sûr que c'est vous qui avez volé le parchemin... Je crois me rappelé que vous étiez là ce jour là !
- Il a raison, dit Yard, je vous ai vu !
- Je ne peux plus en entendre plus, cria Tarno ! Notre pretresse est une personne digne de confiance, elle se bat pour tous ici ! Comment pouvez-vous l'accuser d'une telle infamie ?
- L'habit ne fait pas toujours le moine ! hahaha, riait Zang
- Cessez je vous l'ordonne, cria Schnédèr. Il y a bien un ou des complices parmis nous ce soir... J'élimine Ayoriss et Wakayor qui n'étaient pas là à cette époque. Monsieur Yard n'a pas pu volé le parchemin, ni tuer le messager car il était dans l'aile sud et est venu me rejoindre en sueur à la suite d'une cavalcade après des rats qu'il essayait de tuer. Tarno n'était pas là, il a de multiples témoins... Reste Danaline et Zang, qui étaient tous deux dans ces lieux !
- J'étais dans la chambre sud, tout comme Yard ! Pourquoi aurais-je trahis votre altesse, jamais cela ne me viendrais à l'idée, lança le pretresse
- Moi j'étais à l'entrée du chateau, dit Zang.
- Bien... Avez-vous tous deux des témoins ?
- Non, pour moi dit Danaline
- J'en ai un ! Un des gardes de la porte !
- Monsieur Yard, allez me chercher les trois gardes de la porte, que vous garderez à leur place, dit Schnédèr. Wakayor, accompagnez-le !
- Mais, dit monsieur Yard
- Pas de commentaires, obeissez !".

Les deux hommes sortirent et monsieur Yard ne regardait pas son allié. Il marchait devant et vite. Arrivé en bas, il demanda aux gardes de se rendre à la salle de conférence et ignorait Wakayor.
Wakayor dit :
"Où se trouve l'aile sud vu d'ici ?
- ...
- Eh oh, je vous ai posé une question monsieur Yard ! Où est...
- Elle commence là et finit là.
- Merci".

Soudain, Wakayor, fit une série de calcul à vu. Il réfléchit au temps qu'il fallait pour atteindre la pièce en question de l'aile et l'endroit où il était et la salle de conférence. Il calcula ainsi, et son résultat donna :
"Il faut vite remonter !
- Comment, que souhaitez-vous faire, vous êtes complice vbous aussi !
- Non ! Pas du tout, je sais qui est complice maintenant, c'est Zang
- Il se peut que pendant cinq minutes exactement, un homme pourait se faire voir un laps de temps à vu d'un garde et que lorsque le garde fait sa ronde, il perd de vu l'homme visible ici durant facilement dix minutes ! Zang est un guerrier, ça se voit à ses mains abîmées par la tenue d'une arme. Un garde l'a effectivement vu mais il aura cru qu'il est resté là puisqu'il est revenu ici !
- Mais ! C'est pas...
- J'y vais, restez là si vous le voulez !
- Attendez enfin !".

Wakayor couru vers la salle. il savait en réalité que ses amis couraient un grand danger.
De son côté, Yard qui n'était pas bête, compris où voulait en venir le heune homme, et resta donc pour surveiller les alentours... Mais tout à coup...
"Qui êtes-vous, demanda une voix dans l'ombre de la nuit
- Qui... C'est à vous de vous annoncer !
- Je suis Yako Béril, dit le samouraï en sortant de l'obscurité...
- Un samouraï ! Dégainez votre arme, et restez à distance !
- Je ne veux pas me battre, je viens voir Danaline pour la prévenir qu'un complice est parmis vous !
- Je ne vous fait pas confiance.
- L'homme qui était avec vous a pourtant compris lui !
- Je ne veux pas le savoir".

Yako avança rapidement sur le vieil et l'assomma rapidement. Il le posa dans un coin sombre, et s'habilla avec ses frusque. Aini se, étant quasiment de la même corpulance que Yard, il monta et passa inaperçu.
Au même moment, les gardes entraient dans la salle de conférence...
1er Chevalier de la Reine Jin Gar et membre du club des anciens.

Le Temps est une illusion...
L'Amour c'est comme un diamant... brillant, rare et solide...
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