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“Transcription des dialogues du film Whisper of the Heart”

Face - A -

Dans l'escalier. Le soir.
Shizuku : Bonsoir.
La voisine : Il fait chaud, n'est-ce pas?
Dans l'appartement de Shizuku.
La mère : Ah, merci.
La mère : Un autre sac plastique? C'est juste une brique de lait.
Shizuku : Mais on me l'a donné pour toi.
La mère : Ben, tu n'avais pas à le prendre.
La mère : Oh, j'en voudrai un peu, s'il te plait.
Shizuku : Papa, tu veux du thé glacé?
Le père : J'en prendrai.
Le père : Là.
La mère : Merci.
La mère : Est-ce que je peux utiliser l'ordinateur?
Le père : Il est en train d'imprimer.
La mère : Peut-être devrions-nous acheter un portable après tout.
La mère : Cette fumée est nauséabonde.
Le père : Tu aurais du aussi aller à Kashirazaki, Shizuku.
Shizuku : C'est bon, je peux garder la maison avec ma soeur.
Le père : Ah oui, je dois aller au travail demain.
La mère : Bien. As-tu besoin d'un panier-repas?
Le père : Ne t'en fais pas, je mangerai à l'extérieur.
le père : Nous sommes très occupés à la bibliothèque.
Le père : Nous migrons finalement vers un système de code-barre.
Shizuku : Vous changez donc.
Shizuku : Jaimais mieux les fiches cataloguées.
Le père : Oui, moi aussi.
La mère : Eh, quelque chose ne va pas dans ce texte.
Le père : Quoi donc? Où ça?
Le père : Ah flûte! Tu as raison!
La mère : Oh, je dois renouveller mon emprunt sinon le professeur fera tout un remue-ménage.
Shizuku regarde la fiche de lecteur dans un livre.
Fiche : Amasawa Seiji.
Le père : Les livres sont une bonne chose mais tu devrais te coucher, Shizuku.
Shizuku : Hummm. Bonne nuit.
Dans la chambre de Shizuku. Elle regarde différents livres empruntés.
Shizuku : Je le savais.
Shizuku : Je me disais bien que j'avais déjà ce nom-là.
Shizuku : Et ici aussi...
Fiche : Amasawa Seiji.
Shizuku : Ce type est étonnant.
Shizuku : Il a emprunté chacun d'entre eux avant moi.
Shizuku : Amasawa Seiji...
Shizuku : Quel genre de personne est-il?
Shizuku : Je me demande si il est chouette ou pas.
Le lendemain matin. Chez Shizuku.
Shiho : Shizuku, vas-tu te lever?!
Shiho : Tu as dormi comme ça?
Shiho : Prépare le riz!
Shizuku : Passe une bonne journée.
Shizuku : Oups! Il est si tard?!
Shizuku : Je dois passer voir Yuuko!
Shiho : Mon porte-feuille!
Shizuku : Quoi? Tu l'as encore oublié?
Shiho : Oui!
Shiho : C'est bizarre.
Shizuku : Il est à côté du téléphone?
Shiho : Il y est!
Shizuku : C'est toi qui l'a mis là.
Shiho : Ah! Je vais être en retard!
Shiho : N'oublie pas de fermer à clef.
À la fenêtre.
Shizuku : Un dirigeable!
Shizuku : Waou, comme ils volent bas!
Shizuku : Quelque chose de grand va arriver aujourd'hui!
Sur le chemin de l'école.
Shizuku : Waou, il fait chaud.
Sur le campus.
Shizuku : Houhouh! Comment ça va?
Le garçon : Viens, laisse.
L'ami : Eh, Shizuku!
Shizuku : Houhouh!
Dans le bureau de Mme Kousaka.
Shizuku : Mme Kousaka, êtes-vous là?
Kousaka : Oui? Ah, c'est toi, Tsukishima. Quoi de nouveau?
Shizuku : Puis-je vous demander un service, s'il vous plait?
Kousaka : De quel genre? J'espère que ce n'est rien d'extraordinaire.
Shizuku : Pouvez-vous m'ouvrir la bibliothèque, s'il vous plait?
Kousaka : La bibliothèque?
Dans les couloirs.
Kousaka : Ne peux-tu pas attendre jusqu'à ce qu'elle ouvre normalement?
Shizuku : Mais j'ai déjà lu tous mes livres.
Shizuku : Et la bibliothèque municipale est fermée aujourd'hui.
Shizuku : J'ai décidé de lire vingt livres pendant les vacances.
À la bibliothèque.
Kousaka : Vingt livres?
Kousaka : Mais tu es sensée réviser pour tes examens.
Kousaka : Viens, dépêche toi.
Shizuku : Voyons voir...
Shizuku : Je l'ai!
Kousaka : Apporte le moi vite!
Kousaka : Allez, allez. Sors la fiche de lecteur et ta carte de bibliothèque.
Shizuku : Ça va.
Kousaka : Eh, regarde! Personne ne l'a jamais pris.
Shizuku : C'est une livre rare.
Shizuku : Ils ne l'ont pas à la bibliothèque municipale.
Shizuku : Amasawa...
Shizuku : Madame!
Shizuku : Avez-vous une idée à quoi ressemble cet Amasawa?
Kousaka : Ohhh, maintenant je l'ai sali.
Kousaka : Sans doute le donateur du livre.
Kousaka : Je n'en saurai pas plus sur quelque chose d'aussi vieux.
Kousake : Essaye de demander à nos plus anciens professeurs.
Yuuko : Shizuku!
Yuuko : Ah, tu es ici!
Yuuko : Tu as dit que tu serais devant l'entrée à onze heures.
Yuuko : Tu m'as fait attendre en plein soleil pendant un quart d'heure.
Yuuko : Maintenant, je vais avoir plus de tâches de rousseur!
Shizuku : Je suis désolée.
Kousaka : Eh, pas si fort.
Kousaka : Tu t'inquiètes trop au sujet de tes tâches de rousseur, Harada.
Yuuko : Madame, c'est un vrai problème pour moi!
Kousaka : Bon! bon!
Kousaka : Venez vous deux. Allez, dehors!
Sous les arbres. Shizuku donne un texte à Yuuko.
Shizuku : J'ai fait ce que j'ai pu. Ce n'est pas très bon, pourtant.
Shizuku : Crois-tu que j'aurai du la conserver en anglais?
Yuuko chantonne.
Yuuko : Au dessus des collines vertes, les nuages blancs passent si lentement
Yuuko : Près de la route qui conduit à la ville
Yuuko : Dans la vieille chambre, par la petite fenêtre,
Toutes les deux : Les vieux chiens attendent son prochain retour
Toutes les deux : Country Road, conduit moi aussi chez moi
Toutes les deux : Sur cette longue route dont je ne peux voir la fin
Toutes les deux : La Virginie de l'Ouest, le Montana
Toutes les deux : Et ma ville natale, que j'ai envie de voir
Yuuko : C'est pas mal.
Shizuku : C'est nul.
Shizuku : Trop conformiste.
Yuuko : Tu crois ça?
Shizuku : J'ai aussi fait celle là.
Yuuko : Concrete Road, où que tu ailles
Yuuko : Les forêts font naître les vallées
Yuuko : Loin de Tokyo, dans le Montana.
Toutes les deux : Ma maison donne sur la Concrete Road.
Shizuku : Bon, de quoi veux-tu parler?
Shizuku : Tu n'as pas besoins de traductions de poèmes, non?
Yuuko : Uh-huh...
Yuuko : Shizuku, y-a-t-il quelqu'un que tu aimes?
Yuuko : J'aurai bien voulu que cela soit une attirance mutuelle.
Yuuko : C'est l'époque des examens, nous pourrions travailler ensemble et nous remonter le moral.
Shizuku : Il y a donc quelqu'un que tu aimes, Yuuko?
Shizuku : Tu as dejà reçu une lettre d'amour?!
Yuuko : Chut!
Shizuku : Quand?
Shizuku : Comment est-il?
Shizuku : Est-il mignon?
Yuuko : Il est dans une autre classe.
Yuuko : Il est assez mignon.
Shizuku : Pourquoi ne vas-tu pas le voir?
Shizuku : Et tout arrêter si tu ne l'aimes pas.
Yuuko : Oui, mais...
Shizuku : Ah, il y a aussi quelqu'un d'autre que tu aimes?
Yuuko : Ben...
Shizuku : Pas la peine de le cacher!
Shizuku : Allez! Accouche!
Yuuko : Euh...C'est Su...Su...
Sugimura apparait de l'autre côté du grillage.
Sugimura : Tsukishima!
Sugimura : Peux-tu me prendre mon sac?
Shizuku : Sugimura!
Shizuku : Oui! Le sac de sport bleu là-bas!
Sugimura : Allez! S'il te plait, Tsukishima!
Sugimura : Lance le seulement par ici!
Shizuku : Oh, la ferme!
Shizuku : Tu ne joues même pas bien!
Sugimura : Ça alors! J'ai remporté trois jeux!
Yuuko est partie. Sur la route.
Shizuku : Yuuko?
Shizuku : C'est donc Sugimura que tu aimes, hein?
Yuuko : Que devrais-je faire? Il vient peut-être de le deviner à présent.
Yuuko : J'étais si...
Shizuku : Oh, ne t'en fais pas. Il est trop bête pour s'en rendre compte.
Shizuku : Que feras-tu au sujet des lettres que tu as eues.
Yuuko : Je dois y réfléchir un peu plus.
Shizuku : Je vois...
Yuuko : C'est chouette chez toi. Ils ne disent pas sans arrêt "Travaille, travaille".
Shizuku : Mais c'est légèrement difficile quand ils ne le disent pas.
Yuuko : Je ne sais pas.
Shizuku : Oups, oh non!
Yuuko : Qu'est-ce qu'il y a?
Shizuku : J'ai oublié mon livre. Je dois y retourner.
Yuuko : Tu ne veux pas que je t'emmène?
Shizuku : Non, tu seras en retard à ton cours de bachotage.
Yuuko : Je t'appelerai plus tard.
Au collège. Sous les arbres. Seiji lit le livre.
Shizuku : Ce livre, c'est...
Seiji : Ah.
Seiji : Est-ce le tiens?
Seiji : Le voici...
Seiji : ...Tsukishima Shizuku.
Shizuku : Comment sais-tu mon nom?
Seiji : Je me demande comment.
Shizuku : Ah! Ma carte de bibliothèque.
Seiji : Tu sais, tu devrais effacer ce truc de "Concrete road".
Shizuku : Tu l'as lu?!
Dans la rue.
Shizuku : Je le déteste! Je le déteste! Je le déteste!
Chez Shizuku.
Shizuku : Je le déteste! Je le déteste! Je le déteste!
Shizuku : Je le DÉTESTE!
Shizuku : Tu devrais laisser tomber ce truc de "Concrete road"...
Shizuku : Oui, bon!
Plus tard.
Shiho : Je suis là!
Shizuku : Tu rentres tôt aujourd'hui?
Shiho : Je suis fatiguée.
Shiho : J'ai eu la chance de me faire conduire par quelqu'un qui allait par là.
Shiho : Où est maman?
Shizuku : Elle est encore à son cours d'été...
Shizuku : ...et papa est sorti.
Shiho : Shizuku, tu devrais nettoyer un peu.
Shiho : As-tu préparé le dîner?
Shizuku : Je suis en train.
Shiho : Qu'est-ce que c'est?! Shizuku, quelle pagaille!
Shizuku : Je vais le faire maintenant.
Shiho : Nous avons décidé d'aider maman parce qu'elle est très occupée, non?
Shiho : Une fois que tu auras fini le riz, sors le linge.
Shiho : Quand j'aurai pris ma douche, je ferai le riz.
Dans la cuisine.
Shiho : Mami dit de venir aussi quand tu seras au lycée.
Shiho : Tu t'en sors mieux avec tes études?
Shiho : Si tu te relâches parce que maman et papa ne te poussent pas...
Shiho : ...tu en subiras les conséquences.
Shizuku : Non, je ne me relâche pas!
Pendant le dîner.
Shiho : ...et elle a essayé de me donner une partie de sa sauce soja.
La mère : C'est bien mami.
Le lendemain matin. Shiho passe l'aspirateur.
Shiho : Shizuku, vas-tu te lever?
Shiho : Et faire ton ménage.
Shiho : Je nettoie les draps. Apporte les tiens!
Shiho : Et sors les futon!
(Coussins plats)
Shizuku : Où est maman?
Shiho : Elle est déjà partie.
Shiho : Dépêche toi de te laver, prend ensuite ce repas pour papa.
Shizuku : Hein?!
Shiho : Tu as un problème?
Shiho : Tu passes à la bibliothèque, non?
Shiho : Ou dois-je y aller à ta place?
Shiho : Dans ce cas, tu nettoies la baignoire, les toilettes, le palier et vas à la coopérative...
Shiho : ...Range les futon, va faire les courses et prépare le dîner.
Shizuku : J'y vais!
Shizuku est arrivée en bas de l'immeuble. Shiho lui envoie une lettre depuis le balcon de l'appartement.
Shiho : Shizuku!
Shiho : Mets ceci dans la boite aux lettres.
Shizuku : Hein?
Shiho : La boite aux lettres!
Shiho : Ne regarde pas!
Shiho : N'oublie d'enlever le trombone!
Shizuku : Ton petit ami?
Shiho : Idiote.
Dans le train. Un chat monte sur la banquette et regarde dehors.
Shizuku : Eh, Monsieur le chat. Tout seul?
Shizuku : Où allez-vous?
Shizuku : Quelque chose d'intéressant dehors?
Shizuku : Eh, veuillez me répondre.
À la gare.
Shizuku : Je descends ici. Et vous?
Shizuku : Salut, Monsieur le chat.
Le chat descend aussi.
Le petit garçon : Oh, un chat!
Shizuku poursuit le chat à distance à travers la ville et les jardins.
Shizuku : Il se dirige vers la bibliothèque!
Shizuku : Oh, cela aurait pu être une très belle histoire.
Shizuku : C'est lui là-bas!
Shizuku : Quelle pente abrupte!
Shizuku : Il va aller loin comme ça?
Shizuku : Monsieur le chat.
Shizuku : Monsieur le chat.
Shizuku : Je me demande s'il habite par ici?
Shizuku : Où allez-vous, Monsieur le chat?
Shizuku : Habitez-vous par ici?
Shizuku : J'ignorais que c'était si haut par ici.
Shizuku : Quel chat.
Shizuku : Un moment pour se moquer du chien est même inclus dans sa promenade.
Shizuku : Hummm, je me demande s'il ne se moque pas aussi de moi.
Le chat entre dans une boutique d'antiquités.
Dans la boutique.
Shizuku : J'ignorais qu'il y avait une boutique comme ça, ici.
Shizuku : Quelle belle figurine.
Shizuku : Es-tu le chat que je viens de voir?
Le grand-père : Sois le bienvenu.
Shizuku : Oh, euh...
Le grand-père : Non, reste ici, reste ici.
Le grand père : N'hésite pas à jeter un coup d'oeil tout autour.
Le grand père : Le Baron s'ennuie aussi.
Shizuku : Baron, est-ce le nom de cette figurine?
Le grand-père : Oui.
Le grand-père : C'est le Baron Vunbert von Jiekingen.
Le grand-père : Joli nom, hein?
Le grand-père : Oh, pardon.
Le grand-père : Merci. Je suis bien installé maintenant.
Shizuku : Magnifique, n'est-ce pas?
Le grand-père : Elle a été trouvée dans un château.
Le grand-père : Elle était très abîmée.
Le grand-père : Regarde.
Shizuku : Wahou, c'est charmant.
Shizuku : Qu'est-ce que c'est?
Le grand-père : Tu le sauras quand ce sera fini.
Shizuku : C'est vraiment bien fait. Ce sont des gnômes?
Le grand-père : Tu en connais un bout.
Le grand-père : Bon. Tu connais donc les gnômes, jeune fille.
Le grand-père : Maintenant, regarde les nombres.
Le grand-père : Regardons si cela fonctionne.
Shizuku : Une elfe!
Le grand-père : Tu vois bien?
Le grand-père : Viens par ici.
Shizuku : Bien sûr.
Shizuku : Une princesse?
Le grand-père : C'est cela.
Shizuku : Ils sont amoureux tous les deux?
Le grand-père : Oui mais ils vivent dans des mondes différents.
Le grand-père : Il est le roi de gnômes.
Le grand-père : Quand l'horloge sonne midi, elle doit retourner dans son monde derrière le mouton.
Le grand-père : Il apparait toujours à l'heure et attend la princesse.
Le grand-père : L'artisan qui a conçu cette horloge a du connaitre un amour non partagé.
Shizuku : C'est pourquoi ils semblent un peu tristes tous les deux.
Shizuku : Oh!
Shizuku : Est-ce que l'horloge avance?
Le grand-père : Peut-être de cinq minutes.
Shizuku : Oh, non!
Shizuku : Je dois aller à la bibliothèque!
Shizuku : Au revoir!
Shizuku : Est-ce que je pourrai revenir, Monsieur?
Le grand-père : Naturellement!
Dehors.
Shizuku : Je suis juste au-dessus de la bibliothèque!
Shizuku : Et j'ai trouvé un endroit très calme!
Shizuku : Cette boutique semble sortir tout droit d'une histoire!
Shizuku : C'est super!
Seiji arrive en vélo avec le paquet oublié par Shizuku et M. le chat sur son porte-bagage.
Seiji : Tsukishima.
Seiji : Tsukishima Shizuku!
Seiji : C'est bien à toi?
Seiji : Tu es négligente.
Shizuku : M...Merci.
Shizuku : Mais comment?
Seiji : Je me demande comment.
Shizuku : Le chat!
Shizuku : C'est ton chat?
Seiji : C'est un bien gros repas pour que tu le manges!
Shizuku : Hein?
Shizuku : Faux!
Seiji : Concrete road, où que tu ailles
Seiji : Sur la longue route blanche.
Shizuku : Non!
Shizuku : Tais-toi!
À la bibliothèque.
Le père : Ah, Eh. Tu es déjà là?
Le père : Quel visage renfermé. Que se passe-t-il?
Shizuku : C'est un peu dur à expliquer.
le père : Ah?
Shizuku : Une chose merveilleux est arrivée, et c'était comme la découverte d'une grotte aux trésors...
Shizuku : ...et une remarque sans coeur a tout gâché.
Le père : Cela parait compliqué.
Le père : Tu es ici aujourd'hui pour emprunter encore des livres?
Shizuku : Oui, je dois encore lire sept livres.
Le père : Tu ne changeras jamais. Et le repas?
Shizuku : Je mangerai dehors.
Le père : Ah, vraiment. Bien, alors merci.
Shizuku ouvre un livre.
Shizuku : Le 16 juin.
Shizuku : Étonnant.
Shizuku : Cet Amasawa a aussi lu ce livre.
Shizuku : Quelle genre de personne est-il?
Shizuku pense à seiji.
Shizuku : Non! Non! Cela ne peut pas être lui!
Devant l'immeuble. L'Heure d'aller à l'école.
La mère : Shizuku, dépêche-toi!
La mère : Tu vas être en retard!
La mère : Le parapluie! Prends le parapluie!
La mère : Un nouveau semestre et il continue à pleuvoir.
Shizuku : Arrête de te plaindre.
Dans la rue.
La première fille : Bonjour.
Shizuku : Tu étudies parce que tu le veux, non?
La deuxième fille : Bonjour.
La mère : Oui, madame.
Shizuku : Assure toi de bien étudier.
La mère : Pars.
Yuuko : Shizuku!
Shizuku : Ouhouh!
Yuuko : Vite, tu va être en retard.
Yuuko : Je déteste tout ces tests.
Shizuku : Nous en avons tant, tous les jours.
Shizuku : Lui as-tu répondu?
Yuuko : Uh-Uh.
Shizuku : Il n'a plus écrit?
Yuuko : Non.
Yuuko : Je devrais peut-être juste le repousser.
Shizuku : Peut-être.
Shizuku : Oui, ce serait le meilleur chose.
Shizuku : Sugimura!
Sugimura : Tu le feras à peine.
Shizuku : Je sais.
En classe.
Le professeur : C'est l'heure! Rendez vos feuilles.
Le professeur : Cet après-midi, cours normal.
Yuuko : Shizuku, allons voir Madame Kousaka.
Shizuku : Pouvons-nous aller d'abord dans la salle des professeurs?
Yuuko : D'accord.
Sugimura : Tsukishima. Ecoute ceci.
Shizuku : Qu'est-ce qu'il y a?
Sugimura : J'ai répondu au hasard mais je l'ai réussi.
Shizuku : Oh, tu es un gars chanceux, toi.
Sugimura : J'ai jeté un coup d'oeil pendant la pause et j'ai vu que j'avais zéro faute.
Shizuku : Je pense que tu n'es pas seulement un stupide joueur de base-ball.
Shizuku : Tu sais, Yuuki est bonne aussi pour deviner les réponses.
Shizuku : Ce serait bien si vous révisiez ensemble, tous les deux.
Sugimura : Avec Harada?
Le garçon : Sugimura, Sugimura!
Sugimura : Oui?
Le garçon : Tu as vu ça?
Yuuko : Allons-y, Shizuku.
Dans le couloir.
Yuuko : Arrête d'essayer de nous mettre ensemble tous les deux.
Shizuku : Est-ce que c'est odieux?
Yuuko : Je n'ai jamais été bonne pour deviner les réponses!
Shizuku : Pardon.
Shizuku : Excusez-nous.
Dans la salle des professeurs.
Le professeur : Le donateur d'un livre?
Le professeur : Et vous pensez que je le connais?
Shizuku : Veuillez nous excuser de vous déranger pendant le déjeuner.
Shizuku : C'est ce tampon, là.
Le professeur : Hummm. Faites voir...
Le professeur : Ah, c'est Monsieur Amasawa!
Le professeur : Je l'ai lu aussi. Bon livre, n'est-ce pas?
Shizuku : Oui, assurément.
Shizuku : Quelle sorte de personne ce Monsieur Amasawa est-il?
Le professeur : C'était il y a quelques années.
Le professeur : Il était à la tête du PTA.
Shizuku : Le...Du PTA...
Shizuku : Euh, connaissez-vous son prénom?
Le professeur : Son prénom? Hummm.
Le professeur : Monsieur Kimura.
Le professeur : Vous souvenez-vous du prénom de Monsieur Amasawa? Vous savez, à l'hopital Amasawa.
Kimura : Monsieur Amasawa?
kimura : Je suis à peu près certain que c'était Kouichi, Amasawa Kouichi.
Shizuku : Amasawa Kouichi.
Le deuxième professeur : Mais Tsukishima, un des enfants Amasawa est au même niveau que vous.
Le deuxième professeur : Vous ne le saviez pas?
Shizuku : Hein?!
Shizuku : Je, euh...
Shizuku : Merci beaucoup!
Shizuku part précipitamment.
Yuuko : Pardon.
Shizuku : Pardon.
Yuuko : Shizuku! Que se passe-t-il?
Shizuku : Oh, quelle surprise!
Yuuko : Je suis celle qui devrait être surprise!
Yuuko : Je pense que tu me dois une explication.
Shizuku : Oh, pardon.
Yuuki : Shizuku, par où passes-tu?
Shizuku aperçoit Seiji et le croise exprès.
Shizuku : Quel toupet! Faire comme si il ne m'avait même pas vue!
Yuuko : Qui c'était, Shizuku?
Yuuko : Où vas-tu?
Shizuku : Je déteste ce gars. Mais je ne courerais pas à cause de lui.
Dans le bureau de Mme Kousaka.
Yuuko : Je dois apporter son repas à Shizuku.
La première amie : Charmant!
Kousaka : Tsukishima a remarqué les garçons, hein?
La deuxième amie : Professeur, je crois que le printemps est aussi arrivé pour Shizuku.
Shizuku : Je vous ai dit que ce n'était pas ça!
La première amie : Tu as vraiment rencontré le prince des livres?
La deuxième amie : Est-il beau?
Shizuku : Ecoutez, je me suis juste demandée quel genre de personne c'est.
La première amie : Eh, Yuuko, tu connais le nom du type, non?
La première amie : Dis le nous.
Shizuku : Yuuko!
Yuuko : Ben, il n'y a eu qu'une brève allusion.
Yuuko : Je crois que cela commençait par Ma quelque chose, ou Masagi autre chose? Ama...
Shizuku : Qui sait?
Kousaka : C'est bien Tsukishima que de partir sans entendre toute l'histoire.
La première amie : Elle veut savoir mais sans savoir, j'ai raison?
La première amie : Le coeur plein d'espoir souffre...N'est-ce pas beau?
La deuxième amie : Ben, c'est romantique de toute manière.
Shizuku : Bien. Continuez comme ça et moquez-vous de moi...
Shizuku : ...après que j'ai écrit les vers pour Country Road et tout.
Yuuko : Tu as fini?
La première amie : Fais voir, fais voir!
Toutes : Ô grande Shizuku! Maîtresse des vers! Nous promettons de bien nous tenir, montre nous s'il te plait!
Shizuku : Très bien.
Shizuku : En fait, je ne suis pas très sûre.
Shizuku : Je ne suis pas certaine de ce que "country home" signifie.
Shizuku : J'ai donc du faire avec ce que je ressentais dessus.
La première amie : Ceci remplace cela?
Yuuko : Country road.
Les amies commencent à chantonner.
Toutes : Si nous continuons sur cette route
Toutes : Je sens que cette route conduit à une ville
Toutes : Country Road.
Yuuko : C'est beau, Shizuku.
Yuuko : J'aime beaucoup.
Shizuku : Ce n'est pas trop dur à chanter?
La première amie : Je crois que nous réussirons.
Yuuko : Ce serait une perte si nous la donnions aux élèves.
Yuuko : Nous devrions aussi la chanter à la fête.
Shizuku : Quoi? À la fête?
La deuxième amie : Impulsive, hein?
La première amie : Cette partie est bonne.
La première amie : En vivant tout seul, sans rien porter,
La première amie : J'ai quitté la ville et j'étais solitaire mais je l'ai pas montré
La première amie : J'ai été fort et me suis protégé.
Kousaka : La cloche sonne, au revoir.
Toutes : Oui, madame.
Dehors.
Shizuku : Ah! Le ciel s'éclaircit! Il fait beau.
Yuuko : Shizuku!
Yuuko : Tu veux aller voir la corale?
Yuuko : Nous leur montrerons cette chanson.
Shizuku : C'est d'accord mais je dois aller à la bibliothèque.
Yuuko : Euh? Nous avons un contrôle demain, tu sais.
Shizuku : Je réviserai à la bibliothèque.
Yuuko : Tu aimes vraiment cet endroit.
Shizuku : À plus!
Yuuko : Salut!
Dans le couloir.
Sugimura : Harada.
Sugimura : Je m'excuse mais puis-je te parler?
Devant la boutique fermée.
Yuuko : Uh-huh.
Shizuku : Je suppose que c'est fermé.
Shizuku : Les fleurs ont-elles été arrosées?
Shizuku : Le Baron est parti.
Shizuku : Je me demande s'il a été vendu.
Pancarte : Atelier Chiyuu-ya, Nishi Shirou
Shizuku : Nishi Shirou.
Shizuku : Je me demande s'il s'appelle aussi Nishi.
Chez Shizuku. Le soir. Shizuku a un casque sur les oreilles.
Shiho : Shizuku!
Shiho : Shizuku!
Shiho : Yuuko au téléphone!
La mère : Shizuku, tu vas abîmer tes oreilles.
Shizuku : Yuuko? Huh?
Shizuku : Hein? Je ne t'entends pas.
Shizuku : Oui.
Shizuku : Je serai là. Uh-huh.
Shizuku : D'accord, salut.
La mère : Où vas-tu?
Shizuku : Pas très loin.
Dans un parc.
Shizuku : Qu'est-ce qui se passe, Yuuko?
Yuuko : Shizuku...
Shizuku : Qu'est-ce qu'il y a? Pourquoi fais-tu cette tête?
Yuuko : Que dois-je faire, Shizuku?
Yuuko : L'ami de Sugimura lui a demandé d'obtenir une réponse de ma part.
Shizuku : Ah, les garçons...
Dans le couloir(flashback)
Yuuko : Pourquoi es-tu obligé de jouer aux entre-metteurs?!
Sugimura : Eh!
Dans le parc.
Shizuku : Il est juste un peu stupide.
Shizuku : Je veux dire que Sugimura ne connait pas la nature de tes sentiments à son égard.
Yuuko : Je m'excuserai auprès de Sugimura.
Yuuko : Mais je ne peux pas aller à l'école en étant comme ça. Je sèche les cours demain.
Shizuku : Le contrôle aussi?
Yuuko : Oui.
Shizuku : Je vois.
En classe.
Shizuku : Idiot.
Sugimura : Hein?
Dans la cour.
La deuxième amie : Je crois que je m'en suis bien sortie.
La première amie : Shizuku, encore à la bibliothèque aujourd'hui?
Shizuku : Je vais voir Yuuka chez elle.
La première amie : Oh, passe lui notre bonjour.
Shizuku : D'accord. Salut!
Les amies : Salut!
Dans un escalier en ville.
Sugimura : Tsukishima!
Sugimura : Attends.
Sugimura : C'est au sujet d'Harada...
Dans un parc. Près d'un temple.
Sugimura : ...et ensuite elle s'est effrondrée en larmes.
Sugimura : Ai-je dit quelque chose de mal ou quoi?
Shizuku : Sugimura, toi...
Shizuku : Yuuko t'as demandé pourquoi tu as dit ça, non?
Sugimura : Oui. C'est pourquoi j'ai demandé à mon ami de l'équipe de baseball...
Shizuku : Mauvais!
Sugimura : Cela signifie qu'elle ne veut pas que tu dises cela.
Shizuku : Tu comprends ce que cela veut dire?
Sugimura : Je ne comprends pas.
Sugimura : Explique le moi clairement.
Shizuku : Rhaaa, tu es vraiment stupide!
Shizuku : Yuuko est amoureuse de toi!
Sugimura : Huh?!
Sugimura : Mais alors...
Sugimura : C'est un problème.
Shizuku : Un problème! La pauvre Yuuku est celle qui a le problème!
Shizuku : Elle est restée chez elle à cause du choque!
Sugimura : Mais je...
Sugimura : Je suis amoureux de toi!
Shizuku : Huh?!
Shizuku : Ah non! Tu ne dois pas plaisanter comme ça!
Sugimura : Je ne plaisante pas! Je suis amoureux de toi depuis longtemps!
Shizuku : Tu ne peux pas! Enfin, je veux dire...ben...
Sugimura : Tu me détestes donc?
Sugimura : Sors-tu avec quelqu'un?
Shizuku : Je ne sors avec personne.
Shizuku : Mais...
Shizuku : ...je suis désolée!
Sugimura : Attends!
Sugimura : Tsukishima, tu dois me le dire!
Shizuku : Nous avons toujours été des amis donc je t'aime bien.
Shizuku : Mais quant à dire aimer dans ce sens...
Shizuku : Je suis désolée, je ne peux pas utiliser ce sens.
Sugimura : Tu veux dire que nous sommes juste des amis?
Sugimura : Même après cela?
Sugimura : Je vois.
Dans la chambre de Shizuku. Elle pleure.
Shizuku : Idiote!
Shizuku : L'idiote c'est bien toi!
Le soir.
La voisine : Veuillez attendre un peu, Madame Tsukishima. Vous avez un paquet.
La mère : Oh, merci beaucoup.
La voisine : Vous êtes si gentille de toujours nous en donner.
La mère : Ce n'est rien. Nous ne pouvons pas tout consommer de toute façon.
La mère : Oh, tu es à la maison?
Shizuku sort.
La mère : Shizuku?
Devant la boutique.
Shizuku : Ouhouh.
Shizuku : As-tu aussi été enfermé dehors?
Shizuku : C'est ta maison?
Shizuku : Tu n'as pas faim?
Shizuku : Ben, tu n'es pas mignon.
Shizuku : Juste comme moi.
Shizuku : Pourquoi ai-je du changer?
Shizuku : J'étais une petite fille honnête et gentille avant.
Shizuku : Même quand je lis un livre, je ne sens plus l'excitation que j'avais avant.
Shizuku : Maintenant, c'est comme si quelqu'un cinglait mon coeur, et disait que je ne peux plus continuer comme ça.
Shizuku : Je ne suis pas mignonne du tout.
Seiji : Eh, mais c'est Tsukishima.
Seiji : Je suis surpris que Moon te laisse le caresser.
Seiji : Alors Moon, tu es ici pour visiter?
Shizuku : Ce chat s'appelle-t-il Moon?
Seiji : Oui, il ressemble à la pleine Lune.
Seiji : C'est pour cela que je l'appelle Moon.
Shizuku : Tu veux dire que Moon n'est pas ton chat?
Seiji : Tu ne peux pas dire aux chats ce qu'il faut faire.
Seiji : Je crois qu'il est surnommé l'oeuf chez quelqu'un d'autre.
Seiji : Il doit sans doute avoir d'autres noms.
Shizuku : Hummm, il est abandonné alors.
Shizuku : C'est bon.
Shizuku : Moon se déplace tous les jours en train.
Seiji : En train?
Shizuku : C'est ça. Il a pris le train tout seul.
Shizuku : Je l'ai suivi et je suis arrivée ici...
Shizuku : ...puis dans cette boutique merveilleuse.
Shizuku : Cette boutique ressemble à un vrai conte de fée.
Shizuku : J'ai dit de vilaines choses à son sujet.
Shizuku : Je lui ai dit qu'il n'était pas mignon et qu'il était juste comme moi.
Seiji : Moon est comme toi?
Seiji : Tu n'est pas du tout comme ça!
Seiji : Ce chat doit être au moins à moitié fantôme.
Seiji : Et toi...
Shizuku et Seiji : Uh...
Shizuku : Est-ce que le propriétaire de la boutique va bien?
Shizuku : Je me le demande comme le boutique est fermée depuis un certain temps.
Seiji : Oh, il va bien.
Seiji : Cette boutique est un peu bizarre. Elle est plus souvent fermée qu'ouverte.
Shizuku : Ah? C'est bon à savoir.
Shizuku : J'ai regardé par la fenêtre et je n'ai pas vu le Baron.
Shizuku : J'ai pensé qu'il avait été vendu.
Seiji : Ah, cette figurine de chat.
Seiji : Tu veux la voir? Entre.
Dans l'escalier qui conduit au balcon de la maison.
Seiji : Ferme la porte.
Shizuku : C'est comme si nous flottions dans les airs.
Seiji : As-tu peur de la hauteur?
Shizuku : Non, j'aime les endroits élevés.
Shizuku : C'est beau...
Seiji : À cette époque, la vue est plus jolie.
Dans la boutique.
Seiji : Par ici.
Seiji : C'est bon. Assied-toi là.
Shizuku : L'horloge est partie.
Seiji : Ah, celle qui était ici?
Seiji : Je l'ai livrée ce matin.
Seiji : Viens par là.
Shizuku : Elle a été vendue?
Seiji : Elle était seulement ici pour une réparation.
Shizuku : Oh, je voulais la revoir.
Seiji : Pas avant trois ans.
Seiji : Elle était finie le jour où tu as laissé ton repas ici.
Shizuku : Ah, ce repas.
seiji : Oui, je sais que ce n'était pas le tien.
Seiji : Viens ici et regarde bien l'oeil du chat.
Seiji : Vite. La lumière commence à baisser.
Seiji : Engels Zimmer.
Seiji : C'est de l'allemand : "Chambre de l'ange".
Seiji : L'artisan l'a éraflé accidentellement quand il a cousu les habits.
Shizuku : C'est joli, n'est-ce pas?
Seiji : Le Baron ne sera pas vendu. C'est le trésor de Grand-père.
Shizuku : Le trésor?
Seiji : Il représente beaucoup de souvenirs pour lui...
Seiji : ...mais il n'a pas dit lesquels.
Seiji : Regarde le aussi longtemps que tu veux. Je suis en bas.
Seiji : La lumière est ici. Allume si tu veux.
Devant la figurine.
Shizuku : Bizarre. C'est comme si je t'avais toujours connu.
Shizuku : Je continuerai à vouloir te voir régulièrement.
Shizuku : Tu sembles très triste aujourd'hui.

Face - B -

Dans l'atelier.
Seiji : Oh, tu as fini?
Shizuku : Oui, merci.
Shizuku : Uh, es-tu en train de fabriquer un violon?
Seiji : Oui.
Shizuku : Je peux le voir?
Seiji : Il sera comme ceux-là.
Shizuku : L'as-tu fait entièrement à la main?
Sriji : Bien sûr.
Shizuku : Je ne peux pas y croire.
Seiji : La forme des violons a été établie il y a trois cents ans.
Seiji : La qualité du son est fonction du talent du fabricant.
Shizuku : As-tu fait aussi tous ceux-là?
Seiji : Meuh non. Nous avons une classe de fabrication de violon ici.
Shizuku : Mais tu as fait l'un d'entre eux, n'est-ce pas?
Seiji : Oui.
Shizuku : Lequel est-ce?
Seiji : Celui-ci.
Shizuku : Wahou. Celui-ci?
Shizuku : C'est étonnant que tu puisses faire ceci.
Shizuku : C'est magique.
Seiji : Ben tu es douée pour embarrasser un type.
Shizuku : Qu'est-ce qu'il ne va pas? C'est seulement ce que je pense.
Seiji : Tout le monde peut faire une telle chose.
Seiji : Je ne suis pas encore très bon.
Shizuku : Sais-tu jouer du violon?
Seiji : Un peu.
Shizuku : Peux-tu jouer pour moi?
Shizuku : Juste un peu.
Seiji : Oh, bon.
Shizuku : S'il te plait! S'il te plait!
Seiji : Soit. Mais tu dois chanter!
Shizuku : Hein?
Shizuku : Tu n'y penses pas! Je ne sais pas chanter!
Seiji : C'est parfait alors.
Seiji : Je suis sur que tu connais cette chanson.
Seiji entame l'air de Country Road et Shizuku commence à chanter. Le grand-père et ses amis arrivent et s'y joignent avec leurs instruments.
Le grand-père : Ah oui, quelle joie! C'était bien!
Shizuku : Je suis Tsukishima Shizuku.
Shizuku : Merci beaucoup pour la dernière fois.
Le grand-père : Oh, non. J'espèrais te revoir, jeune fille.
Le grand-père : Et ces deux musiciens sont mes amis.
Le premier ami : Belle voix.
Le premier ami : Vous êtes donc la fille chanceuse qui était ici quand l'horloge a été achevée.
Le deuxième ami : C'est une charmante amie que tu as là, Seiji.
Shizuku : Hein?
Shizuku : Seiji?!
Shizuku : Est-ce que ton nom serait Amasawa Seiji?
Seiji : Oui. Oh, je ne t'ai pas dit mon nom?
Shizuku : Non.
Shizuku : Et sur la pancarte dehors, il y a marqué Nishi!
seiji : C'est le nom de mon grand-père.
Seiji : Le miens c'est Amasawa.
Shizuku : C'est terrible! Quel choque!
Shizuku : Mon monde s'effondre!
Shizuku : C'est comme si le ciel s'écroulait!
Seiji : Que racontes-tu?
Seiji : Mon nom est très bien comme cela, non?
Shizuku : Non, ça ne va pas!
Shizuku : Tu es celui qui ne m'a donné son nom complet!
Seiji : Ben, c'est ta faute si tu me l'a pas demandé.
Shizuku : Je n'ai eu aucune occasion de te le demander!
Shizuku : Oh, j'était si sûre que Amasawa Seiji était...
Seiji : Hein?!
Shizuku : J'ai pensé que tu serais un garçon calme et gentil!
Seiji : Regarde toi! Tu lis trop!
Shizuku : Oui? Ben, tu lis beaucoup aussi!
La nuit. Sur la route.
Shizuku : C'était vraiment bien. Tout le monde était si gentil.
Seiji : Tu devrais revenir passer nous voir. Grand-père et les autres l'apprécieraient.
Shizuku : Peut-être seulement pour écouter. Chanter est trop difficile pour moi.
Shizuku : Mais tu es vraiment doué au violon.
Shizuku : C'est ce que tu veux faire?
Seiji : Il y a des tonnes de gens comme moi par ici.
Seiji : Et de toute façon, je veux fabriquer des violons.
Shizuku : Vraiment? Mais tu joues si bien...
Seiji : Il a une école de luthier à Crémone en Italie.
Seiji : Je veux aller là-bas après le collège.
Shizuku : Tu ne vas pas au lycée?
Seiji : Mais ma famille n'est pas d'accord.
Seiji : Je ne suis pas encore sûr de ce que je ferai.
Seiji : Grand-père est le seul à m'encourager.
Shizuku : C'est bien que tu saches déjà ce que tu veux faire.
Shizuku : Moi, je ne sais pas encore ce que je veux faire.
Shizuku : Je vis au jour le jour.
Seiji : Ben, je n'ai pas encore décidé si j'irai.
Seiji : Et j'en discute avec mes parents tous les jours.
Seiji : Même si j'y vais, j'ignore si j'ai le moindre talent sans avoir essayé au moins une fois.
Seiji : Tu es sûre de ne pas vouloir que je te ramène?
Shizuku : C'est bon. C'est juste à côté.
Shizuku : À la prochaine.
Seiji : Ah, Tsukishima.
Shizuku : Qu'est-ce qu'il y a?
Seiji : Tu sais, tu es douée pour les chansons...
Seiji : ...et tu as très bien chanté tout à l'heure.
Seiji : J'aime aussi beacoup Country Road.
Shizuku : Hein? Après que tu m'aies dit de laisser tomber?
Seiji : L'ai-je vraiment dit?
Shizuku : Oui!
Seiji : Vraiment?
Shizuku : Merci pour cette journée. Au revoir!
Dans la chambre de Shizuku (et de Shiho).
Shiho : Shizuku, ferme la lumière. Tu l'as laissé allumée la nuit dernière.
Shizuku : Quand as-tu pris une décision pour ta carrière?
Shiho : Hein?
Shizuku : Ta carrière.
Shiho : Tu as postulé chez Sugino Miya, n'est-ce pas?
Shizuku : Ce n'est pas ce que j'ai dit.
Shiho : Ben, c'est pour cela que l'on va à l'université.
Shiho : Bonne nuit.
Shizuku : Bonne nuit.
Dans la rue.
Shizuku : Je n'en crois pas maman! Elle est en congé donc elle ne m'a pas réveillée!
Sugimura : Bonjour.
Shizuku : Bonjour.
Sugimura : Tu devrais courir plus vite.
Shizuku : Tu peux passer en tête.
En classe.
Au tableau : Première heure, étude. Faire les pages 32-33.
Shizuku : Je suis sauvée.
Yuuko : Shizuku. Shizuku.
Yuuko : Quelle mine!
Shizuku : Dis, tu as fini très vite.
Yuuko : Es-tu sortie avec un type d'une autre classe la nuit dernière?
Shizuku : Hein? Qui dit ça?
Yuuko : Juste une rumeur.
Yuuko : Ils disent que vous sembliez être en couple.
Shizuku : C'était différent.
Sugimura : Harada. J'aurai du refuser ce service à mon ami. Je suis désolé.
Yuuko : Uh-uh. Je devrais être la seule à m'excuser.
Sugimura : C'est bon.
L'élève : Eh, as-tu regardé Sasuke la nuit dernière?
L'élève : C'était super! J'étais si emballé!
En cours.
Le professeur : Cette formule sera à l'examen.
Le professeur : Souvenez-vous en donc bien.
La classe : Hein? Oh non!
Le professeur : C'est terminé.
Plus tard. Dans la classe.
Seiji : Pardon, est-ce que Tsukishima est ici?
L'élève : Ah, Amasawa. Oui?
Seiji : Tsukishima est dans cette classe, non?
L'élève : Tsukishima? Oui, elle est ici.
L'élève : Eh, Tsukishima. Quelqu'un pour toi!
L'autre élève : C'est un garçon!
L'élève : Tu vois? Elle est là.
Shizuku : Seiji.
Seiji : Tsukishima, tu as un instant?
Shizuku : Oui.
La classe : Wouha. Tsukishima a un petit ami!
La classe : Petit ami! Petit ami!
Shizuku : Faux!
Shizuku : Ce n'est pas ça du tout!
Shizuku : Bon. Qu'est-ce qu'il y a?
Seiji : J'ai décidé d'y aller. En Italie.
Shizuku : Huh?
Shizuku : Sortons d'ici.
Seiji : Où vas-tu?
Shizuku : Sur le toit.
Sur le toit. Il pleut.
Seiji : Tu parais...
Shizuku : Comment peux-tu m'interpeler comme cela avec autant de monde autour.
Seiji : Pardon.
Seiji : Je voulais juste que tu sois la première à être au courant.
Shizuku : Ce n'est pas parce que je prête attention à ce que pensent les gens...
Seiji : Mon père a dit oui finalement...
Seiji : ...mais à certaines conditions.
Shizuku : Hein?
Seiji : Un ami de grand-père m'a placé chez quelqu'un là-bas...
Seiji : ...et je serai son apprenti pendant deux mois.
Shizuku : Apprenti?
Seiji : C'est une personne très stricte et il verra si je suis suffisamment doué.
Seiji : On m'a dit que si je le fais, je saurai si je suis capable.
Seiji : Si je ne peux pas, on m'a dit de retourner à l'école.
Seiji : En fait, je n'aime pas vraiment ça.
Seiji : C'est presque comme s'ils voulaient me voir échouer...
Seiji : ...mais c'est une chance pour moi de partir.
Seiji : Je dois chercher mon passeport.
Seiji : Mon père et moi allons à l'école pour régler les détails.
Shizuku : Tu vas donc bientôt partir.
Shizuku : C'est bien. Tu as ce que tu souhaites.
Seiji : Oui. De toute manière, je ferai de mon mieux.
Shizuku : Euh...
Seiji : Tu...
Seiji : La pluie s'est arrêtée.
Shizuku : Wahou, regarde ça!
Shizuku : Peut-être que nous verrons un arc-en-ciel.
Shizuku : Je me demande quel genre d'endroit est Crémone.
Shizuku : J'espère que c'est une belle ville.
Seiji : Oui.
Seiji : On dit que c'est une vieille ville.
Seiji : Et il y a là-bas beaucoup de gens qui sont luthiers.
Shizuku : C'est super. Tu as déjà commencé à satisfaire ton ambition.
Shizuku : Je me sens comme une idiote.
Shizuku : Ne serait-ce pas super de pouvoir aller au lycée avec Seiji?
Shizuku : Mais c'est démoralisant de voir que je suis loin de toi.
Le premier élève : Sont-ils là?
Le deuxième élève : Chut! Ils sont là.
La première amie : Shizuku est si mignonne.
La deuxième amie : Oui, en effet.
Le premier élève : Ils sont là!
Seiji : Tu sais, je t'ai remarquée depuis longtemps dans les fiches de la bibliothèque.
Seiji : Tu n'as aucune idée du nombre de fois où nous nous sommes croisés à la bibliothèque.
Seiji : Je me suis même assis juste à côté de toi.
Shizuku : Hein?!
Seiji : Eh, je devais lire beaucoup de livres...
Seiji...et j'ai pu mettre mon nom sur les fiches avant toi.
Seiji : Je...
Seiji : Quand je serai en Italie, je chanterai ta chanson et travaillerai très dur.
Seiji : Je...Je...
Le premier élève : Ne pousse pas, idiot!
Le dexuième élève : Oh!
Shizuku : Eh?!
L'élève : Flûte, Tsukishima!
Le premier élève : Sauvons nous!
Le soir. Au repas.
Shiho : Voilà.
Le père : Ah, merci.
Shizuku : Je peux me lever?
Le père : Shizuku, c'est tout ce que tu manges?
Shizuku : Je dois voir Yuuko.
La mère : Si tu passes près de la gare, achète du lait.
Shizuku : Hein?
Shiho : Shizuku! Tu es celle qui boit tout!
Shiho : Elle a été si flemmarde, ces derniers temps.
Devant une Convenient Store.
Shizuku : Pardon. As-tu attendu longtemps?
Yuuko : Pas grave.
Shizuku : Je suis si confuse maintenant.
Chez Yuuko.
Mme Harada : Oh, Shizuku. Ravie de te voir!
Shizuku : Bonsoir.
M. Harada : Bienvenue chez nous.
Shizuku : Excusez-nous.
Mme Harada : Je vais faire du thé. Venez le chercher quand c'est prêt.
Yuuko : D'accord.
Yuuko : Je me suis disputée avec mon père donc je ne lui parle pas.
Yuuko : Les garçons sont si calmes, pourtant.
Shizuku : Il a dit qu'il revient dans deux mois mais s'il réussit...
Shizuku : ...alors il y restera pendant dix ans.
Yuuko : C'est presque comme une séparation définitive!
Yuuko : Mais ce n'est pas comme s'il y avait un lien entre vous deux.
Yuuko : Je pense que c'est bien.
Shizuku : Mais il est beaucoup mieux que moi.
Shizuku : Même si nous lisons les mêmes livres,...
Shizuku : ...C'est tout ce que j'ai fait...
Shizuku : ...tandis qu'il sait déjà ce qu'il veut faire.
Yuuko : Tu penses vraiment ça?
Yuuko : C'est bon.
Yuuko : Kinu n'était-elle pas dans sa classe en première année?
Yuuko : Elle dit qu'il est un peu difficile à approcher...
Yuuko : ...mais qu'il est beau et bon élève en cours.
Shizuku : Qui est-il alors?
Shizuku : Tu n'as pas besoin de le dire si brusquement.
Shizuku : Maintenant je n'ai plus du tout le moral.
Yuuko : Mais pourquoi?
Yuuko : Tu l'aimes. Qu'y-a-t-il de mal à cela? Et il a dit qu'il t'aimait, n'est-ce pas?
Shizuku : Mais je ne peux pas y croire.
Yuuko : Ben, je ne suis pas dans cette situation.
Yuuko : Si c'était moi, j'écrirai des lettres tous les jours...
Yuuko : ...et attendrai des lettres chaque jour pour garder nos âmes liées.
Shizuku : Comment puis-je dire à quelqu'un qui est meilleur que moi, de faire de son mieux?
Yuuko : Je l'ignore.
Yuuko : En t'écoutant, j'ignore ce que tu cherches dans un petit ami.
Yuuko : À moins que tu ne penses pas trouver l'amour avant d'avoir trouvé ta voie?
Yuuko : Tu as aussi tes capacités, Shizuku.
Yuuko : Les gars ont été enchantés par ta traduction de Country Road.
Yuuki : Contrairement à moi, tu peux exprimer ce que tu ressens.
Shizuku : Il y a des tonnes de gens comme moi par ici.
Yuuko : Huh?
Shizuku : Ce qu'il a dit, c'est qu'il allait tester ses capacités.
Shizuku : Je dois donc essayer aussi.
Shizuku : C'est décidé. Je vais écrire une histoire.
Shizuku : Je sais ce que je vais rédiger.
Shizuku : Et s'il veut se mettre à l'épreuve, alors moi aussi.
Yuuko : Mais ce sont bientôt les partiels.
Shizuku : C'est bon.
Shizuku : Merci Yuuko. Je me sens plus sûre de moi maintenant.
Yuuko : Tu rentres chez toi?
Shizuku : Uh-huh.
Shizuku : Merci, je dois y aller.
Mme Harada : Passe le bonjour à ta mère.
Shizuku : Bien sûr.
Dans la rue.
Shizuku : Tu fais de ton mieux aussi, Yuuko.
Yuuko : Oui.
Shizuku : Je suis certaine que Sugimura remarquera tes bons points aussi.
Shizuku : Au revoir.
Yuuko : Au revoir.
Shizuku : C'était presque facile!
Shizuku : J'aurai juste à effectuer un essai.
Shizuku : Moon!
La petite fille : Muta. Muta.
la petite fille : Maman, Muta est encore parti.
Shizuku : Muta. Ainsi, c'est Muta, huh?
Dans la chambre de Shizuku. La nuit.
Histoire : Si tu tends l'oreille - Écoute les bruits de la forêt.
Histoire : Ils viennent des étoiles lointaines...
Histoire : ...la mémoire des vents. Les nuages...
Dans la boutique.
Le grand-père : Ah, le Baron est donc ton personnage principal?
Shizuku : Je peux me servir de lui, s'il vous plait?
Shizuku : Seiji m'a dit que vous teniez beaucoup à cette figurine.
Le grand-père : Et c'est pourquoi tu...?
Le grand-père : Bien sûr, fais le...
Le grand-père : ...mais à une condition.
Shizuku : Oui?
Le grand-père : Que je sois la première personne à lire ton histoire, Shizuku.
Shizuku : Bien, euh...
Le grand-père : Qu'en penses-tu?
Shizuku : Dois-je vraiment vous la montrer?
Shizuku : D'ailleurs, je ne sais pas encore si je peux vraiment écrire.
Le grand-père : Ben, c'est comme nous, les artisans...
Le grand-père : ...tu ne peux pas prétendre à la perfection quand tu débutes.
Le grand-père : Ah oui. J'ai quelque chose de beau à te faire voir.
Le grand-père : C'est ici.
Le grand-père : Jette un coup d'oeil.
Le grand-père : Cette sorte de pierre est du mica étincellant.
Le grand-père : Regarde à l'intérieur de cette fissure.
Le grand-père : Là. Comme cela.
Shizuku : Que c'est beau!
Le grand-père : C'est du beryl.
Le grand-père : Il contient des éclats d'émeraude.
Shizuku : Émeraude...la pierre précieuse?
Le grand-père : Oui.
Le grand-père : Toi et Seiji, vous êtes comme cette pierre.
Le grand-père : Comme une pierre brute, pas encore polie.
Le grand-père : Il m'arrive d'aimer les choses comme ça.
Le grand-père : Mais fabriquer des violons et écrire des histoires, ce ne sont pas la même chose.
Le grand-père : Tu dois trouver en toi le joyau et prendre le temps de le polir et l'épurer.
Le grand-père : C'est un travail très prenant.
Le grand-père : Peux-tu voir le gros joyau dans cette pierre?
Shizuku : Oui.
Le grand-père : Mais la vérité est que lorsque tu le polies et l'épures,...
Le grand-père : ...tu obtiens quelque chose de décevant.
Le grand-père : Les plus petits morceaux profondément coincés dedans sont même plus purs.
Le grand-père : Il y a même peut-être des cristaux meilleurs à l'intérieur, là où tu ne peux pas les apercevoir.
Le grand-père : Oups, pardon, pardon.
Le grand-père : Quand on vieillit, on commence à radoter.
Le grand-père : Ce n'est pas bon.
Shizuku : J'ai peur de découvrir qu'il n'y a rien de bon en moi.
Shizuku : Mais je veux encore écrire.
Shizuku : Si je l'écris, alors vous serez mon premier lecteur.
Le grand-père : Merci.
Le grand-père : J'attends ton histoire avec impatience.
Sur la route.
Shizuku : Un joyau...
Shizuku : Peut-être un filon de lazurite...
Dans le conte.
Baron : Viens! Je t'accompagnerai!
Baron : Allons trouver le dépôt de lazurite.
Baron : Nous n'avons rien à craindre.
Baron : L'espace est distordu les jours de nouvelle Lune.
Baron : Ce qui est loin semble énorme.
Baron : Et ce qui est proche semble petit. Mais c'est seulement une apparence.
Baron : Envole-toi maintenant! Et prends un courant ascendant!
Baron : Nous devons nous dépêcher!
Baron : Les astéroïdes sont corrélés!
Baron : Excellent! Nous sommes dans le vent!
Baron : À cette allure, nous allons bientôt dépasser cette tour.
L'Héroïne : Nous allons si haut?
Baron : Une fois plus près, cela ne paraitra plus si haut.
Dans l'escalier dans la ville.
Shizuku : Allons maintenant et sans crainte.
Shizuku : Quand les vents se déploient l'après-midi, même les étoiles deviendront proches!
À la bibliothèque.
Le père : Huh?
Le père : Il est inhabituel de voir Shizuku chercher autre chose que des romans.
Shizuku consultent divers ouvrages.
Shizuku : Cette personne fait un violon en prison.
Seiji s'assois dicrètement juste devant Shizuku.
Shizuku : Seiji!
Shizuku : Je pensais que tu étais déjà parti!
Seiji : D'après ce que grand-père a dit, j'ai déduis que tu pouvais être ici.
Seiji : Je suis heureux de te voir.
Seiji : Je pars demain.
Shizuku : Demain?
Seiji : C'est d'accord. J'attendrai ici jusqu'à ce que tu aies fini.
Dans la rue. Tard le soir.
Seiji : Je m'excuse de ne pas pouvoir te raccompagner à la maison.
Shizuku : Oh non, je suis vraiment heureuse que tu sois venu me voir.
Shizuku : Je ne peux pas venir te dire au revoir mais j'attendrai ton retour.
Seiji : Evidemment. C'est seulement dans deux mois.
Shizuku : Je suis désolée de me plaindre tout le temps.
Shizuku : Je ferai de mon mieux aussi.
Seiji : Bon, j'y vais.
Shizuku : Bon voyage!
Dans le conte.
Baron : Louise, ma fiancée et moi, nous venons d'une ville dans un lointain pays étranger...
Baron : ...et dans cette ville, la magie existe toujours.
Baron : Les artisans, grâce à la magie dans leurs veines, ont fait beaucoup de choses dans leurs échopes.
Baron : Celui qui nous as créés était un pauvre apprenti dans une boutique de figurines.
Baron : Néanmoins, Louise et moi étions très heureux.
Baron : Il nous a créé pour exprimer son amour non partagé.
Baron : Cependant...
En cours.
Le professeur : Shizuku.
Le professeur : Shizuku.
Le professeur : Shizuku!
Le professeur : Quelque chose ne va pas, Tsukishima?
Shizuku : Je ne sais pas. Je n'écoutais pas.
Le professeur : Fais attention. C'est important.
Shizuku : Je m'excuse.
Le professeur : Harada! Tu lis à sa place.
Sur un banc, à midi.
Yuuko : Hein?! Tu étais encore debout jusqu'à quatre heures?
Shizuku : Ne t'en fais pas. Je n'étais pas du tout fatiguée.
Yuuko : Mais, Shizuku, tu a souvent été dans les nuages ces derniers temps. Comme tout à l'heure.
Shizuku : J'étais juste en train de réfléchir.
Shizuku : Il y a tant à écrire que je ne sais pas comment tout organiser.
Shizuku : Flûte, j'ai perdu mon appétit.
Chez Shizuku. Shizuku ne quitte pas son bureau.
La mère : Shizuku. Tu es ici.
La mère : Regarde moi ça, tu n'as même pas allumé la lumière.
La mère : Et j'aurai souhaité que tu puisses sortir le linge.
La mère : Shizuku!
La mère : Viens ici une seconde.
La mère : Shizuku!
Le père : Où est Shizuku? Est-elle à la maison?
La mère : Elle a dit qu'elle ne voulait rien.
Au collège.
Le premier professeur : Oh, je vous attendais.
La mère : Pardon de vous déranger.
Le premier professeur : Par ici, s'il vos plait.
Le premier professeur : La salle du conseil est ouverte, non?
Le deuxième professeur : Oui
Le premier professeur : Merci.
Chez Shizuku. Dans la cuisine.
La mère : Je suis de retour.
Shiho : Te voilà.
La mère : Tu es rentrée tôt aujourd'hui, Shiho.
La mère : Je suis épuisée.
Shiho : Du café?
La mère : S'il te plait.
Shiho : Maman.
Shiho : je voudrai te poser une question.
La mère : Oui?
Shiho : Je suis en train de songer à déménager.
Shiho : J'ai déjà trouvé un endroit.
La mère : Mais cela ne va-t-il pas coûter cher?
Shiho : C'est bon. J'ai beaucoup économisé.
Shiho : J'ai trouvé un poste à l'école de rattrapage donc tout est résolu.
La mère : Ah, je vois. Je comptais seulement sur toi pour faire une grosse partie des tâches ménagères.
La mère : Bonne chance, alors. J'en parlerai à ton père.
Shiho : Vraiment? C'est super!
La mère : Ce sera un peu difficile jusqu'au printemps.
La mère : Si je suis diplômée alors j'irai aussi travailler.
La mère : Dans ce cas, je pourrai d'aider.
Shiho : Je l'apprécierai.
Shiho : Je suis désolée de partir à un aussi mauvais moment.
La mère : Ah, merci.
La mère : J'apprécie ton aide pour mes données.
Shiho : Tu auras plus de place et Shizuku pourra mieux se concentrer sur ses études.
Shiho : Elle agit bizarrement ces derniers temps.
La mère : Tu le penses aussi?
la mère : J'ai été convoquée par son école aujourd'hui.
La mère : Regarde ça.
Shiho : Qu'est-ce que c'est?
Shiho : J'y crois pas!
Shiho : Elle a du chuter d'une centaine de places!
La mère : Qu'est-ce qui l'obsède pour qu'elle reste assise derrière son bureau?
Le soir. Dans l'escalier.
Le père : Bonsoir.
La voisine : Vous voilà.
La voisine : Bien, excusez-moi.
Dans la chambre de Shizuku.
Shiho : Quel genre de lycée penses-tu postuler avec ces notes?!
Shizuku : Très bien! Je n'irai pas au lycée alors!
Shiho : Tu ne vas pas...!
Shiho : Ne pense pas que la vie soit aussi facile!
Shiho : Que veux-tu faire avec seulement un niveau collège?!
Shizuku : Ce que je veux faire, c'est à moi de le décider!
Shiho : Ne me réponds pas sur ce ton!
Shiho : Ce que tu fais, c'est refuser de voir la réalité en face.
Shiho : Tu ne connais pas ton rang après le second semestre et tes résultats?
Shizuku : Oh, et étudier tout ça, ça sert?!
Shizuku : Maintenant que tu es à l'université, tout ce que tu fais, ce sont des travaux à mi-temps!
Shiho : Je fais ce que je suis sensée faire!
Shiho : Tu es celle qui s'éloigne le plus de ce qu'elle est sensée faire!
Shiho : Tu ne le vois pas?!
Shizuku : Je ne m'éloigne pas!
Shizuku : J'ai quelque chose de plus important à faire!
Shiho : Quelle est cette chose importante?
Shiho : Allez, montre moi!
Le père : Shiho. Shizuku. Arrêtez de vous quereller.
Shiho : Mais papa! Shizuku ne m'écoute pas!
Le père : Venez ici vous deux. Donnez vos raisons.
Le père : Shizuku. Tu devrais changer de vêtements.
Shiho : Et vite!
À la cuisine.
Carnet : Numéro 153 sur 276.
Le père : Maintenant, je vois.
Le père : Shizuku, est-ce que Shiho dit la vérité?
Shizuku : Ce n'est pas comme si je ne faisais pas attention à mes tests!
Shiho : Mais tu viens de dire que tu n'irais pas au lycée.
Shizuku : C'est parce que ma soeur a dit que je ne pouvais pas aller dans un lycée.
Le père : Shiho. Je voudrais parler seul avec Shizuku.
Le père : Peux-tu sortir, s'il te plait?
Shiho : Oui.
Le père : Où est-ta mère?
Shiho : Chez les Tanaka.
La mère : Me voici.
Shiho : Ah, maman.
La mère : Est-ce que ton père est rentré?
Le père : Peux-tu venir ici, chérie?
Le père : Shiho m'a parlé de Shizuku.
La mère : Oui.
Le père : Parfait, Shizuku.
Le père : Est-ce que ce que tu fais est plus important que tes études?
Shizuku : Oui.
Le père : Peux-tu nous dire ce que tu es en train de faire?
Shizuku : Je le vous dirai quand le moment sera venu.
La mère : Shizuku, est-ce quelque chose que tu es obligée de faire maintenant?
Shizuku : Mais je n'ai pas le temps.
Shizuku : Je n'ai plus que trois semaines pour le faire.
Shizuku : J'ai décidé de me mettre à l'épreuve pendant cette période.
Shizuku : Je dois le faire.
La mère : Te mettre à l'épreuve pour quoi?
La mère : Que cherches-tu à prouver?
La mère : Nous ne saurons pas si tu ne nous le dis pas.
La mère : Tu ne peux même pas en parler ni à ton père ni à ta mère?
La mère : Chéri.
Le père : Oh, pardon.
Le père : J'ai remarqué que tu consacrais beaucoup d'efforts dans quelque chose à la bibliothèque.
Le père : Je peux respecter ceci.
Le père : Devons-nous laisser Shizuku faire ce qu'elle désire?
La mère : Évidemment.
Le père : Ce n'est pas comme s'il n'y avait qu'une seule manière de vivre ta vie.
La mère : Il y a eu des instants comme ça aussi dans ma vie.
Le père : Parfait. Tu dois agir comme tu le sens...
Le père : ...mais ce sera très dur de trouver ta propre voie.
Le père : Si la moindre chose arrive, tu seras la seule à blâmer.
La mère : Et s'il te plait, sois présente lorsque nous mangeons le dîner.
Le père : C'est vrai. Tu fais partie de la famille, tu sais?
Shizuku : Oui.
Le père : Va appeler Shiho.
La mère : Je vais préparer du thé.
Dans la chambre de Shizuku (et Shiho). Shiho est au lit. Shizuku à son bureau.
Shiho : Shizuku.
Shiho : Papa a juste dit "Ah bien" mais je pense qu'il voudrait vraiment que tu étudies plus.
Shizuku : Je sais! Je pouvais le lire sur son visage!
Shiho : Je vais déménager le dimanche qui vient.
Shiho : Tu auras la chambre pour toi toute seule.
Shizuku : Tu t'en vas?
Shiho : Yep. Prends soin de toi.
Dans le conte.
Baron : Vite!
Baron : Vite!
Baron : Vite!
Baron : Seul l'un d'entre eux est réel!
L'héroïne : Lequel? Lequel est le bon?
Baron : Vite!
Baron : Vite!
Baron : Vite!
L'héroïne : Ahhhhh!
Dans la boutique.
Le grand-père : Louise, tu es venue pour moi?
Le grand-père : Je suis déjà un vieil homme.
Le grand-père : Shizuku!
Le grand-père : Viens, entre.
Le grand-père : Ah, j'ai du m'endormir.
Shizuku : Je m'excuse mais...
Shizuku : J'ai écrit l'histoire et vous l'ai apportée.
Le grand-père : Cela signifie-t-il que tu as fini?
Shizuku : Je vous l'ai promis. Soyez le premier à la lire, s'il vous plait.
Le grand-père : C'est un peu long!
Titre : Si tu tends l'oreille - Par Tsukishima Shizuku.
Shizuku : Euh, pouvez-vous la lire tout de suite?
Shizuku : J'attendrai même si cela sera long.
Le grand-père : Mais après que tu te sois tant investie,...
Le grand-père : ...je veux prendre le temps de la lire soigneusement.
Shizuku : Si vous ne l'aimez pas, ne continuez pas.
Shizuku : Je veux dire, si cela ne pose pas de problème.
Shizuku : Je, euh...Je suis si nerveuse en ce moment.
Le grand-père : Je comprends. Je vais la lire tout de suite.
Le grand-père : Viens, assieds-toi près du feu.
Le grand-père : Il va faire froid aujourd'hui.
Le grand-père : Maintenant, personne ne va venir nous déranger.
Shizuku : Euh, est-ce bon si j'attends en bas?
Shizuku : Je vais bien. Je n'ai pas froid du tout.
Le grand-père : Je ne pensais pas mais...
La nuit. Sur le balcon.
Le grand-père : Ah, tu es là.
Le grand-père : Shizuku, je l'ai lue.
Le grand-père : Et merci. C'était très bien.
Shizuku : Ce n'est pas vrai!
Shizuku : Ce n'est pas vrai!
Shizuku : Dites moi la vérité, je vous en prie!
Shizuku : Je n'ai même pas pu organiser l'histoire!
Shizuku : La deuxième partie est complètement ratée.
Shizuku : Je m'en suis moi-même rendu compte!
Le grand-père : C'est un peu rugueux. C'est brut et incomplet.
Le grand-père : Tout à fait comme les violons de Seiji.
Le grand-père : Tu m'a montré le tout premier diamant que tu as fabriqué.
Le grand-père : Je sais que tu y as mis tout ton coeur. Tu as bien réussi.
Le grand-père : Il n'y a aucune raison de te presser.
Le grand-père : Prends ton temps et embellis le tout.
Shizuku fond en larmes.
Le grand-père : Viens, il fait frois dehors. Rentrons.
Shizuku : J'ai...J'ai trouvé après avoir tout écrit.
Shizuku : Vouloir écrire ce n'est pas suffisant.
Shizuku : Je dois continuer à étudier plus.
Shizuku : Mais...
Shizuku : Seiji va plus vite que moi.
Shizuku : Je n'étais pas prête mais je devais l'écrire.
Shizuku : J'ai si peur. J'ai si peur.
Le grand-père : Tu es vraiment comme Seiji, n'est-ce pas?
Dans la boutique. Repas.
Le grand-père : Comment c'est?
Shizuku : C'est bon.
Le grand-père : J'ai fait aussi des ramen pour Seiji...
Le grand-père : ...la première fois qu'il a fait un violon.
Le grand-père : C'était aussi le même service.
Shizuku sert le thé.
Le grand-père : Merci.
Le grand-père : Bien. Où en étions-nous la dernière fois?
Shizuku : Vous étiez un nouvel étuduiant en Allemagne et vous avez trouvé le Baron dans un café de la ville.
Le grand-père : Oui, oui.
Le grand-père : C'était une sorte de mélancolie mais j'ai été attiré par son expression.
Le grand-père : J'ai imploré le propriétaire de me le vendre...
Le grand-père : ...mais il ne voulait pas.
Le grand-père : Il a dit : Baron a une compagne.
Le grand-père : Vous ne pouvez pas séparer deux amants ainsi.
Le grand-père : Le baron attendait le retour de sa Baronne...
Le grand-père : ...qui avait été envoyée en réparation chez un artisan.
Shizuku : Mais c'est tout à fait comme mon histoire.
Le grand-père : N'est-ce pas? Quelle coïncidence, hein?
Le grand-père : C'était presque le jour de mon départ donc je pensais devoir abandonner.
Le grand-père : À ce moment-là, ma petite amie a haussé le ton.
Le grand-père : Quand la compagne du baron est revenue, elle a voulu s'assurer que les deux figurines resteraient ensemble.
Le grand-père : Le propriétaire les a cédés finalement.
Le grand-père : J'ai seulement pris le Baron avec moi quand je suis parti et j'ai laissé l'autre figurine sur place.
Le grand-père : J'ai dit à ma petite amie que comme je reviendrai chez elle,...
Le grand-père : ...de conserver la figurine pour moi jusqu'à mon retour.
Le grand-père : Si les deux figurines s'étaient rentrouvées,...
Le grand-père : ...alors nous nous serions retrouvés à nouveau.
Le grand-père : Mais la guerre a commencé juste après.
Le grand-père : Et je n'ai pas pu tenir ma promesse.
Le grand-père : Quand je suis retourné dans cette ville, je l'ai chercée partout...
Le grand-père : ...mais finalement, je n'ai retrouvé ni elle ni la compagne du Baron.
Shizuku : Elle était très importante pour vous, n'est-ce pas?
Le grand-père : Le Baron était vraiment une partie triste de mon passé,...
Le grand-père : ...mais tu lui a insuflé la vie dans une histoire pleine d'espoir.
Le grand-père : Oh, oui, C'est cela.
Le grand-père : Maintenant, tend tes mains.
Shizuku : Mais, je...
Le grand-père : Cette pierre est plus appropriée pour toi.
Le grand-père : Je te la donne.
Le grand-père : S'il te plait, travaille dur et fabrique ta propre histoire.
Shizuku : Oui.
Shizuku : Merci beaucoup.
Shizuku : Au revoir.
Chez Shizuku.
Shizuku : Je suis de retour.
La mère : Te voilà.
Shizuku : Où est papa?
La mère : Il prend un bain.
La mère : Et quelle heure penses-tu qu'il est?
Shizuku : Je suis désolée de t'avoir causé des soucis.
Shizuku : À partir de maintenant, je vais redevenir une élève régulière.
Shizuku : Tu n'as plus à t'en faire.
La mère : Bien.
La mère : Tu as donc fait tes preuves?
Shizuku : Pour le moment, du moins.
La mère : As-tu mangé? Il y a du curry.
Shizuku : Non, merci.
La mère : À partir de maintenant, hum?
Un peu plus tard. Dans la chambre de Shizuku.
Le père : J'entre, Shizuku.
Le père : Va prendre ton bain.
Le père : En train de dormir à poing fermé.
Chez Shizuku. Très tôt le matin. De sa fenêtre. Shizuku voit Seiji en bas.
Shizuku : Attends un instant!
Dans la rue.
Seiji : C'est un miracle! J'ai pu te voir!
Shizuku : Ce n'est pas un rêve, hein?
Seiji : Le vol a eu un jour d'avance.
Seiji : Monte.
Seiji : Ah, attends.
Seiji : Tu vas attrapper froid comme ça.
Seiji : Allez, monte.
Shizuku : Je peux enfiler mon manteau.
Seiji : Pas le temps. Monte.
Seiji lui passe sa veste.
Seiji : Serre-toi contre moi maintenant.
Sur les routes.
Seiji : Je voulais vraiment te voir, Shizuku.
Seiji : J'ignore combien de fois j'ai pensé "Shizuku!"
Seiji : Et maintenant, tu as réellement pointé ton nez dehors.
Seiji : Nous sommes étonnants.
Shizuku : Je voulais aussi te voir.
Shizuku : Cela ressemble encore à un rêve.
Shizuku : Comment était Crémone?
Seiji : C'est très différent de ce que je croyais mais je continuerai.
Seiji : Waou, c'est vraiment très léger.
Shizuku : Veux-tu que je descende?
Seiji : C'est bon.
Seiji : J'ai décidé...
Seiji : ...que je voulais monter cette côte...
Seiji : ...avec toi sur le vélo.
Shizuku : Ce n'est pas bien du tout!
Shizuku : Je ne veux pas être seulement un bagage!
Shizuku : Je veux aussi faire quelque chose!
Seiji : D'accord! Aide moi s'il te plait.
Seiji : Encore un petit peu plus loin.
Seiji : Shizuku! Monte vite!
Shizuku : Oui.
À côté du château d'eau. Superbe vue avec Shinjuku au loin.
Seiji : Nous arrivons à temps.
Seiji : Tu as besoin d'un coup de main?
Shizuku : Ça va.
Shizuku : Incroyable! La brume matinale ressemble presque à un océan!
Seiji : C'est mon jardin secret.
Seiji : Il est presque l'heure.
Levé de soleil.
Seiji : C'est ce que je voulais que tu vois.
Grand-père m'a dit que tu l'avais fait.
Seiji : Je n'ai rien fait pour te venir en aide.
Seiji : J'ai seulement pensé à moi.
Shizuku : Uh-uh. Je l'ai fait à cause de toi.
Shizuku : Je suis heureuse de m'être mise à l'épreuve.
Shizuku : Je vais étudier dur.
Shizuku : J'ai aussi décidé d'aller au lycée.
Seiji : Shizuku, écoute...
Seiji : Je, euh...
Seiji : Bien sûr, je ne veux pas dire tout de suite mais...
Seiji : ...Veux-tu te marier avec moi?!
Seiji : Je sais que je deviendrai un maître luthier!
Seiji : Et alors, nous pourrons...
Shizuku : Oui.
Seiji : Tu veux dire...?!
Shizuku : Je suis si heureuse. J'espérais la même chose.
Seiji : Vraiment? parfait!
Shizuku tend la veste.
Shizuku : Prend la. Le vent est un peu froid.
Seiji : Shizuku, je t'aime!

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