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Viper's Creed
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Fiche technique
| Autres titres |
ヴァイパーズ・クリード (japonais) |
| Format | Série |
| Studio | AIC |
| Genre | Science Fiction / Mécaniques |
| Période | 2009 |
| Épisodes | 12 |
| Durée | 25 min |
Interêt global  |  |
| Staff | Réalisation : Shinji Aramaki
, Hiroyuki Kanbe
Scénario : Masanao Akahoshi |
Résumé
Sakurako intègre l'unité d'élite Viper en tant qu'opératrice. Saiki, le pilote qu'elle doit guider et appuyer pendant ses missions conduit un engin qui ressemble à une moto de course armée mais qui peut se transformer en armure de combat.
Tous travaillent pour la société Arqon Global Security, une entreprise chargée de la protection des abords de la ville contre des armes robotisées automatiques qui continuent à sévir, alors que la guerre est finie depuis huit ans.
L'univers parallèle de Viper's Creed est un monde meurtri où les villes se reconstruisent sur les océans qui ont tout englouti et où les seules voies de communication viables de grande distance sont les autoroutes qui sillonnent les étendues océanique sur des ouvrages maintenues au dessus de l'eau.
Chaque pilote de Viper est un mercenaire qui touche une prime à chaque objectif qu'il détruit et du coup, le groupe joue plus la carte de la compétition que celle de l'entente. Sakurako a du mal à prendre ses marques. Les autres opératrices la snobent et pendant mission, Saiki, asocial au possible, ne suis aucune recommandation : L'intervention se solde par un fiasco du point de vue financier, au grand damne du responsable des opérations.
Au fil du temps, Sakurako s'habitue cependant au mode de pensée de Saiki, à lire derrière le masque qu'il montre et elle lui voue finalement une certaine admiration. Elle se familiarise aussi avec les autres membres du groupe : Norma, la seule femme pilote, Rudra, le tireur d'élite et enfin Garibou, un géant adepte du lancé de missiles en masse.
Un cinquième membre vient rejoindre l'escadron Viper. Il s'agit d'Haruki, un jeune homme idéaliste qui n'est autre que le fils du président de la société. Il ne réclame aucun privilège à son travail et affronte les mêmes dangers que ses coéquipiers. Son manque d'expérience est en revanche un sérieux handicap, qui provoque des ratés et quelques heurts pendant les opérations.
Les missions diverses et variées se succèdent pour l'unité Viper avec des combats non seulement contre des automates mais également des terroristes. Un jour, les pilotes d'élite sont chargés d'aller arrêter un groupe de clandestins soupçonnés d'avoir orchestré une vague d'attentat. Le plan d'attaque est habituel mais des complications inattendues surviennent.
Tous travaillent pour la société Arqon Global Security, une entreprise chargée de la protection des abords de la ville contre des armes robotisées automatiques qui continuent à sévir, alors que la guerre est finie depuis huit ans.
L'univers parallèle de Viper's Creed est un monde meurtri où les villes se reconstruisent sur les océans qui ont tout englouti et où les seules voies de communication viables de grande distance sont les autoroutes qui sillonnent les étendues océanique sur des ouvrages maintenues au dessus de l'eau.
Chaque pilote de Viper est un mercenaire qui touche une prime à chaque objectif qu'il détruit et du coup, le groupe joue plus la carte de la compétition que celle de l'entente. Sakurako a du mal à prendre ses marques. Les autres opératrices la snobent et pendant mission, Saiki, asocial au possible, ne suis aucune recommandation : L'intervention se solde par un fiasco du point de vue financier, au grand damne du responsable des opérations.
Au fil du temps, Sakurako s'habitue cependant au mode de pensée de Saiki, à lire derrière le masque qu'il montre et elle lui voue finalement une certaine admiration. Elle se familiarise aussi avec les autres membres du groupe : Norma, la seule femme pilote, Rudra, le tireur d'élite et enfin Garibou, un géant adepte du lancé de missiles en masse.
Un cinquième membre vient rejoindre l'escadron Viper. Il s'agit d'Haruki, un jeune homme idéaliste qui n'est autre que le fils du président de la société. Il ne réclame aucun privilège à son travail et affronte les mêmes dangers que ses coéquipiers. Son manque d'expérience est en revanche un sérieux handicap, qui provoque des ratés et quelques heurts pendant les opérations.
Les missions diverses et variées se succèdent pour l'unité Viper avec des combats non seulement contre des automates mais également des terroristes. Un jour, les pilotes d'élite sont chargés d'aller arrêter un groupe de clandestins soupçonnés d'avoir orchestré une vague d'attentat. Le plan d'attaque est habituel mais des complications inattendues surviennent.
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Commentaire
Dès les premières images de Viper' Creed, nous pensons avoir affaire à une série de mecha des plus classique. Le premier épisode regorge d'action avec la mise en oeuvre des motos robotisées qui taille en pièce un char automatique, après moult sauts dans les airs. L'animation à grand renfort d'informatique est léchée mais l'ensemble manque de personnalité, desservie par un dessin des personnages soigné mais peu expressif.
Quelle est donc la particularité de ce titre ? La première est d'avoir fait monter à son bord Shinji Aramaki, un célèbre réalisateur qui a touché à de nombreux univers (Megazone 23, Appleseed, Bubblegum Crisis) et qui a monté le concept de Viper's Creed qui va au-delà de simple courses poursuites.
La série est courte mais elle prend le temps d'explorer le caractère des protagonistes principaux et accorde un épisode complet à chacun des pilotes de Viper, avant d'aborder l'intrigue principale. Bien que le graphisme n'aide pas spécialement, l'ambiance arrive à être noire dans un milieu corrompu où les acteurs en bas de l'échelle ne se font guère d'illusion et subissent les règles du jeu.
Saiki subit ainsi stoïquement une campagne acharnée car il a tué un civil pendant l'une des interventions et il devient étonnant de découvrir une once de tendresse et d'humanité chez Norma, lorsqu'elle doit résoudre une affaire personnelle. L'histoire concernant Rudra, sans doute la plus belle et la plus triste de la série, sied plus à l'ambiance générale.
Dans ce milieu blasé, deux personnages apportent le contraste: D'abord Haruki, qui refuse le système dont son père est le représentant archétype et qui décide de protéger la ville à sa manière et il demeure un idéaliste. Son engagement devient d'ailleurs ambigu.
Ensuite, vous pouvez mettre à ses côtés Sakurako, qui refuse de déshumaniser son travail et qui considère vraiment les pilotes comme des personnes et non pas comme des mercenaires de passage. Alors que l'unité Viper est livrée à la meute de médias, elle se révolte contre la situation alors que ses autres collègues restent à l'écart, trop prudentes pour mettre en péril leurs petites carrières.
Le scénario de Viper's Creed arrive à nous surprendre au milieu de l'histoire, avant de prendre une tournure plus prévisible. Le final est mi-figue mi-raisin, à la fois soigné et logique mais peut être trop convenu. En tout cas, il reste dans la ligne directrice des récits avec des forces tapies dans l'ombre qui tire les ficelles du pouvoir. Le dénouement offre presque une ouverture pour une deuxième série.
Quelle est donc la particularité de ce titre ? La première est d'avoir fait monter à son bord Shinji Aramaki, un célèbre réalisateur qui a touché à de nombreux univers (Megazone 23, Appleseed, Bubblegum Crisis) et qui a monté le concept de Viper's Creed qui va au-delà de simple courses poursuites.
La série est courte mais elle prend le temps d'explorer le caractère des protagonistes principaux et accorde un épisode complet à chacun des pilotes de Viper, avant d'aborder l'intrigue principale. Bien que le graphisme n'aide pas spécialement, l'ambiance arrive à être noire dans un milieu corrompu où les acteurs en bas de l'échelle ne se font guère d'illusion et subissent les règles du jeu.
Saiki subit ainsi stoïquement une campagne acharnée car il a tué un civil pendant l'une des interventions et il devient étonnant de découvrir une once de tendresse et d'humanité chez Norma, lorsqu'elle doit résoudre une affaire personnelle. L'histoire concernant Rudra, sans doute la plus belle et la plus triste de la série, sied plus à l'ambiance générale.
Dans ce milieu blasé, deux personnages apportent le contraste: D'abord Haruki, qui refuse le système dont son père est le représentant archétype et qui décide de protéger la ville à sa manière et il demeure un idéaliste. Son engagement devient d'ailleurs ambigu.
Ensuite, vous pouvez mettre à ses côtés Sakurako, qui refuse de déshumaniser son travail et qui considère vraiment les pilotes comme des personnes et non pas comme des mercenaires de passage. Alors que l'unité Viper est livrée à la meute de médias, elle se révolte contre la situation alors que ses autres collègues restent à l'écart, trop prudentes pour mettre en péril leurs petites carrières.
Le scénario de Viper's Creed arrive à nous surprendre au milieu de l'histoire, avant de prendre une tournure plus prévisible. Le final est mi-figue mi-raisin, à la fois soigné et logique mais peut être trop convenu. En tout cas, il reste dans la ligne directrice des récits avec des forces tapies dans l'ombre qui tire les ficelles du pouvoir. Le dénouement offre presque une ouverture pour une deuxième série.
Avis des membres d'Animint
| Appréciation Générale : |
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|---|---|
| Animation : |
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| Graphisme : |
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| Personnages : |
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| Histoire : |
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| Bande son : |
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Liste des épisodes
1. Dokugan - cyclops
2. Shin hei - unknown
3. Juusei - shot
4. Majo - sorceress
5. Shinigami - Grim Reaper
6. Ki guu - golem
7. Sôran - riot
8. Rakuen - eden
9. Bôryaku - intrigue
10. Hangeki - counterattack
11. Shinjitsu - truth
12. Sekigan - blindness
2. Shin hei - unknown
3. Juusei - shot
4. Majo - sorceress
5. Shinigami - Grim Reaper
6. Ki guu - golem
7. Sôran - riot
8. Rakuen - eden
9. Bôryaku - intrigue
10. Hangeki - counterattack
11. Shinjitsu - truth
12. Sekigan - blindness
Soumis par Pazu le 27 avril 2009