Histoire des forumeurs d'Animint (en attente suppr...)

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Eldamyo F
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Un ennemi redoutable


Wakayor courait, et disait : "Il faut que je me dépèche, mince alors".
Ainsi, les gardes entrèrent et le roi les firent s'assoir.
"Vous voici enfin ! J'ai une question à vous poser, dit Schnédèr
- Nous sommes à votre service au mon roi
- Bien. Avez-vous vu Zang en bas le jour de la cavalcade il y a un an ?
- Oui, moi je l'ai vu.
- Il est resté longtemps, dit un autre, aumoins six minutes.
- Bien. La preuve est faites, dit sournoisement Zang".

Wakayor, presque arrivé à l'étage fut stoppé par une femme qui lui demanda une étrange chose.
"Aidez-moi, homme, dit la femme vieille et moche...
- Mais voyons, laissez-moi, je suis pressé".
Pendant ce temps, Yako montait mais cherchait son chemin grace aux faibles traces qu'avait laissé Wakayor.

"Vous pouvez redescendre messieurs, allez rappeler mes deux invités, dit Schnédèr
- Merci sir
- Donc, Danaline, n'ayant pas de témoins, qu'avez-vous à dire ?
- Non ! Non, cela ne peut être, cria Ayoriss
- Non, Ayoriss ! Arrête, tu va te transformer sinon...
- Yaaaa !!!!!".

Le cri éveilla Yako et Wakayor qui se mirent à courir oubliant se qui les entourait.
Ayoriss était très en colère. Son corps avait doublé de volume et ses yeux n'aivaent plus de pupilles ! Il était berserker et s'était juré de ne plus recommencer mais...
Tarno essaya de le retenir mais se fit ejecter. Puis brusquement, le jeune homme avec se habits tous déchirés se lança sur Zang.
Soudan, Zang qui se tenait à gauche de Danaline, attrapa la prestresse en sortant son sabre et posa la lame sur la gorge de la dame. Danaline essaya de s'échapper mais impossible, Zang avait une force exeptionnelle qui l'empéchait même d'incanter quelque sort que soit.
"Si tu bouge encore je la tue !
- Non, Ayoriss, n'essais pas, il est dangeureux, dit la pretresse".
Le roi Schnédèr dégaina une épée longue et engagea le combat avec le berserker, mais Ayoriss le mit en échec par un coup d'une précision remarquable au plexus, malgré l'expérience du roi, il ne pouvait plus bouger...
De là, Wakayor entra dans la pièce et vit Tarno au sol inconscient. Il le releva et le réveilla rapidement.
"Saleté de traite de Zang, c'est toi qui a disparut pendant un laps de temps suffisemment court pour que les gardes t'ai cru immobile !
- Yaaa !!!!
- Au mon dieu, Ayoriss, que fait tu là, dit Wakayor étonné
- Grrrrrr....".

Ayoriss regardait Wakayor et Tarno avec retenue... Il se calma... Puis sans que personne ne le vois, Zang lança une sheriken dans son dos.
"AAAaaa !
- Je tiens votre pretresse, hahaha ! Au revoir !".

Zang, attaqua Ayoriss et le mit au sol rapidement. Tarno et Wakayor essayèrent de l'empécher d'atteindre la fenêtre en vain, mais d'un seul coup, un homme jaillit dans la pièce, de l'entré à la fenêtre, et ratrappa Zang par le bras et le sépara de Danaline.
"Yako... C'est toi, dit Danaline qui n'en croyait pas ses yeux et qui pleurait à grande larmes
- Un samouraï, que voilà une surprise, dit Zang... Nous allons bien nous amuser, ahahaha
- Allons Zang, tu crois peut-être que je vais t'aider parce que voilà un samouraï, dit Wakayor
- Homme, laissez-moi régler se problème seul, dit Yako. Où est Arsseunik ?
- Arsseunik... connais pas !".
Et Zang attaqua Yako. Le combat était très rapide et étonnait même le roi, qui ne savait pas que les samouraïs étaient si redoutables.
Danaline se releva et commença à incanter et aussi Tarno. Mais Yakko recria qu'il ne fallait pas s'occuper de ça. Ayoriss était légèrement inconscient mais toujours en rage berserk...
Au bout de deux minutes, le roi et Wakayor qui observaient le combat attentivement, voyaient bien que Yako n'ammait pas finir vivant malgré son adresse. Sir Zang avait une dextérité au sabre lourd exeptionnelle.
Schnédèr et Wakayor se regardèrent et étaient prêt à intervenir bien que Yako ne le veuille pas. Enfin, Yako était à la merci de Zang et il allait lui porter un coup fatal quand soudain Danaline se mit entre les deux pour protégre Yako. Heureusement, Wakayor stoppa la lame du traitre.
"Ah, tu veux lutter toi aussi, dit Zang un peu fatigué mais pas blessé, contrairement à Yako qui souffrait de multiple coupures.
- Oui!
- Et moi de même, cria le roi
- Pardait, deux contre moi, je ne crois sincèrement que même à deux vous ne m'aurez pas".

Le combat s'engaga, et une nette supériorité se faisait du coté de Zang. Le roi et Wakayor était presque du même niveau.
Tarno et Danaline soignait respectivement Ayoriss et Yako Béril.
En cinq minnutes, Zang mit en échec les deux assaillants et était sur le point d'en finir avec Wakayor mais Zang allait toucher le point sensible. Il frappa le bras droit et se pris une décharge électrique digne d'un éclair.
"Aaaaaaa !, cria-t-il". Cela l'éjecta mais il se releva le visage en colère...
"Comment est-ce possible, comment a tu fait une chose pareil !" Voyant les deux prêtres aux soins, il les frappa et les eloigna ainsi des victimes. Il voulait à présent tuer Ayoriss, mais Wakayor bondit pour le secourir. Et encore une fois, ZAng mettait en échec Wakayor mais plus difficilement, comme s'il avait guért d ses blessures et eu le temps d'étudier la technique du traitre.
Le roi était gravement blessé, Danaline et Tarno incantaient maintenant des sorts d'offensive. Wakayor pliait petit à petit... Et c'est là qu'Ayoriss se réveilla et sa rage se mit à atteindre soudainement un niveau qui lui faisait même mal à lui-même.
"Yaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, ggrrrrrrr"
Ayoriss fonça sur Zang qui ne put le stopper bien qu'il réussit à lui enfoncer son sabre dans le coté droit du ventre. Wakayor n'en pouvait plus... Ayoriss criait et il fit un geste d'une énorme amplitude. Sa taille avait doublée, il écarta rapidement les bras, pendant que Zang essayait de récupérer son sabre, puis il fit attérir ses deux poings de chaque côtés du vasage de Zang de façon à lui écrabouillre la tête. Ce qu'il fit, et tout le monde fu frapper par le fait que Zang était toujours vivant après un coup pareil mais il tomba inconscient.
Cependant, Ayoriss dans sa folie retira le sabre de son ventre et commença à attaquer Wakayor. Yako, et même le roi essayaèrent de le stopper puis finalement, Tarno lança un charme d'apaisement majeur à Tarno qui retomba avant de frapper Wakayor, qui s'était préparer à lui envoyer un uppercut majique.

"Ha...ha...ha...ha...ha... On l'a échappé belle dit Wakayor qui se releva presque déjà guéris de ses blessures
- Ce Zang est toujours vivant, dit Yako
- Nous devons l'achever.
- Ne l'achevez pas, dit une voix par la fenêtre
- Arsseunik, cria Yako, comment oses-tu venir ici !
- Je suis ici parce que j'était non loin de là et que je devais faire la peau à ce misérable qui m'a ordonné de tuer... de tuer Mekko et son fils... Il ne m'avait pas dit pourquoi... Ni ce qu'il avait derrière la tête... Laissez-moi le tuer... Et après, vous pourrez faire ce que vous voudrez de moi...
- Soit, dit Danaline solanellemnt
- Non, je ah, dit Yako dans un dernier effort puisqu'il tomba de fatigue".

Ainsi Arsseunik, s'approcha de Zang en boîtant se mit à genous à ses côtés. Il le réveilla et lui dit :
"Tu vois ce que tu as fait imbécile... A cause de toi, je vais mourir dans peu de temps, je suis estroppire de partout, et tu as fait plus de mal qu'un raz-de marrée ne l'aurait fait... Je vais te tuer".
Il sortit son katana et tenta de lui trancher la gorge mais dans un dernier effort, Zang parra le coup... Mais en vain, Arsseunik finit par le trancher.
"Voilà, c'est finit... Votre jugement sera le mien, dit l'assassin des larmes dans les yeux et la tête baissée".
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Une paix naissante


Danaline et Tarno donnèrent tous leurs pouvoir pour guérir les blessés. Quant à Ayoriss, sa blessure était telle qu'il était resté inconscient, mais il vivait toujours.
Tarno hésita longtemps pour soigner Arsseunik mais il s'approcha de lui et dit :
"Qu'allez-vous faire maintenant ?
- Me laisser mourir... J'ai été un lâche... Je ne m'aime plus... Laissez-moi, ne me soignez-pas et attendez que Yako revienne à lui, seul son jugement peu compter à mes yeux... De toute façon je...
- Je vois dans votre passé une femme... Elle est vivante, mais pas ici... Elle se nomme Ovanya, et elle se fait appeler aujourd'hui "Le sabre noir"... Elle se trouve loin d'ici, mais il est possible que vous la retrouviez...
- Comment savez-vous cela ? Qui êtes-vous ?
- Je lit, non pas le futur, mais le passé des gens... Si des questions persistent sur votre passé, je pourrais peut-être leurs trouver des réponses.
- Extraordinaire... Mais je ne pourrait pas jouir de ces informations... Yako Béril ne voudra jamais me laisser en vie après ce que j'ai fait. De plus ma mort est proche... je suis gravement blessé et je ne me donne que très peu de temps à vivre.
- Nous verons, homme".

Dans la ville, c'était le chaos, une petite guerre se faisait entendre par les fenêtres, les samouraïs c'étaient fait attaquer par les nobles. Malgré les instructions de Yako, les samouraïs étaient obligés de se défendre et n'ont pas réussit à éviter le combat contre les nobles.
En quelques minutes, le roi Schnédèr fut remit sur pied par Tarno. Le roi partit lui-même au devant de la foule, suivit par une dizaine de gardes, pour faire cesser les combats les uns après les autres. Il stoppa presque toutes les rixes en une demi-heure.
Pendant ce même laps de temps, Wakayor, Danaline, Tarno, Arsseunik et Yako Béril parlaient ensemble. Les retrouvailles entre Yako et Danaline étaient émouvante et pleine de joie.
Par contre, la discution était houleuse entre Tarno et Yako. Le vieux prêtre voyait bien que la sincérité d'Arsseunik vallait un certain pardon. Et même son état. Il était tel qu'une punition aurait été inutile. Bref, Tarno défendait à moitier Arsseunik.
"Prêtre, vous n'êtes pas en position de juger cet homme, criait Yako. Il a commit un double crime qui ne saurait être pardonné même dans l'état où il est
- Vous semblez oublier qu'il s'est rendu... Qu'il a refuser que je le soigne... Qu'il a avouer ses bétises... Qu'il a même tué Zang ! Il jouait la commédie pour...
- Ne dites rien vieil homme, coupa Arsseunik. Cela ne regarde... kuf kuf... Cela ne regarde que moi... Eukkf, ne mélez pas Yako à ça...
- Peu importe ce que tu as à me dire... Ton action reste inacceptable... Je vais te tuer !
- Attendez, vous ne pouvez pas faire ça, intérompit Wakayor. Il nous a sauvé de cette brute, il méritait peut-être la mort avant... Mais la mérite-t-il autant aujourd'hui ? Le contexte a changé, ne trouvez-vous pas ?
- Wakayor a raison. Il a bien agit, et son acte me semble désinterressé, dit Danaline".

A ces mots, Yako eut un long moment d'hésitation. Il repensait à Ken, le fils de Mekko, et à Mekko aussi. Jamais il ne les reverrait... Cela le tourmentait et le tourmenterai encore longtemps... Mais les conseils de ses alliés l'attendrirent. Il se mit à pleurer, pour la mort de Mekko et de Ken, et en même temps, il pleurait parce qu'il savait qu'il ne pourrait pas tuer Arsseunik malgré ses crimes.
"Vas-t-en d'ici, et que je ne te revoie plus jamais devant moi... Si c'est le cas, je te provoquerai en duel à mort, et je pourrai me venger définitivement !
- Votre bon coeur.... Kuf, Kuf eekkkff... eur kuf... Vous honnore... De toute façon, je vais mourrir... Mekko était le plus fort...".
Tarno fonça sur le mourrant et le soigna aussitôt. Arsseunik ne repris pas conscience mais respirait à grande bouffées.
"Danaline, ma rose blanche, dit Yako, dites à votre ami le prêtre de l'éloigner d'ici, ou je le tuerai sans pitié !
- Tarno, je vous prie, emmenez le là d'où il venait, je sais que vous connaissez le passé de tous
- J'y cour
- Wakayor, portez Ayoriss avec vous et suivez Tarno, dit Danaline
- Très bien pretresse... En tout cas, merci samouraï... Je n'oublirai jamais votre adresse au combat, et votre sens de l'honneur...
- Merci, jeune homme, vous semblez être doué pour votre âge, à bientôt
- Au revoir, crièrent Tarno et Wakayor, avec leurs fardos humains sur leurs dos
- Nous voilà seul, dit Danaline. Ce moment est un rêce que j'ai fait depuis si longtemps...
- Et ton grand-père, comment va-t-il ?
- Il va bien...
- Est-il toujours contre le fait que nous soyons ensemble, que j'occupe ton coeur ?
- Je ne sais pas encore... Peut-être que sa vision des choses va changer à partir de maintenant... Lui qui ne connaissait que très peu ton peuple, il en a eu une mauvaise image dès le premier jour.
- Comment ça se fait ?
- Eh bien mon grand père est un marrin... Et il passe son temps à lire et à faire des calculs. Il est revenu car il a appris que mes parents étaient morts il y a peu...
- Un marrin... Mon maître me parlait souvent des marrins. Il me disait que ces hommes ne craignait pas la peur et étaient du genre plutôt dur et ayant un mental d'acier
- C'est tout à fait mon grand-père, dit Danaline en souriant... Pardonnez moi d'avoir intervenu pour Arsseunik... Mais...
- N'en parle pas je t'en prie... Savouraons ce moment si longtemps attendu...".
Yako Béril prit dans ses bras robustes la jeune femme et l'embrassa aussi sensuellement qu'il pût, ils avaient tous deux intensément souhaité ce moment.

"Eh bun, qu'est qu'il est lourd celui là, disait Wakayor
- Ha haha, oui c'est bien vrai, mais celui que j'ai vos margement le tien mon petit
- Hum... Dites-moi prêtre ! Est-il bien vrai que vous lisez le passé de gens ?
- Oui.
- Alors vous pourriez me dire de quoi fût fait mon passé ?
- Eh bien, je t'avoue mon petit que j'ai longement chercher à percer plus loin que ton long séjour chez les barbares, mais... Un voile masque ma vue avant cette époque... J'ai quelques image d'un homme... Mais pas un humain... Un magicien... Ou quelque chose comme ça. Mais attention, ne prend ça qu'au deuxième degrés. Cela me l'a fait avec d'autres personnes, mais je les compte sur mes doigts
- Mon cas est donc exeptionnel
- En quelque sorte
- Bon bun, je vois que je dois chercher moi-même".

Sortant du chateau, il virent une foule de samouraïs et de nobles guerriers se tenir à distances, mais ne se battant pas. Ils se menaçaient les uns les autres et se regardaient tous comme des bêtes féroces. Le roi était passé par là... Heureusement.

"Regardez ça Wakayor ! Ils sont pr^t à ce battre... il est tout à fait naturel qu'ils aient cette attittude tant que notre roi Schnédèr n'aura pas expliqué tout ça
- Eh là, qui êtes-vous, demanda un noble
- C'est Tarno, le prêtre du temple de Pazu
- Et l'autre ?
- Il nous a aider je crois...
- Arêtez de vous combattre, dit Tarno. Nous avons tué le vrai coupable. L'ultime source de cette guerre. J'ai nommé Sir Zang !!!
- Comment ?
- Qui ça ?
- Ohh !
- Waaa !
- Qu'est-ce que... ?
- Mais comment savez-vous cela ?
- Peu importe. Attendez Danaline et le roi Schnédèr. Ils vous expliqueront. Quant à moi et Wakayor, nous avons à faire ! A plus tard".

Tarno et Wakayor s'engoufrèrent dans la forêt non loin de là sous les yeux étonnés des samouraïs qui se demandaient où était Yako. Aucun des samouraïs présents ne reconnut Arsseunik, qui était bien caché par le robuste Tarno.
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Séreinité


Pendant ce temps, Yako et sa dulcinée avaient cessé de s'embrasser mais se serraient fort l'un contre l'autre. Leur étreinte cessa et ils se regadèrent les yeux remplis de sentiments puissants et chaux.
"Danaline, ton regard va me rendre fou ! Si nous restons là, nous allons finir par faire des bétises...
- Non mais mon p'tit Yako, c'est pas le moment ! En tout cas je suis bien contente de le mettre dans cet état, pensa-t-elle
- Tu as raison... Mon maître a périt sous les coups d'Arsseunik... Ce traitre, si je le tenais... Ah, n'en parlons plus, il a suffisemment souffert !
- Tu as agit sagement en l'épargnant. Peut-être qu'un jour, il te le rendra
- Ne dis pas de sotises. Descendons... Ooopppss
- Quoi, ooppps
- Eh bien je crois que j'ai laissé un homme dan un coin sombre en bas...
- Tu veux sans doute parler de Monsieur Yard... Ha haha, ça lui fera les pieds, hihihi
- Mais t'es une coquine toi ! En tout cas, je lui ai pris ses habits mais cela ne m'a pas servit à grand chose
- Bon, partons d'ici !
- Oui, je porte le cadavre de Zang, dit Yako".

En partant de la pièce, les deux rescapés rencontrèrent des gardes à moitié blessés mais vivants qui les regardaient avec une certaine interrogation. Danaline en soigna quelques uns qui la remercièrent et leur donnèrent de l'aide pour porter le mort. Une fois dehors, Yko dit :
"Attendez-moi ici, je vais chercher ce... Yard
- Bien, dit le garde".

Sur quoi, le samouraï alla dans la cachette et porta Yard toujours endormit. Il le rhabilla de c qu'il était dévétu.

"Le voici somnolant, dit Yako
- Eh bun, tu l'as bien assommé, dit Danaline
- Il fallait bien
- Yako !!!
- Pretresse Danaline !!!".

Les guerriers dans la rue voyant Yako et Danaline du même coté se mirent à rengainer leurs armes et à crier le nom de leurs chefs. Les deux amants firent un discours expliquant la situation, les périls encourus, et le secret du roi. La paix avait un nouveau gout. Les gens se mirraient de loin sans aucune agessivité mais le moemnt restait solanel. Yako ordonna à ses alliés de rentrer chez eux et Danaline leur dit qu'une grande réunion aurait lieu demain, pour mettre les choses au clair.
Monsieur Yard était réveillé et n'avait vu et entendu que la fin de la discution. Tout lemonde rentra dans son chez-soi. Il ne restait plus que deux gardes, monsieur Yard, Yako et Danaline dans la ruelle qui longeait le chateau.
"Vous m'avez bien rouler samouraï de malheur, dit Yard
- Hum... Je vous prie d'assepter mes excuse sir, je ne voulais pas vous brutaliser mais vous n'avez pas voulu entendre raison...
- Laissez moi ,vos excuse sont certes courtoises mais je doute encore de leur sincérité. Laissez-moi le temps d'y réfléchir. Au revoir Danaline
- Bonne nuit, dit-elle".

L'homme partit seul en marchant rapidement. Yako et Danaline marchèrent main dans la main vers le temple.

A quelques lieues d'ici, dans la forêt, Tarno fut stoppé par un petit homme.
"Qui êtes-vous, demanda le petit homme camouflé derrière un tronc d'arbre
- Vous devez être Izakrame, répondit Tano. Je viens vous approter votre maître...
- Arsseunik, s'écria Izakrame qui sortit de sa cachette prestement. Lâchez-le !
- Bien bein, voilà... Il dort mais il est guérit
- Guéri vous dites... C'est vous qui avez fait cela, demanda l'homme en regardant Tarno avec insistance
- Oui. Yako l'a laissé partir... Mais ne revenez plus ici ou vous risqueriez fort de subir une attaque du peuple samouraï tout entier...
- Eh bien... Merci.
- Tenez, dit soudain Wakayor en tendant un parchemin vers Izakrame
- Que... Qu'est ce donc cela ?
- Ovana est quelque part dans Angara. J'ai dessiné une carte pour lui s'il veut la retrouver.
- Mais comment avez-vous fait cela, demanda le petit homme étonné
- Tarno a des capacité spéciales. Il lit le passé des gens. Il m'a décrit le passé proche d'Arsseunik, et d'Ovana, la femme qu'il cherche. Grâce à ces informations étonnemment précise, merci Tarno, j'ai pu esquisser ce croquis.
- Merci à vous. Nous vous devons certainement quelque chose. Même si nous n'avons pas l'habitude de nous occuper des autres, pour une fois nous ferons une exception. Si vous avez besoin d'aide, venez nous chercher. Sayonara !".

Izakrame posa son maître sur son dos et s'en alla assez vite. Au même moment, Ayoriss se réveilla et se rendit compte qu'il était sur le dos de Wakayor, et à moitié déshabillé.
"Que c'est-il passé, demanda le berserker
- A, tu peux tenir sur tes jambes, dit Wakayor
- Oui, répondit le jeun homme en se mettant debout
- Pfffooo, tu es pas léger mon bonhomme !
- Diciple, tu as encore échoué, dit Tarno
- Ah... Je suis désolé... Je ne me souvient toujours de rien... J'ai vu Zang et... Où est ce crapaux venimeux ?
- Ce... Ou plutôt cette "chose" est morte, répondit Wakayor
- Ah oui ! Magnifique !
- Assez d'enthousiasme, dit Tarno. La mort d'un homme n'est jamais complètement bonne... Mais j'avoue que cette crapule méritait le chatiment qu'elle a reçue. Ne crions pas victoire trop vite mes amis. La paix n'est pas encore effective. Prions pour que l'entente revienne".

Ayoriss et Tarno se mirent à prier en faisant un chant transandant. Wakayor écoutait les deux prêtres de qui, par l'intention, se dégageait presque l'action. Il respirait la forêt à grande bouffée. La nuit tomba complètement et en quelques minutes, les trois hommes furent coincés.
"Maître, qu'allons-nous faire, notre vue ne nous permet pas d'avancer dans une telle obscurité
- Eh bien dormons ici, dit Tarno. Rien d'autre n'est possible, je n'ai aucun sortilège qui puisse nous aider actuellement
- Ola les gars... Je suis capable de me retrouver dans le noir, dit Wakayor
- Ah bon ?
- 2coutez ma voix et suivez moi, j'avancerai aussi doucement que possible... On est d'accord ?
- Très bien, dirent Tarno et Ayoriss".

En un quart d'heure, les trois marcheurs rentrèrent au temple rejoignant ainsi Yako et Danline. Ils tombèrent tous de fatigue et s'endormirent, même à côté de l'entrée du temple.
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Le voyage de Wakayor
Une mission ?


Le lendemain, une longue entrevue eu lieu dans l'enceinte même du chateau en extérieur puisque le temps était très clément ce jour là. Le roi Schnédèr et Yako Béril se disputaient et finirent par se mettre d'accord pour un pacte de paix et mirent en places des lois strictes sur le mixage des nobles avec les samouraïs, ainsi que sur les droits des autres sur le territoire extérieur.
Wakayor écoutait mais au bout d'une heure, il se mit à dormir tellement les pour-parlés étaient longs. Ayoriss et Tarno étaient assis aux côtés de Danaline qui participait elle aussi très activement au débat. La foule se scindait en deux partie disincte ; à droite, du point de vue de monsieur Yard, se tenaient presque tous les samouraïs puis à gauche le peuple de Jira. Yard, qui était donc en face de tous ces gens s'aperccevait avec, pour une fois un peu plus de recul que les samouraïs faisaient moins de bruits que ses congénères, qu'ils étaient assis de façon très ordonnée et qu'ils avaient des réflexions sur le sujet très rpofondes et intéressante.
De ce fait, Yard devint le premier noble à vouloir se consacrer à la tradition samouraï et à devenir un chevalier de leur temple. A la fin de la discution, Yako et Schnédèr trouvèrent un terrain d'entente, ce qui eu pour concéquence de mélenger les foules, dans des étreintes fraternelles.
Yard s'approcha de Yako devant les yeux ébaïs d'Ayoriss qui réveilla aussitôt Wakayor, et lui dit :
"Ep !!! Sir, regardez ça !
- ENuhhnu.... euh quoi ..?
- Regardez Yard se mettre à genoux devant Yako...
- A genoux ? Ce raleur aigri ! Faites moi voir ça, répondit Wakayor en bondissant
- Là-bas, vous voyez ?
- Cher Yako, dit sagement Yard, je vous présente mes excuses. Je n'ai pas été courtoit avec vous alors que vous méritiez plus d'égard que moi. Certes nous ne pouvons effacer nos morts et les votres... Mais votre philosiphie m'interpelle... Je vous demande d'accepter mes excuses, et je vous demande de m'apprendre l'art des samouraïs, je vous prie
- Eh bien monsieur Yard, je suis touché par votre geste qui me va droit au coeur, merci... Mais vous êtes tout de même assez... Comment dire ? Vous êtes d'un âge avancé et je ne sais pas si cela est prudent de vous enseigner mon art. Il demande beaucoup de qualité physiques. Je ne doute pas de votre mental, mais...
- Je ne suis pas si vieux que ça. Actuellement je trimbale une maladie qui m'affablit mais en temps normal, je suis plus en forme
- Est-ce posible, pensa Danaline, l'un des plus riches sujet de Jira, s'abandonner aux samouraïs, c'est très impressionant.
- Alors je veux bien essayer, mais revenez quand vous serez guérit
- Je le suis dès aujourd'hui. Je suis prêt à vous suivre
- Wayay, cria Wakayor, ce lourdeau m'épate !!! En réalité, le coeur des hommes a des raison, que notre raison ne perçoit pas
- Vous auriez du faire de la proze sir, dit Ayoriss. Votre langage, malgré votre séjours chez des barbares, est très propre
- Eh bun je tiens ça de mon enfance puisque je parlais déjà comme ça au début de mon amnésie... Qui dure toutjours d'ailleurs... Ah la barbe !!!
- Rayane, cria Yako, emmenne notre nouveau diciple avec nous ! C'est monsieur Yard
- Ah oui, c'est extraordinaire, dit Rayane, d'autres nobles se rapprochent aussi de nous
- Bien, alors notre entente peut enfin reigner, dit le nouveau chef des samouraïs en regardant Danaline
- Oui, répondit-elle passionnée
- C'est deux là ressemblent à la bague et son joyaux, dit Wakayor... Inséparables !
- Eh bun, je crois que je peux te faire confiance, dit une vieille voix derrière Wakayor
- Qui est-ce... Grégor !!! Vous êtes là ! Qu'entendez-vous par... Confiance ?
- Eh bien j'ai une mission pour toi Wakayor. Si tu veux bien me suivre biensûr...
- Une mission ? Et bun mon vieux, je ne sais pas si votre mission est à la hauteur de mon niveau...
- Tu dois d'abord apprendre l'humilité mon p'tit bonhomme, dit Gregor en tappant la tête de Wakayor avec sa canne
- Aaaïeeeeuuu ! Arrêtez l'vieux... Aaaïe, mais Danaline
- Dis donc ! Montre du respect à mon grand père s'il te plais !!! Nous sommes des Farisstandaliss tout de même, dit villament le pretresse aux côtés de Yako
- Oh pardon... Scuzez...
- Mon grand père ne semble pas très costaud mais il a boulingué et est très cultivé. Tu lui dois du respect
- Hum, ma petite fille, toi au moins tu sais parlé, mais tu as encore un peu de mal à saisir certaines choses... Bref, là n'est pas la question. Es-tu prêt à m'aider à retrouver un vieil ouvrage perdu dans des lieux reculés qui longent les bords du fleuve Valaryon
- Le fleuve Valaryon ? Cela me dit quelque chose mais je ne sais pas quoi exactement, dit Wakayor... Dites, vous auriez pas des contons-tiges parce que là, j'ai les oreilles vachements salles...
- Hun !!!". Tous tombés à la renverse à la suite d'une requête de ce niveau...
"Qu'est-ce que vous racontez Sir, dit Ayoriss
- Oui, c'est ça j'ai trop de cire dans l'oreille gauche...
- Ca suffit !!!! T'arrête un peu tête de crétin, cria le grand-père
- Moouai... J'y peut rien moi si y a de la ci...
- STOP ! Je ne sais pas si je vais tenir avec cet oiseau dans mon bateau... Mais il est marrant tout de même, dit Grégor qui se mit à rire".

Ainsi, ils rièrent tous aux éclats.

"Je tente le coup, dit Wakayor
- Je viendrais bien avec vous sir, dit Ayoriss, mais je crois que je suis trop dangereux...
- Mais non, viens...
- Non ! Pas question qu'il vous accompagne, dit sèchement Tarno. Il n'est pas encore apte à résister à son malaise de berserker. C'est un long travail... Qui ne peut se faire que dans le calme
- Ah... Dans ce cas, je n'insiste pas, dit tristement Wakayor qui c'était fait un véritable ami en la personne d'Ayoriss. Pas grave, nous nous reverront, je le promet, dit Wakayor
- Vraiment sir ? Alors je vous attendrai, dit Ayoriss
- Bon ! Wakayor, viens par ici, je daois te parler en privé, dit Grégor
- En privé... Euh... d'accord".

De ce fait, les deux hommes se mirent à l'écart.
"Que voulez-vous me dire... Aaaïe...
- Ne parles jamais le premier quand c'est moi qui t'appelle. Je vais te réveller de quelle nature est le livre que je recherche et pourquoi j'ai besoin de toi
- Mmmmmokèy, dit Wakayor en caressant sa bosse avec une petite larme
- Bien écoute et n'oublis rien...".
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Grégor le vieux malin


"... Il y a sur le long du fleuve Valaryon une tribue de magiciens... Attention, cela n'est qu'une légende aux oreilles des autres, alors motus ! En tout cas, ce groupe de gaillards est remplis de fous !!! Ils retiennent chez eux un livre sur des sciences de l'invisibles peu connues de nos jours. Si je pouvais mettre la main dessus, beaucoup de mes théories physiques auraient une explication scientifique irréfiutable. Mais ces magiciens sont redoutables
- Sincèrement, mon vieux... Vous croyez vraiment que cette légende est véritable ?
- Je le crois... Je me suis rendu moi-même il y a cinq ans environs, dans ces lieux. J'ai bien sûr du me battre contre maintes épreuves inattendues sur mon chemin, mais j'ai réussit à approcher leur repère... C'est un sous-terrain, quelle excellente cachette... Mais ce n'est pas tout. Une partie d'entre eux évolu dans une réalité parallèle
- Parallèle ?
- Oui. Je m'explique : notre dimension est conique, ceci étant du à nos yeux qui sont sphériques... Nous avons sept points de référence et trois dimensions pour définir notre réalité dans un cube imaginaire... Mais ceux-là vivent dans une dimension différente que nos yeux et même que notre corps n'est pas apte à sentir, touché ou voir. Mais eux peuvent changer d'état quand ils le veulent. Je dois d'abord les arrêter pour accéder au sous-terrain, as-tu compris ?
- Eh bien... oui. Mais comment savez-vous que de tels êtres vivent sans jamais pouvoir les voir, les sentir et les toucher ?
- Ah ah... Je porte toujours un monocle... Mais ce jour là, il était fendillé et faisait un effet d'optique qui m'a permit de percevoir plusieures fois ces êtres
- Intéressant... Votre petite fille sait que vous êtes complètement fou ?
- Comment ! Tu oses te moquer de moi, je vais te montrer !
- Je vousdrais pas vous faire mal
- Hihihi... Essaye un peu pour voir... Vas-y, je t'attend
- Non, je ne peux pas... Aaaaaïe
- Essaye donc d'éviter une de mes attaque !
- Vous l'aurez voulu, dans ce cas je marche".

Les deux hommes s'écartèrent, et Danaline avait un oeil sur et quand elle les vit se préparer à un petit duel, elle s'approcha rapidement.

"Qu'est-ce que tu fais grand-père, cria Danaline
- Aaah ! Laisse nous, je le test !
- Entre nous soit dit, il a fortement insisté pour que j'essaye de le toucher... Je vois pas franchement... Aaaïe !
- Assez parlé petit, je connais ta force ! Attaque ! Danaline laisse nous !
- Bien je vois, dit-elle avec un sourire léger comme si elle avait vu une ruse du vieillard
- Allons y mon bonhomme !".

Le jeune guerrier s'élança rapidement sur le vieux Farisstandaliss et le frappa... Il resta dans sa position finale... Mais...

"Aaaaïe... comment ? Vous êtes là ?
- Oui mon grand, dit me vieux grégor qui se trouvait sur le dos du jeune homme
- Mais vous êtes chimique ! Commetn vous avez fait ça... Aïe
- Continu à essayer de me toucher, je te laisse encore deux chances...".

Le petit combat continua... Wakayor fit un mouvement rapide et souple pour faire tomber Grégor mais étrangement, pendant l'espace d'une seconde, Wakayor eut l'impression que la première position et la dernière position qu'il pris, était la même... Commen s'il n'avait pas eu conscience de ses actes pendant une moment. Il se retrouva devant le vieux marrin qui le regardait en souriant.

"Alors mon ami le guerrier ? Où êtes-vous passez... Vous dansez bien en tout cas
- Eh bien je dois avouer que je suis étonné, dit Wakayor... Mais ce coup là, vous ne pourrez pas l'éviter
- Après toi, montre-moi".

Leur petit duel avait engendrer un petit public. Certaines gens regardaient en riant, d'autres en étant facinées, d'autres encore, qui étaient peu étonnés mais intéressés, ces derniers étaient des samouraïs pour la plupart.
Wakayor écarta les bras et se contracta, puis se concentra. L'émotions et le suspence prit place. Quand Wakayor eût finit de se concentrer, il disparut soudain. Les gens se mirent à dire :
"Oh !!! Regardez ça, il a dsiparu
- Ah, ah, tu crois que tu m'as eu avec un tour comme ça... Ouai... Cétait pas mal mais c'est raté
- Oh, le revoilà
- Wa, comment il a fait
- Comment avez-vous fait pour éviter une attaque pareil, dit Wakayor qui avait réapparu derrière Le vieux Grégor
- Ha ha ! Tu veux savoir alors regarde devant toi
- Mais ! Vous êtes là ??
- Et oui, et non derrière toi
- Mais, dit Wakayor en vérifiant derrirèe lui. Ca alors !!!
- Wa, le vieux il est coriace, dit le public
- Ouai c'est un illusioniste
- Bon, je m'incline sir Farisstandaliss, dit Wakayor humblement
- Bien petit. Alors rendez-vous demian matin à quatre heure précise sur le quai du pont numéro sept
- Mais attendez, comment vous...
- Laissez partir mon grand-père, dit gentillement Danaline
- Mais... Comment il a fait, vous savez vous ?
- Je le sais mais je ne vous dirais rien. Il vous le dira si vous méritez de le savoir. Certaines connaissances ne doivent pas être sues par des personnes incapable de les accepter pleinement... Eh oui, notre réalité se compose de maintes choses qu'il faut vraiment chercher pour mériter de les voir
- Je comprends. Quatre heures du matin !!! C'est gonflé, il est gonflé votre grand-père... Quel âge a-t-il sans indiscrétion
- Si je vous le dit, vous ne me croirez pas
- Oula, vous m'intéressez, mon imagination peu accepter beaucoup d'hypothèses
- Soit... Il a cent-soixante ans
- Hun... (machoire qui tombe jusqu'au sol)
- Ca vous embouche un coin, n'est-ce pas ! Bon je vous laisse aves Ayoriss, il vous trouvera une chambre, et vous fera visiter la ville, voyez avec lui
- Au revoir, et merci
- Oh, le roi Schnédèr vous a remercier, je vous remercie
- Et moi de même, dit Yako qui rejoignit sa "rose blanche"
- Au revoir, et faites de beau enfants !"

Tous repartirent vers leurs lieus d'habitation et Wakayor fit donc une longue balade avec Ayoriss. Au soir, Wakayor dût dire au revoir à son ami.

"Vous pouvez dormir ici si vous voulez, dit Ayoriss
- Arrête de m'appeler sir et de me vouvouyer, ça fait quinze fois que je te le dit... Ecoute, je ne vais pas dormir ici... JE préfère la nature... Ca me touche beaucoup. J'aprécie ton geste
- Mon ami, tu pourras toujours compter sur moi si tu as besoin d'aide
- Je te remercie... Je suis très content de t'avoir connu, dit Wakaoyr en pleurant
- Mais pourquoi vous... Tu pleures
- Arf, je suis très sensible... Désolé, il m'arrive même souvent de me battre avec les larmes qui coulent abondemment sur mes joues... C'est naturel
- Vous êtes vraiment excellent, à bientôt !
- Au revoir, et porte-toi bien".

Wakayor partit avec un sourire et des larmes sur les joues, comme si c'était normal, quant à Ayoriss il regardait son ami s'en aller le coeur gros mais il ne pleurait pas.
Wakayor se rendit dans la forêt et avant de piquer un som il fabriqua un réveil matin... Il planta une mini branche tubulaire dans un arbre et la sève se mit à couler au goute à goute. Wakayor connaissait bien ce type d'arbre savait qu'en mélangeant sa sève à un peu de rouille, au bout d'environ trois heures, cela provoquait une lumière qui allait en grandissant, et un son aigu selon la quantité de sève.
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Préparatifs


Le jeune homme dormait profondemment et dégageait un léger ronflement. Son sommeil fut soudain tourmenté car il répétait sans arrêt un nom et était très agité. Il disait :
"Jin gar... Nepher... Jin Gar... Eve... aa... ah...". Puis son attitude nerveuse cessa. Son visage était triste et des larmes coulaient de ses yeux à petit flot.
Le cri du mélange le sortit de son sommeil en quelques minutes. Il ouvrit les yeux difficilement à cause de la lumière de son mélange qui faisait toujours le bruit et qui éclairait fortement son visage.
"Haaa... Il fait froid ici, heureusement que mes poils ont surjient en grande quantité dès mon plus jeune âge, sinon, je serais bien mal en point... Enfin bon, un an dans le nord à subir les épreuves infligées par ces barbares, ça m'a endurcit... Pas si mal finalement, héhé. Quand même... Cent-soixante ans ce vieux gars ! Impressionant. Et son coup d'illusiioniste m'a mit dans un état d'échec cuisant. Je dois me prémunir de ce genre d'intempéris à l'avenir".
Wakayor se leva et ramassa le tas de rouille mélangée à la sève et avança dans la nuit noire avec tout son atirail.

"Il m'a dit sur le quai du pont numéro sept... Où ce trouve ce pont ? Ah, me voilà sur la route principale. Snif... Sniff... Qui est là ? Quelqu'un. Un homme...
- Vous êtes fort, je doie l'avouer, dit une voix familière
- Qui est-ce, dit Wakayor en se retournant. Où êtes-vous ?
- Je suis là où vous ne pouvez pas me voir
- Bun ça... Mes yeux ne peuvent pas te voir mon ami mais mon nez sais où tu es maintenant... Tu es là, cria-t-il en montrant du doigt un buisson
- Oui... Vous êtes spéciaux vous autres les barbares, dit alors Rayane, un des samouraïs qui avait perdu son arme face à Wakayor
- Tiens c'est toi, comment vas-tu, ddit Wakayor en se rapprochant de Rayane
- Stop, dit l'autre en tirant son katana et en sortant des buissons. Je veux qu'on se batte. Je n'ai pas réussit à t'avoir l'autre fois, je veux réessayer !
- Arf ! On est en paix aujourd'hui, pourquoi vouloir te battre ?
- Pour l'art du combat... Es-tu d'accord ?
- 2coute, je n'ai pas beaucoup de temps. JE suppose que tu sais pourquoi je suis là
- Oui, je t'attendais car j'ai entendu ce vieil homme de donner rendez-vous
- Bon. Je veux bien engager le combat, mais pas longtemps
- Je marche !".

Wakayor donna une leçon au jeune samouraï, assez rapidement.

"Vous êtes effectivement très fort, dit Rayane qui avait perdu son arme
- Mais tu as la chance de te faire entraîner par une équipe de guerriers bien plus forts que moi. Je reviendrai et on refera un petit duel, à plus tard !".

Il partit laissant le jeune combattant dépité. En arrivant sur les lieus du rendez-vous, Wakayor fut surprit de ne voir aucun bateau. L'heure était arrivée selon les étoiles et la lune. Wakayor se retourna car il avait senti une présence dans la nuit noire qui se transformait à peine en aube.
"Ah vous voilà Grégor, dit le jeune homme
- Très bien vu petit. Je suis prêt à partir !
- Mais... Il n'y a pas de bateau ici... Comment allez-vous faire ?
- Je vais appeler mon bateau, je vais lui demander de venir avec ses petites jambes musclée, banane !
- Euh...
- Non voyons. Il est là. Ouvre tes yeux et réflechit. Les formes subtiles de la réalité ne se voient pas toujours du premier coup. Regarde bien".

Sur quoi Wakayor observa la mer mais il ne voyait rien... Puis soudain, il recula de plusieurs mêtres et s'apercu que le bateau disposait d'un magnifique camouflage difficile à dicerné dans la nuit noire.

"Ah ouai !!! Bravo pour le camouflage... C'est étrange. Comment avez-vous fait ça ?
- Ceci est à moitié magique. Mais pressons, je vais t'apprendre les bases de la navigation tout de suite si tu veux m'accompagner et être autonome si ça se passait mal
- Ok. Je vous ecoute maître".

En une heure, le vieux Grégor enseigna les rudiments de la navigation à Wakayor qui comprenait vite et s'adaptait très bien à la situation.
Grégor largua les amares et le bateau débuta son avancée. Le temps était mitigé et un puissant vent poussait le petit navire vers le large.

"Où alons-nous, demanda Wakayor
- Je fais quelques kilomètres en mer, nous allons revenir sur nos pas et aller jusqu'au coin ouest du fleuve Valaryon. Un vieux bateau nous attend là-bas
- Pourquoi faire cette petite course... euh...
- Pour faire une prière, c'est une habitude que j'ai".

Ils revinrent sur le quai, il faisait assez jour. Pour la journée, Grégor avait prévut d'utiliser une charette pour aller jusqu'au flanc Ouest de fleuve. Le marrin remplit sa charette, avec l'aide de son apprenti, de tous les livres et de tous les gadjets qui étaient sur le bateau.
La journée se passa bien sous la pluie que le vieux Grégor autant que Wakayor appréciait. Il arrivèrent donc sur le flanc gauche du fleuve Valaryon, et devant eux se présentait un spectacle magnifique. Une énorme falaise bordait le fleuve et des chutes d'eau apparaissaient un peu partout. La végétaion était luxuriante. Sur la plaine, il longèrent le fleuve jusqu'à arriver au bataeu.

"Qu'est-ce que c'est que ce bateau vieux de trois milles ans, dit Wakayor, aïe
- Ne te moque pas de mon bateau ! Il est solide ! Ne t'inquiette pas et embarque les affaires avec moi".

Le début de l'aventure s'annonçait très bien... un peu trop bien même...

"Qui sont ces hommes ?
- Je ne sais pas hahaha, mais nous allons leur montrer ce que ça coûte de trainer autour de chez nous !"...
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
De très grandes personnes




"Dites-moi maître Grégor, demanda Wakayor en train d'embarquer le matériel dans le bateau
- Oui ?
- Combient de jours ce voyage va nous prendre ?
- Une semaine sans trop d'imprévus... Mais avec les ilorévus, cela rique de s'allonger
- Des imprévus ? Le coin à l'air super tranquille pourtant. J'ai une impression bizarre
- Quelle impression, deamda le vieil homme
- Qu'on nous observe
- C'est normal, il y a certainement le faubourg des géants par ici...
- Quuuoooi !? Des géants ! Non mais vous êtes dingue, ils faut pas trainé ici !
- Eh là mon garçon, calme-toi ! Il ne sont pas là. En tout cas, même s'ils nous voient, ils ne peuvent pas agir dans l'immédiat
- Pas dans l'immédiat, il me fait rire celui-là... Aïe ! Mais arêtez avec votre canne... Aïe !
- Je n'arrête jamais ce que commence, du moins je m'applique à être patient ! La patience, tu ne dois pas connaître ça toi
- Hum... C'est pas une raison pour me mettre sans arrêt des coups sur la... Aïe
- On ne discute pas ! Continu à charger le matériel illico presto
- Ouai oaui...".

Wakayor faisait triste mine mais était bien heureux au fond de son coeur, car il sentait que le vieux marrin était quelqu'un de sympa. Rien arrêtait Grégor, il était vif malgré sa canne et son dos courbé, et la confiance pouvait se lire sur son visage.
Le vieil homme s'arrêta soudain de poser le matériel dans le bateau. Il marcha le long du fleuve jusqu'à un petit pont qui menait vers une grotte non loin de la charette.

"Où allez-vous chef, demande le jeune guerrier
- Ne t'occupe pas petit, je revient, continu ton travail
- Ah bon... D'accord le vieux, dit Wakayor tout bas. Il est étrange des fois ce gars. Alors... Qu'est-ce qu'il reste à prendre ? Ah bun y a plus grand chose. Je vais faire une petite pause, et je vais m'échauffer à l'épée".

Ainsi, Wakayor sortit son épée du foureau noir collé sur son dos. Il retira tous ses vêtements sauf son panthalon (eh non les filles, pas maintenant :lol: ). Son torse brun et légèrement vellu brillait au soleil, qui avait pris la place de la pluie assez rapidement. Il faut dire que le climat de l'endroit était plus chaud que celui existant au bord de la Mer de l'Ouest. Le jeune garçon se déplaçait avec aisance muni de son arme qu'il ne tenait parfois qu'à une main.
Quelques minutes passèrent et soudain, Wakayor cessa son élan et regarda à sa droite... Une odeur et un déplacement d'air se raprochait rapidement... Le sol tremblait de plus en plus de façon rythmée.
"Boum... Boum... Boum... Boum...
- Eh, Grégor ! Eh oh !
- Boum... Boum... Boum... Boum...
- Eh mais y a tes potes qui arrivent là...
- Boum... Boum...
- Ils ont pas l'air commodes...
- Allez-vous en d'ici ! C'est notre village, on ne veut pas de microbes parmis nous, cria alors un homme de cinq mêtres de haut accompagné par deux autres un peu plus petits
- Euh... Oui, dit Wakayor avec des lèvres qui tremblaient étrangement. Vous êtes beau dites donc vous venez d'où... ?
- Partez ou je vous chasse moi-même, dit alors le mastodonte
- Euh... Oui... Mais c'est pas possible là... On doit aller dans le fleuve et puis... On en a pas pour longtemps...
- Tu l'auras voulu, yuuuarrr, sspppprrrrr
- Wayay !!!".

Wakayor évita le coup de masse du grand gars qui fit trembler le sol. Il couru très vite vers la grotte et appela sont maître, mais il n répondait pas.

"Grégor !!!! Venez !
- Reviens ici petit avorton, je vais te montrer se qu'il en coûte de ne pas m'écouter
- Ok, c'est cool, tu veux te battre, ça s'bouscule dans ton slip, alors je suis ton homme... Enfin ton petit homme !
- C'est ça, vien un peu que je t'écrabouille".

Les deux adversaires engagèrent le combat. Une nette supériorité du géant était visible mais Wakayor était agile et commençait à s'apercevoir que ce grand dadet avait un énorme point faible. Il était très lent pour tourner sur lui-même. Ainsi, Wakayor se mit rapidement juste derrière lui, en passant vite entre ses jambes, et prit deux fléchettes des cinq qu'il lui retait. Il lui lança dans chacune de ses cuisses. Le grand homme cria légèrement et se retourna en donnant une gigantesque coup de point dans le corps de Wakayor qui alla s'écraser sur un rocher à coté du fleuve. Le jeune homme avait sous-estimé la protitude du géant. Il était bien mal en point sur la pierre mais se remit debout difficilement en marchant un peu de traviole.

"Kkrkrikikrk... Tu m'as fait très très mal, cria Wakayor... Je vais te tueeeeerrrrrr !!!!!!!!!!
- Ha ha ha ha, je t'attend, tu est solide pour un microbe toi, on va bien s'amuser
- Kuf, kouf.. On va voir tête de cul !
- Quoi, repète !
- Tête de cul d'ours ! JE vias te masacrer !".

Wakayor était assez blessé mais encore en état pour contrôler le déplacement floux. Il sauta très vite le géant qui n'eut pas le temps de réagir. Wakayor lui asseina une vintaine de coups d'épée à une vitesse digne de respect. Puis Wakayor retomba en roulant et alla s'echouer sur le tron d'un arbre, derrière le géant. Le géant chuta sur ses genoux. Il avait le corps recouvert de coupures profondes. Il perdait du sang mais tenait bien le coup.

"Comment est-ce possible... Ah... aaa... Quelle rapidité... Il a bien faillit me tuer... Vous autres, achevez le, kuf, kuf...
- Mais maître voyons...
- Ne discutez pas... euh kuf... Grégor n'est pas là, ça ne peut pas être celui là
- Très bien, dirent les deux autres géant".

Wakayor était inconscient mais bine vivant. Il dormait sur l'arbre. Les deux géant approchant le réveillèrent. L'un d'eux brandit son arme et frappa Wakayor... Que ne fut pas leur surprise quand le géant se mangea un éclair si puissant qu'il tomba en quelques secondes.

"Comment a-t-il fait ça, dit l'autre géant
- Il faut pas m'agacer c'est tout, dit Wakayor en se relevant difficilement
- Je vais te montrer moi, ce qu'est la force d'un géant, cria le grand
- Non, arrête, dit le géant blessé
- Mais pourquoi ?
- Tu n'as aucune chance... Quel poison as-tu mit sur ces flechettes, demanda le chef des géant en retirant les dards de ses cuisses
- Tu poison paralysant... Ca marche très bien, surtout sur les grande personne, héhéhé...
- Tu as osé, dit l'autre géant. Je vais en finir avec t... Au... Comme elle est belle, regardez, la demoiselle là-bas, dit alors le géant comme s'il avait vu un rêve devant lui apparaître
- Grégor ! C'est vous... Mais, vous étiez là en rélité, dit le chef des géants
- Oui, j'ai dissimulé mon apparance à vos yeux pour que vous vous battiez contre Wakayor, mon nouveau moussaillon. Qu'en pensez-vous ?
- Vous avez là un combattant que je respecte. Il est le premier microbe à me tenir tête aussi facilement
- Hahaha, bravo petit, tu as passé un autre test, avec succès cette fois ci, hi hi hi... Allons-y, embarquons !
- Mais alors, vous et vos deux... Vous connaissez Grégor ? Mais je... Pardonnez ma violence, je n'ai fait que me défentdre, je suis humblement désolé, dit Wakayor les larmes aux yeux, en s'excusant du mal qu'il avait fait aux géant
- Ne pleure pas petit gars, c'est inutile, un homme ne pleure pas ainsi. Tu t'es bien défendu... Heureusement que ton poison n'agit pas longtemsp, sinon je n'aurait pas pu me soigner. Prend ça en guise de remerciement pour ta sincérité et ton courage
- Merci, j'essayerai ne plus pleurer à l'avenir...".

Le géant lui avait donné un grand potion de couleur verte. Il la mit dans le bateau et partit en disant au revoir aux géants...
Mais Wakayor voulait tout de même une explication d'une telle attitude de la part de ces grand hommes.
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Le trio infernal


"Vois-tu petit, dit Grégor, ces géants sont mes amis, et je suis l'un des rares "petits hommes" qu'ils acceptent par ici
- Comment avez-vous fait pour eloigner le dernier géants ?
- Je lui ai projeter une illusion devant lui, une illusion du rêve éveillé. Il s'est alors cru dans un endroit de rêve avec une femmes de rêve, et le tout personnalisé à son image
- Ah, d'accord... Mais leur chef était au courant de votre venue ?
- Oui. Je l'avait prévenu mais comme il ne m'a pas vu tout de suite, il t'a pris pour un véritabl intrut qui vole mon bateau, voilà tout. Je 'ai fait expret pour tester tes capacités de combat
- Vous êtes un cachotier !!! C'est pas sympa
- Il faut savoir utiliser les mensonges pour le bien... C'est d'aillleurs la seule chose utile et bénéfique qu'ils peuvent faire, sinon, les mensonges purs sont exclus de ma phylosiphie
- Je vois...
- Bon, je mène le bateau et toi... Lave le pont si tu veux bien il est trop sale...
- Quoi !!! Non mais... Aïe...
- Je suis vieux et fatigué ! Fais le ou je te botte les fesses petit ingrat !
- Ok, ok... Pffuu, qu'est-ce qu'il est chiant, dit Wakayor tout bas".

Une semaine passa. Le jeune guerrier s'accoutumait à la dicipline et quand il avait le temps, il lisait et il apprenait auprès du vieil homme les histoires des magiciens du passé, et les différentes techniques de navigations. Plus ils s'approchaient du centre d'Angara, plus le temps était clément.
Le petit navire de Grégor était spécial, et sa mécanique d'une nature inconue. Cepandent, il avançait bel et bien à 30 km/h en vitesse de pointe, ce qui n'est pas mal du tout.
Parfois, le jeune guerrier regardait dans ses affaires et observait cette bague dont il avait le souvenir... Il ne savait pas d'où elle venait mais il hésitait toujours à la mettre. Puis un jour il la mit, mais il ne savait pas que cela annulerait l'énergie active de son éclair incontrolable.
Ils longeaient toujours le bord des falaises qui encerclaient la forêt du plateau quand Wakayor et le vieux Grégor eurent le même ressentiment. Le marrin arrêta son bateau et attendait quelque chose.

"Il y a des gens ici, dit Wakayor... Certainement trois ou quatre
- Tu ne te trompes pas dit Grégor, je croyais les avoir anéantis la dernière fois mais... Ils sont toujours là
- De qui parlez-vous ? Vous connaissez ces personnes
- Ils sont trois en fait... Mais le quatrième dont tu parles, je ne le ou la connais pas... S'il ou elle existe vraiment, toujours...
- Que veulent-ils, pourquoi vous arrêtez-vous ?
- Ce sont les pilleurs du fleuve... Ils se déplacent très souvent et sont très dangereux. Ils ne faut pas les sous-estimer... Actuellement, ils nous voient et se cachent
- Mais je croie qu'ils ne nous entendent pas, c'est une chance... Je n'ai pas peur de ce type d'humains... Ce qui sont mauvais, récoltent leur mal tôt ou tard, dit Wakayor d'un ton sincère
- Ta pensée est bonne mon petit, mais il est possible qu'ils ne récoltent pas leur mal de leur vivant... A nous de leurs montrer que même ici, ils auront peut-être une chance de s'excuser
- Que faisont nous, demanda Wakayor
- Laissons-nous attaquer, j'ai besoin d'aventure
- A votre âge, mais c'est trop risqué... Aaaaïee...
- Veux-tu te taire, sache que l'âge n'affaibli que le corps ! Il n'est qu'un outils rien de plus... Il y a des choses bien plus puissante qu'un simple bras qui frappe de son épée
- Si vous le dites...".

Sur ce, les deux voyageurs n'étaient pas inquiets et s'attendaient donc à une attaque surprise. Ils étaiant prêts à tout... Mais pas à...

"Regardez capitaine, cria Wakayor, une fille au bord du fleuve
- Qui est donc cette personne ?
- Elle pleure, allons l'aider...
- Ne fais rien ! C'est un piège...
- Au secours, à l'aide, aidez-moi, des brigants me poursuivent, cria la jeune fille d'environ neuf ans
- Oui, j'arrive petite, ne t'en fais pas, cria Wakayor
- Ne fais rien petit imbécile !
- Mais vous voyez bien capitaine, elle est...
- Balivernes ! Ooohh !
- Aaaahh !! Au secours !!!".

Soudain, trois hommes apparures derrière la fille, avançant lentement sans se soucier des deux navigateurs.

Zang Han : Le premier à droite était apparemment un samouraï. Il avait les cheveux de couleur noir, les yeux rouges et un katana dans chaque main. Son aspect semblait en totalité celui d'un mec sortit tout droit d'un l'asile d'aliénés. Son regard faisait comprendre qu'il voulait tuer cette fille.
Capitaine Yo : Le plus près de la fille était un gros bonhnomme, avec un binocle sur le nez, qui faisait des gestes étranges dans l'air. Il avait le même air malingre que son pote, mais en plus intelligent.
Zoribyon : Enfin, le troisième et dernier gars s'apparentait à un pirate terrifiant. Sa carrure dépassait de beaucoup celle du samouraï. Il avait le regard vide et ses intentions étaient claires, il voulait attraper cette jeune fille. Sa bouche pincée et ses poings sérés ne laissait rien présager de bon...
Quant à la petite fille, qui s'appelait Nima, elle portait un habit sale, de couleur marron ; une sorte de robe prêtre sans capuche. Elle reculait était presque sur le point de tomber.
Soudain, désobéissant aux ordres de Grégor, Wakayor pris son élan et sauta le plus loin possible afin d'atteindre le bord du fleuve qui se trouvait à une dixaine de mètres de distance.
"Non, cria Grégor
- Arrêtez tout de suite bande de chacals, cria Wakayor en sautant
- Idiot, c'est un piège, relança le vieil homme
- Ne la touchez pas, dit alors Wakayor qui venait de tomber pile entre la fille et les trois hommes
- Tiens tiens, dit Yo, un imprudant qui viens s'aventurer par chez nous... Tu aurais du écouter ton ami le maître Farisstandaliss...
- Taisez-vous donc espèces de crapules !
- Voilà qu'il pleure maintenant, hé hé hé... Tu est naze dégage de là ou je te découpe ! Vire ta viande, cria Zang Han
- Hm... Mes larmes indiquent votre mort futur bande de lâches... aahh....".

Wakayor tomba d'un seul coup sous les yeux étonné de Grégor qui avait tout de même tenté un sortilège sur la petite fille mais cela avait raté. Elle était de mèche avec eux et elle planta donc un couteau dans le dos de Wakayor qui gisait allongé sur le sol, sembalant mort. Son coup avait été exécuté avec précision, ainsi, il y aurait peu de chance qu'il en réchappe...
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Message par Eldamyo F »

Le voyage de Wakayor
Confrontations


Le vieux Farisstandaliss se posait une question. "Pourquoi sa protection d'éclair ne s'est pas déclanchée ?". LE vieux magicien fit un mouvement rapide avec les mains. Soudain, l'endroit s'assombrit et une pluis d'acide commença à tomber.
"Ah ! Quelle horreur, cria Zang Han, une pluis acide, c'est horrible
- Mais, ça brule, aïe, cria Nima
- Grrr, je résiste sans problème à son attaque, hahahaha, dit Zoribyon
- Taisez-vous, s'écria Yo. Zoribyon, attaque le, je prépare notre protection
- Yuuuaaaa !!!
- Tu ne peux pas me vaincre Yo, et ton sbire ne pourra rien faire de plus, dit Grégor en aillant auparavant incanté un sort aux composantes uniquement vocales
- Je vais te détruire vieil homme. A l'assaut, cria le pirate en sautant comme l'avait fait Wakayor quelques minutes avant".
De ce fait, Grégor immobilisa l'homme en plein vol qui alla s'échouer de l'autre côté du fleuve, à cause l'élan residuel de son bond. Puis immédiatement après, il lança un sort d'éblouissement aux autres ennemis. Ainsi, il lévita au-dessus de l'eau et attrapa Wakayor en l'attachant à sa canne. Cet éblouissement eût l'éffet escompté sur les trois autres.
Yo le prêtre maléfique échoua son sort mais n'était pas un imbécile, et essaya de créer une zone de ténèbres. Mais la pluie acide tombait toujours et commencait à abîmer Zang Han, Yo et Nima.
Pendant ce temps, Wakayor escortait difficilement son jeune protégé vers le bateau. Arrivé au bateau, Zang Han réussit à voir malgré la lumière extreème et vit le vieil homme poser Wakayor sur le bateau avec beaucoup de difficultés compte tenu de la carrure du vieil homme. Grégor arrivait finalement à mettre Wakayor sur le pont et soudain Zang Han s'aperçut que le jeune homme n'avait pas de traces de blessures dues à la pluie acide. Il comrpis alors que c'était une illusion et donc rangea ses katanas, plongea sournoisement et doucement dans l'eau du fleuve et nagea donc lentement vers le bateau.
Sur le bateau, le vieux capitaine fit des points de compression à certains endroits du corps du jeune homme. Wakayor était grièvement blessé dans le dos, et son sang coulait à foiçon ; Nima lui avait percé une grosse veine du dos.
Wakayor se réveilla au bout de quelques secondes grâce au comporessions de Grégor. Il grognait, il saignait moins mais avait beaucoup de mal à se relever.
De leur côté, Yo et Nima commencaient à ne plus supproter la douleur illusoire de l'acide, quant à Zoribyon, il avait les yeux grands ouverts mais il ne pouvait toujours pas bouger.
Zang Han continuait son avancée sournoise sous l'eau ; était au deux tiers du chemin. Au même moment, Wakayor commença à incanter un sort d'apparence plus puissante que les précédents. Wakayor se releva assez vite et s'écria soudain :
"Cette fille ! Elle était complice, j'aurais du vous écouter capitaine, pardonnez-moi... Ah, mais qu'est-ce que... Il est concentré, c'est impressonnant !".
Le jeune guerrier se mit debout lentement et surveillait donc les alentours. Il voyait une forte lumière vers Yo, mais étrangement, il ne voyait pas la pluie acide et l'obscurité générées. Tout à coup, la lumière disparu et il vit clairement ses ennemis. Le capitaine Yo semblait chercher un abri et Nima semblait comme hypnotisée. Grégor sotit de sa concentration et posa pointa ses mains en direction de Wakayor, ainsi, sa blessure se résorba assez pour faire une belle cicatrice.
Brusquement, Zang Han ayant attrapé discrètement le bord du bateau, jaillit dans l'air devant Wakayor et Grégor. Pendant son envolée, le samouraï aliéné sortit ses deux katana comme pour découpper Wakayor au niveau de la taille mais le jeune moussaillon eût la souplesse de se plier en faisant partir sa tête en arrière.
De ce fait, Wakayor s'allongea, fit une roulade rapide et sortit son épée à deux mains en se remettant debout.
"As-tu seulement une idée de contre qui tu te bas imprudant, dit Zang Han
- Hm
- C'est tout ce que tu trouve à dire, yakumisan !!!".

Le fou aux deux katanas lança son attaque que Wakayor métrisa facilement. Le vieux Grégor s'était écarté et surveillait la fille. Il vit en quelques secondes qu'elle était victime d'une domination majeure. Cela ne pouvait être que l'oeuvre du capitaine Yo, se dit alors Grégor. L'illusion fut dicipée et Yo revint en force mais très abîmé par l'acide qu'il a cru véritable. Un combat s'engagea donc entre les deux hommes pour d'un côté dominer la fille et de l'autre la libérer de son emprise.
La confrontation entre les deux combattants était magnifique, d'un coté le blanc, de l'autre le rouge, le choc des lames dégageaient des énergies faramineuses. Les yeux des deux hommes se croisaient souvent. Wakayor avait une peur qu'il n'avait pas recentie depuis petit. Zang Han était plus vieux que lui et son vidage de fou faisait vraiment peur.
De fait, Wakayor commençait à conséder des attaques et se retrouva avec deux, puis trois, puis quatre blessures.
"Tu es un adversaire très bon mais tu vas echouer, ahahaha, cria Zang Han
- Hm...".

A mesure que le combat passait, le jeune Wakayor se rappelait une leçon d'Opale : "Parle le moins possible si tu as peur, et contrôle ton corps, car la parole fait perdre de l'énergie et rend ta tactique facilement perceptible"...
Ainsi, Wakayor reprit du poils de la bête et maintenant, il avait vraiment l'intention d'en finir avec Zang Han.

Grégor avait déjà rejoint Yo et avait mit la fille à l'abri et l'avait aussi endormie...
"Comme on se retrouve, dit Yo
- Je ne suis pas heureux de te retrouver, sache le bien ! Je vais te faire payer tes atrocités, je pensais pourtant avoir réussit il y a trois ans !".
Ils se regardaient et se rappelaient leur dernière rencontre dans ce même endroit, où Grégor avait anéanti Yo en plusieurs heures. Leurs yeux étaient injectés de sang.
Le prêtre noir contre l'illusioniste, les énergies se chevauchaient déjà...

Wakayor avait presque gagné son combat, il avait réussit à désarmé le fou d'un katana.
"Bravo petit, hahaha ! Tu me plais, mais je n'ai pas finit, yahahaha !!".
Zang Han était très blessé mais dans sa folie, il continuait allègrement ses attaques, mais Wakayor était devenu invulnérable à ses offensives colériques et chaostiques. Le jeune barbare finit par le désarmé totalement.
"Tu es à ma merci, samouraï... Je t'épargne si tu veux...
- Hahaha... Moi, m'épagner ce serait pire que de mourrir, uuuuaaaaaaaaaaaaarrrrr !!!
- Boum ! Moi je suis là amigo, dit Zoribyon qui venait d'être libéré de son emprise paralysante
- Youhou !!! A l'attaque !".

Les deux hommes s'élançèrent sur Wakayor qui retrouvait soudain le sourire, car sa peur avait totalement disparue.
"Wa les mecs, allez-y, j'suis prêt".
Wakayor en finit immédiatement avec Zang Han en lui sectionnant une jambe à l'aide du déplacement floux. Zoribyon surpris commençait à se poser des question sur ces capacités à éviter une offensive aussi rapide.
"UUaaaaaaaaayyyyaaaa, ma jambe, il a coupé ma jambe, enfoirééé !!!! Je vais te... Je vais te tuer, cria Zang Han
- Assez tête de gland, je me charge de lui !
- Uaahahaha, tu aucune chances, heu heu.. kuf, kuf !
- Tais-toi, je vais me le faire
- C'est ça mon grand. Tu as beau être baraqué, tu n'en est pas moins lent, dit Wakayor. Regarde, je rengaine mon arme, je suis sympa !
- Tu cours tout drit au suicide...
- Hmm m m m ... Et ça, c'est très utile, non, demanda Wakayor en sortant de ses de poches deux dagues à triple lames perpendiculaires
- Intéressant !
- Euh... Attends, il faut que j'aille faire le cake...".

Wakayor couru rapidemet vur un bord du bateau et baissa son pantalon le cul à l'air du côté de l'eau et :
"PPPFffffrrrouffff, flic floc flip flip fliop... blopblopblop
- Tu te monques de moi, je vais te montrer, yaaa !".

Ainsi, Zorybyon fonça sur Wakayor, toujours en train de faire caca. Le pirate envoya une attaque sur "l'homme dans le besoin" avec son cimetère, mais Wakayor évita en tombant en arrière et en se retenant par les pieds uniquement, sur le bord du bateau, ainsi il pût laver ses fesses avec l'eau du fleuve. Zoribyon visa les "CENSORED" mais Wakayor remit son pantalon et bloqua le coup avec ses deux dagues. De ce fait, Zoribyon essaya de décrocher Wakayor de sa prise sur le bord du bateau mais le jeune guerrier s'agrippa à une échelle sur l'un des flancs du navire et remonta sur le pont d'un mouvement fluide et rapide.
Wakayor en finit rapidement avec le costaud.
"Alors messieurs... Je vous achève ou je vous laisse en vie ?
- Bomm !!
- Qu'est-ce que c'est que... Oh ! Grégor, il faut que je l'aide
- Ne bouge pas petit imbécile ! Jetes tes opposants à l'eau ou tus les ! Je ne veux pas que tu intervienne dans ce combat !
- Très bien... Vous deux... J'ai envie de vous chier dans les dents ! Vous voulez ? Non, c'est vrai, je suis pas scato du tout mais quand le père Grégor n'aime pas des humains à ce point, c'est qu'ils ne doivent pas mériter beaucoup d'égarts...
- Tues moi, criait Zang Han, tues moi !!! Je ne peux pas accepter un tel déshonneur !
- Non ! Je vais vous jeter à l'eau".

Wakayor prit le grand Zoribyon et le jeta à l'eau, il flottait comme nuage. Mais pour mettre l'autre à l'eau, c'était une autre affaire. Il s'approcha de Zang Han et ce fou enserra Wakayor et lui enfonça vicieusement une fléchette dans le bras gauche.
"Ahaha, tu vas mourir avec moi !!! Je t'ai paralysé ! Voilà, je sorts cette grande épée et je la fait transpercer ton corps et le miens, hihihihahaha héhéhéhérrrr !".

Zang Han sortit l'épée ; Wakayor était véritablement paralysé et terrifier, il essayait de résister mais vain ; Il arma la lame au dessus du dos de Wakayor mais soudain, une main se posa sur celle de Zang Han... Il mourru sur le coup et lâcha tout doucement la lame qui ne fit qu'une petite entaille dans le dos du guerrier encore paralysé.
Grégor libéra Wakayor de lemprise physique du mort qui commençait à se raidir. Le jeune mousse était allongé sur le dos et bloqué dans la position dans laquelle il était sur Zang Han. Puis la paralysie disparue.
"Bravo petit... Notre première aventure commence bien, mais je suis affaiblit...
- Capitaine !
- Ooohh, fit le vieil homme en s'allongeant de fatigue sur le pont
- Grégor, il est épuisé... Je vais débarasser le planché de se cinglé."

Wakayor rapprocha le bateau du bord du fleuve où se trouvait la fille qui dormait. Il alla chercher Zoribyon, il débarqua Zang Han, il fit un trou pour le samouraï et l'enterra, il réassomma Zoribyon pour être sûr qu'il dorme, il prit le jeune fille et l'embarqua, il la posa sur une couche dans la cabine du bas et allongea le vieux Grégor endormit sur son lit.
Une fois sur le pont, Wakayor démarra le bateau et disait :
"Où est passé ce gros type avec un binocle... A-t-il vraiment réussit à le tuer... En tout cas, Zoribyon lui est toujours là... Il faudra prévoir avec lui".
[/quote]
1er Chevalier de la Reine Jin Gar et membre du club des anciens.

Le Temps est une illusion...
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Eldamyo F
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Le voyage de Wakayor
Les alliés de Wakayor
1-Une femme en noir


Loin d'ici, une forme se déplacait rapidement et silencieusement dans une plaine étendue et jalonée de multiples colines et de quelques maisons. Dans l'Est d'Angara, au nord de la communauté du peuple, près de Péryon, le soleil brillait et l'air était humide et légèrement venteux. La paix semblante du territoire paraîssait patétique, et personne ne sortait des maisons, pas un chat dehors malgré le beau temps. Les bêtes de fermes étaient à l'extérieur et étaient apparemment maigres et râlantes.
La silhouette ralentit son allure en approchant du centre de commerce de la ville. Elle arrêta sa course brusquement, et reprit son souffle longuement. Vu de dos, son corps était muni de formes sveltes et musclées comme celles d'une jeune femme. Son habit noir lui moulait le corps. Elle était grande et mince. Sa coiffure était faites de cheveux longs et bouclés, de couleur noire brilante, et attachés derrière sa tête, formant une grosse couette. De face, elle présentait une surface très féminine constituée d'une petite poitrine et de tablettes de chocolats dignes d'un musclor. Autour de sa taille, elle portait une ceinture à laquelle était attaché de multiples petites poches et un foureau de sabre avec ce dernier à l'intérieur. Son visage était résolut et fin, ses machoires semblaient inexistantes et ses yeux verts paraîssaient retenir des larmes. Elle était en sueur.
Les alentours étaient vides, personne ne trainait dans les rues, les étalages de commerces étaient comme délaissés, à l'abandon depuis plusieurs jours. Soudain, la femme cria :
"Il y a quelqu'un ? Répondez, sortez de vos trous !!!! Qui vit ici, continua-t-elle en marchant. Quelle triste endroit, je pensait tomber sur des fermiers... Mais il n'y a personne, même dans le village... Haa, si je ne boîe pas vite je vais tomber dans les pommes, et je ne... Aaaa, youhou, de l'eau, cria-t-elle en courant vers une carafe d'eau posée sur un étalage. Gloup, gloup, gloup... Haaahhhhh ! Merci !
- Aaah, haaahhhh haaarrhhhh
- D'où viennent ses bruits bizarre".

Elle se mit à chercher la provenance des bruits inquiétants. Ils ressemblaient à des râles de plaisirs sexuels... En se rapprochant de plus près, des cris d'appel à l'aide s'échappaient parfois se mélant aux râles d'un mâles... Puis soudain, les yeux de la femme s'ouvrirent et ses sourcils fins se froncèrent avec force. La sceine était trop dure pour qu'elle fut oisive devant un tel spectacle ! Une dame à moitié déshabillée et mal baillonée, des hématômes partout sur le corps, était en train de se faire violer par un grand mec au regard méchant, chauve et très costaud.
Le femme en noir ne réfléchit pas et fonça dans l'homme à une telle vitesse qu'elle lui brisa la nuque en ayant, auparavant, dégainé son sabre et porté le coup avec la poignée de celui-ci.
"Hmmm, hhhmmaimmer moi... hhhmmmm
- Crapule, comment oses-tu faire ça ! Ne vous inquiétez pas, je suis là, ne vous en faites plus, il ne pourra plus jamais vous faire du mal, je vais enlever votre baillon...
- Aaaaaahhh, au secours !!! Allez-vous en, ils sont trop nombreux, ils vous tueront, partez... P...artez
- Qui ça, qui ? De qui parlez-vous, demanda la femme en noir en cherchant quelque chose dans l'une de ses poches de ceinture
- Partez... Vous ne comprenez pas... Partez... Pourquoi m'avez-vous sauvé, ils reviendront, à conq à six qui sait... Si nous ne leurs obeissons pas, ils tuent nos enfants !!!
- Qui fais cela, allez-vous me le dire, dit la femme en noir gentillement
- Non... Partez je vous en prie, sinon, ils vont tuer mais enfants, nos enfants !!! A cause de vous, ils ne nous pardonneront jamais la mort d'un des leurs !!!
- Ecoutez-moi, je ne suis qu'une voyageuse mais je ne peux pas rester inactive face à de tels actes, et je suis moi aussi une femme...
- Mais certainement pas une mère, idiote !
- Vous aurez beau dire ce que vous voudrez, je vais vous protéger.Où sont les autres, dites le moi s'il vous plait
- Laissez-moi tranquille, je suis... euhhhfff, eeeuugfff snifff, ... ils nous font ça depuis plusieurs jours, ils sont arrivés d'on ne sais où, ils ont tué tous nos maris".

La femme violée ne pût s'empécher de blotir dans les bras de sa sauveuse. Elle plaurait et la femme en noir serrait ses points et regardait l'horizon avec une rage de loin plus grande que jamais.

"Ne vous en faites pas... Je suis là maintenant, et le prochain qui revient subira le même sort, si ce n'ait pire, que cette misérable vermine puante !
- Je ne peux pas croire... Mais... Etes-vous...
- Je suis à la hauteur, laissez-moi vous soigner".

Ainsi, la jeune femme avait sortit un mouchoir épais et quelques plantes de sa ceinture, qu'elle posa sur les multiples blessures de la dame.

"Tenez ce cataplasme fermement sur votre blessure, je reviens tout de suite, je ne vais pas loin, dit la femme en noir".

Elle attrapa le mort et le cacha dans un entropôt de nourriture vide.

"Voilà, maintenant, parlez-moi d'"eux"
- Eh bien... Ils sont une trentaine environ... Ils sont arrivé il y a six jours et ont pillé notre village, la plupart d'entre-nous avaons été tué et.... eeeuuufffff, nos enfants, ils les ont pris... avec eux et nous menacent de les tuer si l'on n'obéi pas... auaauauuffff, aaaauauaefff....
- Allons, je vais... Je vais les faire payer !!!!!! Qu'ils viennent et je me permettrai de les exploser ! Kkkkkkkkhkikhkhkh... C'est inanmicible ! Je vais vous aider à vous relever, là...
- Hey, en voilà une nouvelle dit alors un homme qui venait d'arrivé suivit de trois autres gars, aussi patibulaires que l'autre
- Au mon Dieu, ils sont là, ce sont eux, au secours, dit la dame qui voulait partir mais la femme en noir la retenait...
- Qui êtes-vous ?
- Tiens tiens, elle parle celle là, hahaha
- haahahaha
- héhéha...
- Ca vous dérange pas si je vous dit que vous ressemblez tous à des nazes puants, à des pauvres taches et que vos mère elles auraient mieux fait de se retenir avant de vous faire venir sur terre !
- Comment oses-tu, tu nous cherches, tu vas nous trouver !
- Ouai, je vais la tuer cette putain !
- Restez là, je m'en occupen dit la femme en noir à l'autre femme".

A côté de là, une femme se cachait derrière une maison de marché et observait sa semblable essayer de se défendre, et elle se disait qu'elle l'aiderai si la elle était à la hauteur de ses provocations...

"Venez bande de peine à jouir, je vais vous montrer, ce que ça veut dire, souffrir... Mon père medisait souvant, "les gens méchants ne connaissent pas la douleur"
- Huauauhaha, ton père était un...
- Yaaaa !!!".

En deux déplacements souples et rapides, elle flanqua par terre deux d'entre eux.

"Heee ! Comm... Impossible, comment elle a fait ça, elle trop rapide pour nous !
- Tu plaisantes, elle a eu de la chance voilà tout, héhéhé, résiste un peu à ça !".

Le chef de bandes entamma une attaque ; il était plus performant que les autres mais l'ouragan noir lui coupa la tête au bout de quelques minutes quelques minutes. Voyant cela, l'autre partit prévenir ses alliés. La guerrière essaya de le ratrapper mais n'eût pas le temps, il était déjà trop loin et elle était en fait assez fatiguée.

"Bravo, cria la femme cachée non loin de là
- Merci, dit l'autre dame...
- Ouai, super ! Je suis Firmone, cria la femme qui se rapprochait de deux autres. Et vous, comment vous appelez-vous ?
- Je ne peux pas donner mon nom, je suis désolée... Appelez-moi...
- Je peux vous trouver un nom, dit Firmione
- Si tu veux...
- Ouai, j'ai trouvé : Mirya ! C'est joli, et c'est le nom d'une grande guerière du passé
- J'en suis flatée...
- Snif, niif, ils vont tuer nos enfants, j'en suis sûre, l'autre complice va les prévenir...
- Ne vous en faites pas pour lui, je lui ai mit un mouchard qui a du l'endormir pour un moment. Donnez-moi à manger et puis je le ratraperait aussi vite que l'éclair ! Il n'aura pas le temps de les prevenir".

Les deux femmes lui donnèrent à manger, elles étaient les seules restantes ici, car ls autres avaient été tuées ou enlevées. Mirya se goinfrait comme un porc le ferait, et mangeait une vitesse impressionante.

"J'y vais, je reviens. Voilà un gadjet pour vous, si vus avez un problème appuiyez sur le bouton, lancez le en direction de vos ennemis et partez le plus loin possible !
- Bonne chance !
- Merci !".
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Le voyage de Wakayor
Les alliés de Wakayor
2-Pas de cadeaux


"Alors, est-ce que mon mouchard à bien marché, disait Mirya en courant aussi vite que possible. Oui... Les traces de pas son très bien resortie, hihihi... Ce produit est extraordinaire, je n'aurais pas cru que l'herboriste qui me l'avait vendu était sincère, baaaayayo, peu importe ! Je doit le retrouver maintenant, car l'effet soporifique du produit est de courte durée, en tout cas, je ne le connais pas exactement..."

Sa rapidité de déplacement dépassait l'entendement, et malgré cela, elle n'était pas fatiguée ; elle sautait, planait, faisait quelques roulades, mais jamais elle ne s'égratignait ou semblait essoufflée. Elle réussit enfin à rejoindre le type de tout à l'heure qui marchait difficilement. Elle ralentit sons allure et s'approcha discrettement et silencieusement de sa cible.

"Salut, criat-t-elle en lui attrapant l'épaule fortement
- Hun !!! Tu m'as suivit ! Comment as-tu fait, j'étais seul !?
- Tais-toi donc tête de rat, et conduis-moi vite vers ton chef, ou je te tue sans ménagement, dit Mirya d'un façon autoritaire et en lui tenant fermement le collier
- Mais je... Non, je ne peux pas, il vont me tuer !!
- Tu prefères eux ou moi ? De toutes façon, je n'ai plus besoin de toi en réalité, je crois que je vais me débrouiller toute seule idiot, je vais t'éliminer comme j'ai déjà tué tes soi-disant amis, héhéhé
- Non, ne me faites pas de mal, je vous en prie, je vais vous conduire à eux, et je pourrai peut-être vous aider pour d'autres choses, je connais bien les gens de mon clan... Je suis Bobo, pour vous servir...
- Hummm... Tu es sûr de vouloir faire une chose pareille ?
- Oui, oui, c'est promis juré craché !!!
- Hummmouuuai... Je vais réfléchir un peu peut-être... J'ai une folle envie de te torturer jusqu'à ce que tu saches ce que c'est de se faire violer, espèce de lavette ! Grrrrrrr, tu méritrais que je te coupe la tête, dit-elle alors en tenant la poignée de son sabre
- Ne me faites pas de mal, je ne peux rien faire contre vous ni contre mes alliés... Je n'ai jamais aimé ce qu'ils font mais je n'ai jamais vraiment eu le choix... Si je pouvais aider, je le ferais, mais je suis impuissant face au chef... Il est redoutable et méchant... Il a un pouvoir spécial... Il peut découper les gens avec ses mains, il est terrifiant
- Tais-toi, tu n'as même pas essayer de sauver une de ces filles, tu n'es qu'un lâche comme les autres ! Conduis-moi à ton découpeur à l'heure, et on verra si tu es sincère plus tard, je n'ai pas que ça à faire ! Dépèche-toi !"

L'homme miteux et pas très grand guidait lentement Mirya vers le camp aménagé par cette bande de lâches. Bobo était moche et frèle, comme si la nature ne voulait pas qu'il puisse attirer vers lui les gens qui l'entourent.
Ils atteignirent une vallée assez longue bordée par deux très grand collines vertes. Le soleil était de plus en plus imposant.

"Nous voilà arrivés non loin du camp de Kropss, dit Bobo
- Kropss... Cela me dit quelque chose... Bref, je n'ai pas que ça à faire. Dis moi combient sont-ils et leurs niveaux de combat par rapport à moi
- Vingt d'entres ces brutes sont du même niveau que ceux que vous avez mit au tapis tout à l'heure. Mais reste Kropss et cinq autres personnes qui sont à craindre. Je vous dit ça car je ne vous crois pas capable de les vaincre...
- Assez petit morveux... Je ne sais plsu encore comment je fais pour te laisser en vie... Tu peux t'en aller, mais si tu touches à un seul cheveux d'une seule personne du village que je viens de quitter... Tu ne sera plus de ce monde à la seconde où j'aurai vu ne serait-ce qu'un poil de ton sale nez ! Bien compris ?
- Oui... Pour vous prouver ma sincérité... Les cinq gardiens du chef sont habillés en rouge et ont chacun un point faible. Le premier, Albutor, est grand et mince. Désarmer le de son épée, et il est innoffensif. Brikola ensuite, une femme. Elle a une carrure de nageuse et c'est une très bonne luteuse, mais il suffit de lui faire des guilis et elle perd les pédales...
- Continu...
- Les deux frère jumeaux Pipo et Molo... Ils sont hypnotiseurs et le seul moyen de les battre est de se boucher les oreilles et de se bander les yeux... Sinon, confisquer leur leurs instruments, et ils sont aussi dangeureux qu'une mouche. Et puis il reste Natili... Elle est une artiste du sabre comme vous, et elle ne craint pas la mort... Mais ilparait qu'il suffit de la mettre nue, même en petite culotte, pour qu'elle perde tous ses moyens...
- Oui oui... Et Kropss ?
- Kropss n'a pas de point faible que je connaisse en particulier... Il en a certainement un mais...
- Assez ! Tu as dit certaines choses qui me seront peut-être utiles... Mais cela ne prouve pas ta sincérité. Tu veux sauvé ta peau, c'est tout... Considère que je me méfie de toi comme de la peste... Ya !
- Ah !"

Elle l'assomma et le ligotta aussi vigouresement que possible car il semblait innoffensif mais il était doté d'une souplesse impressionante.
Ainsi, elle partit en direction du campement. L'endroit était sale et puant. Elle se cacha derrireè un buison et observa tout en écoutant ce qui se disait...

"Euuuuurrrha, ha, ça fait du bien une bonne bière !!
- Ouai, haahaha, le chef a été sympa avec nous, il nous a promis deux femmes chacun pour ce soir !
- Pourquoi ce soir ?
- Eh bun il parait qu'il va organiser une descente dans le village parce qu'il dit qu'il reste des femmes là-bas. Et des belles, crois moi, on va se régaler, huhahaha
- Ma parole, ils ne pense qu'à ça, c'est immonde, pensa Mirya les yeux rougit de colère
- Ouaiii, hahaha, eeeuuuuaaa !
- Eh bien, que faites-vous ici, cria un homme en rouge, Kropss attend son repas, préparez lui ça et tout de suite
- Ah ! Il doit être... Albutor... Oui, c'est lui. Un épée à la ceinture... Je lui subtilise et il est à ma merci, pensa Mirya... Les deux hommes partent, personne à l'horizon... Hey toi là-bas, cri-t-elle toujours cachée
- Hum... Qui a parlé ? Est-ce toi Brikola ?
- Non, c'est le fantome d'une de tes vistimes petit chenapent !!! Tu vas me voir dans peu de temps
- Si c'est un blague, ça ne me fait pas rire ! Sortez de votre cachette
- ... Yaha !!!"

Mirya s'élança sur lui avec son sabre. Le choc des lames retentit. La surprise d'Albutor était entière. Il ne vit absolument pas sortir la fille de sa cachette.

"Mais que voulez-vous ? Qui êtes-vous ?
- Je suis une admiratrice de votre talent à l'épée, je viens vous mettre au défit !
- Hmm... hahaha, je suis flaté mais je ne me souvient pas de vous, qui êtes-vous ?
- Je me nomme Mirya
- Quoi, la guerrière légendaire, mais vous devriez être morte...
- Assez bavardé, prend ça ! Yaha !"

Albutor maîtrisait parfaitement son épée longue et fine. Son aspect élancé et souple était agréable à regarder. Il avait les cheveux longs et bruns, les yeux marrons et une balafre sur le font. Mais son visage semblait triste et mauvais en même temps, il avait un regard hypnotisé.
Le combat tournait rapidement à son avantage quand soudain, Mirya lâcha son sabre et exécuta une attaque spéciale, "la prise de l'aigle". Elle sauta juste au-dessus de l'épéiste et en retombant elle sortit de sa ceinture une ficèle très fine et invisible de loin, et ainsi et attérit sur lui et l'étrangla grâce à la ficèle.

"Je ne pensait pas t'avoir aussi facilement, non, tu es plus fort que ça
- krrr, je vais te...".

Albutor retenait la cordelette avec une main tandis qu'avec l'autre main, il essayait de toucher Mirya avec son épée... Puis finalement, elle donna un coup de pied violant sur la main de son ennemi qui menait la lame et il laissa tomber son arme. Sur quoi, elle lâcha prise et Albutor se retrouva à genoux en toussant et en se tenant le coup. Mirya écarta l'épée le plus loin possible te repris rapidement son sabre.

"Kuf, kuf kuf, ... Je suis sûr que... kuf, tu n'es pas qui tu prétends...
- Tais-toi et meurs la tête haute
- Hun ?
- Slatsh....".

La tête du guerrier tomba. Mirya avait le regard froid mais sage. Elle savait que son acte représentait pour elle une abomination mais elle ne pouvait pas faire partir l'image de femme se faire violer en pleine rue, sans que personne n'intervienne".

"Oooh !!! Qui êtes-vous, cria un des cuisinier qui avait entendu un bruit suspecte
- Baaaayayo... Votre ami me faisait vomir alors je l'ai tué...
- Quoi !
- Yaha !
- Slatsh...
- Heuuuu...".

Le cuisinier tomba aussi sec. Elle venait de lui envoyer un couteau dans le coeur à une vitesse redoutable.

"Maintenant, les quatres autres... Mais je vais cacher ces deux là. Et quant à l'autre cuisinier, je vais le tuer aussi, pas de pitiée pour les connards comme eux".

Furtivement, elle tua donc le dernier ennemi le plus proche et cacha les trois morts. Elle mit la cape rouge d'Albutor qui était pile à sa taille et qui était munie par chance d'une capuche. Enfin, elle partit à la découverte du camp, dans son camouflage.
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Re: Histoire des forumeurs d'Animint (en attente suppr...)

Message par Souldamyo »

Hello
Juste un petit coucou, ça fait si longtemps maintenant.
ça fait quelque chose de relire les posts délirants de la première histoire des forumeurs
ça a dût en inspirer certains

en tout cas c'était super (mais vraiment très chronophage)

salut à tous les anciens, Pika, Jin Gar, Bri, Chibi et Lin Kin (meilleur pour la fin ;-) )

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Re: Histoire des forumeurs d'Animint (en attente suppr...)

Message par Eldamyo F »

Bon finalement j'ai retrouvé l'adresse email : :lol:
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