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Le top 10 des anime 2013

Par le :: Découvertes

animes , 2013

Arrivé à la fin du mois de décembre, l'exercice classique est de jeter un coup d'oeil dans le rétroviseur sur l'année écoulée. En ce qui me concerne, cela permet de dresser un bilan sur les nombreuses séries télévisées succinctement présentées au fil des présentations des différentes saisons de diffusion au Japon.

Par choix, le classement se limite donc au format des séries mais en intégrant aussi les titres commencés en 2012 s'ils se sont terminés en 2013. En ne prenant que ce qui est référencé dans la base encyclopédique et que je connais donc plus ou moins, cela représente quand même un échantillon de 160 séries dont une trentaine toujours en cours de diffusion. 

Pour le classement, j'ai retenu quelques critères, notamment l'originalité et l'effet de surprise, dans un sens ou dans l'autre. Ainsi, une bonne série dont j'attendais mieux a perdu des points face à un titre a priori moyen qui a su tirer son épingle du jeu.

  • Le top

10. Aoki Hagane no Arpeggio

C'est le cas de cet avant-goût de Kantai Collection, qui entame le top 10, parce qu'il est le premier anime en 3D que je supporte en ce qui concerne l'animation et les dessins des personnages, contrairement aux scènes de danse servies dans Love Live ou dans AKB0048. Le réflexe est même de me demander pourquoi le studio Sanzigen est passé à l'animation 3D dans le deuxième épisode d'Aoki Hagane no Arpeggio, alors que c'était déjà le cas depuis le début.

Les scènes de combat marines ont de l'allure, avec un semblant de stratégie, de belles images et une bande originale agréable. Pour le reste, l'univers comporte quelques invraisemblances – comment imaginer les populations des îles survivre pendant 20 ans sans avoir accès ni aux mers ni au ciel - et la quête d'identité des personnages peinent à convaincre mais le scénario tient la route sur 12 épisodes.

9. Unbreakable Machine-Doll

Pour l'originalité des personnages, il faudra repasser, étant donné que nous avons droit au harem réglementaire constitué autour du héros, et aux scènes de fan service à coup de comparaison de mensuration, quand le marionnettiste ne fait pas harceler sexuellement au lit par son propre automate. L'autre lieu commun est le cadre de l'école et le tournoi organisé entre les élèves pour désigner le champion de la promotion.

Malgré tout cela, je classe le titre parmi mes préférés cette année. J'ai sans doute un faible pour les histoires de poupées à la Deus Ex Machina mais l'univers propres à Unbreakable Machine-Doll est  sympathique. Si le personnage principal a la fâcheuse tendance à survivre à tout, son passé présente une facette dramatique et à part le dernier arc un peu poussif, les enquêtes sont agréables à suivre, ainsi que les scènes de combats.

8. Kingdom

On peut faire difficilement plus laid en terme d'animation 3D et même de character design pour plusieurs personnages, qui auraient leur place parmi les mutants d'Hokuto no Ken. C'est dire à quel point le scénario part avec un handicap.

Le début de la première série est un peu morne mais cela tombe bien, parce que la deuxième moitié des épisodes, plus captivante, était en 2013. Nous passons du mode aventure avec quelques protagonistes qui aide l'empereur de Qin à retrouver son trône, à une situation plus inattendue avec des batailles entre plusieurs milliers d'hommes.

Le côté épique où les généralissimes s'affrontent en direct – encore une fois à la Hokuto no Ken – a un côté kitch mais cela passe. Il est question de beaucoup de stratégie, sans oublier les combats plus sournois qui ont lieu dans les sphères du pouvoir au palais impérial.

7. Magi The Kingdom of Magic

La première série avait empiété sur 2013 mais je l'avais fini par abandonner, en connaissant le contenu du manga qui ne m'intéressait pas tellement. J'avais un peu de réticence à reprendre en cours de route avec cette deuxième saison mais celle-ci se révèle plus captivante avec des arcs raccourcis et un riche tableau d'ensemble, qui présente les différentes factions qui se positionnent.

L'anime continue en 2014 et pourra décevoir mais il entre dans mon top 10 pour 2013.

6. Uchû Senkan Yamato 2199

Un des meilleurs titres de l'année, hors catégorie en terme de qualité, avec des sorties au cinéma à la clef en parallèle. Je vous renvoie à la fiche dans l'encyclopédie pour une critique plus détaillée mais une fois passé la bonne surprise de voir ce classique revenir au goût du jour, le scénario m'a paru un peu précipité vers la fin. Il est trop gentil avec ses personnages et nous sommes loin de la dramaturgie – mais aussi de la poésie – du film Saraba Uchû Senkan Yamato Ai no Senshitachi, qui date pourtant de Mathusalem.

Quelque part, le titre est recalé à la 6ème place, plus qu'il ne rentre dans le top 10. 

5. Shingeki no Kyojin

L'Attaque des Titans est a priori le blockbuster de l'année. Je reconnais à Kyoji Asano d'avoir fait un excellent travail au niveau du character design. Pour moi, il est à Hajime Isayama ce que Shingo Araki était à Masami Kurumada pour Saint Seiya.

Après, la série suit gentiment le scénario du manga. La bande annonce nous en a fait voir de toute les couleurs en terme d'animation – les voltiges aériennes s'y prêtent bien – mais les épisodes se sont révélés beaucoup plus classique. Là, aussi, j'ai connu une petite déception.

4. Psycho Pass

Le problème avec les anime de science fiction, c'est que cela peut devenir très superficiel ou bien tellement profond que cela en devient ennuyeux à mourir.

Je trouve que Psycho Pass s'en sort très bien en combinant un univers crédible, un scénario solide et surtout des personnages intéressants, sans oublier l'atmosphère morbide. Je vous renvoie à l'encyclopédie pour un avis plus complet.

3. Shin Sekai Yori

En visionnant les premiers épisodes, vous pouvez classer le titre parmi justement ces histoires de science fiction bien ennuyeuses. En plus les couleurs sont ternes et les personnages pas franchement charismatiques. Après coup, j'ai apprécié les détails sur cette société des hommes du futur, qui passent par des tableaux étonnants, mais il faut vraiment s'accrocher avec en vague ligne de mire un secret à découvrir sur le pouvoir en place. Le côté post apocalypse permet aussi de se tenir éveillé mais ce n'est pas le coeur du sujet.

Finalement le scénario, adapté d'un roman, est une course de fond qui se déroule sur plusieurs années, avant que les événements se précipitent.  Le coup de grâce est apporté par le dernier épisode où le pire des secrets est dévoilé et rend bien futiles les questions du début.

2. Kill la Kill

Quand un studio annonce un nouveau projet avec les retrouvailles du staff de Gurren Lagann, beaucoup de fans se réjouissent en attendant le résultat. Pour ma part, je pensais encore avoir affaire à univers auquel j'aurai du mal à accrocher et donc beaucoup d'appréhension.

Le monde et les développements imaginés par Kazuki Nakashima sont complètement déjantés mais pour une fois, j'adhère complètement alors que dans 9 anime sur 10 de ce genre, je laisse tomber. Une fois habitué à la démesure des scènes, le reste demeure cohérent avec un schéma narratif compréhensible et des personnages qui ont la pêche.

Le charisme de Ryûko Matoi doit aussi y être pour beaucoup. Non, je ne pense pas à sa petite tenue quand elle combat mais plutôt à sa voix, doublée par l'expérimentée  Ami Koshimizu, qui a empilé les second rôles – c'est la voix de Kallen dans Code Geass et celle d'Anemone dans Eureka Seven - et aussi quelques personnages principaux dans voxographie : Maô dans Maoyû Maô Yûsha, Aika dans Aika Zero ou encore Nadja dans Ashita no Nadja.

1. Uchoten Kazoku

Je ne suis pas un fan du film Pompoko même si j'aime beaucoup certaines scènes. Avec Uchoten Kazoku, nous retrouvons les tanukis qui se transforment mais aussi les tengus, qui  dominent les environs.

L'anime ne paie pas de mine avec un scénario minimaliste, où les histoires du passé sont plus intéressantes que l'intrigue du présent. J’apprécie le soin apporté aux paysages et aux décors, ainsi que les élans de magie avec les promenades dans le ciel, mais l'essentiel repose sur les protagonistes et leurs relations pour le moins singulières.

Benten est une de ces femmes énigmatiques et lunatiques, aussi belles que cruelles, avec des élans de gentillesse et de faiblesse. Le personnage principal, Yasaburô, présente aussi un portrait contrasté, entre l'insouciante propre aux tanukis et son opiniâtreté pour surmonter les problèmes. Le plus surprenant est la présence de la mort implacable au milieu de cette farce bon enfant : Le plus courant quand un tanuki rencontre un humain, c'est lorsqu'il est servi dans son assiette pour être mangé !

Voilà pour le top proprement dit, mais je poursuis avec quelques mots sur d'autres anime de 2013

  • Les anime bien à l'entrée du top

J'y trouve sans surprise Tamayura – More Aggressive. C'est bien sans être bien. En fait, c'est surtout très barbant parce qu'il ne se passe pas grand chose, mais certains épisodes sont de vraies merveilles.

Servant x Service est aussi dans le lot alors que le genre humoristique n'est pas du tout ma tasse de thé. J'apprécie en revanche l'évolution de la situation, où la vie au bureau devient le cadre des histoires de coeur beaucoup plus cocasses, notamment quand les personnages sont autant frappadingues.

La saison 2 de Chihayafuru a failli aussi entrer dans le top. L'effet de surprise est parti mais les relations entre Chihaya et Taichi ont pris une nouvelle tournure. En revanche, je trouve que les nouveaux arrivants qui viennent renforcer l'équipe apportent peu, même si chacun à un rôle utile.

  • Les anime certainement bien mais auxquels je n'accroche pas

C'est souvent le style qui me repousse alors que je sais que la licence a du potentiel. J'ai au moins 5 séries dans ce cas : Aku no Hana, Gifû Dôdô!! Kanetsugu to Keiji, Hajime no Ippo The Fighting! Rising, JoJo's Bizarre Adventure et Shirokuma Café.

Cela peut être aussi du au choix de la narration. Dans le genre, je place Kyôsôgiga, Sasami-san@Ganbaranai et Monogatari Series Second Season.

  • Les anime bien mais en fait non

C'est mon paquet de déceptions de l'année, avec en premier lieu Maoyû Maô Yûsha. La plastique de Maô est superbe mais tout le reste est à oublier, à part l'univers, qui avait pourtant du potentiel.

Autre déception avec Robotics;Notes. Ce n'est pas mauvais et il y a des moments forts mais les 22 épisodes semblent trop longs par rapport au contenu de l'intrigue et les deux personnages principaux font franchement pâle figure.

Red Data Girl permettait à PA. Works d'aborder un thème un peu plus mouvementé que dans ses précédentes productions mais là, le jeu d'acteur rend le tout très laborieux, alors que la série fourmille de bonnes idées et que le travail du studio est toujours impeccable pour la qualité d'une série télévisée.

Les visuels de Galileo Donna donnaient envie de voir la série mais le scénario prend l'eau rapidement et se résume à une quête de parchemins. Le parcours est jonché de cadavres pour donner un soupçon d'ambiance noire, mais c'est trop en contraste avec la légèreté des pirates et même l'insouciance des héroïnes. Au lieu de rendre le récit plus prenant, cela le décrédibilise.

Avec Suisei no Gargantia, je suis tombé de plus haut. L'intrigue est pourtant signée par Gen Urobuchi, celui-là même que j'encense pour son travail sur Psycho Pass. Les images sont franchement belles et le tout est très bien fait. Le hic est non seulement le côté trivial du scénario mais surtout le manque de personnalité des protagonistes, ou du moins leur manque de sentiments et de charisme. Ledo ne vaut rien, Amy est effacée et en conclusion, le robot Chamber est le seul héros valable. Triste.

  • Les anime bien mais en fait non puis peut être bien que si

La première saison de Little Busters m'avait rebuté alors que l'histoire sort des producteurs de Clannad, Air et consorts. Avec le volet Refrain nous entrons dans le vif du sujet en seulement 13 épisodes contre 26 pour le premier volet. Les adieux sont longuets mais les moments de boucles infinies ont leur charme dans un monde imaginaire, sur fond de drame dans la vie réelle.

Je suis plus dubitatif avec Kyôkai no Kanata. Kyoto Animation a pondu une série qui met en lumière leur talent d'animateurs pendant les scènes de combat. Parmi leurs précédents travaux Free! Iwatobi Swim Club m'a laissé indifférent, et je n'étais pas entré dans le trip ni de Chûnibyô Demo Koi ga shitai! ni de Tamako Market, alors que j'avais beaucoup aimé Hyôka.

Dans Beyond the Boundary, je suis resté sur ma faim alors que le scénario propose un contenu plutôt alléchant. Les membres de la famille Nase m'ont finalement plus intrigués qu'une Mirai Kuriyama, que je considère comme une anti héroïne, mais l'évolution du personnage d'Akihito Kanbara m'a plu.

Le premier White Album avait formé un triangle amoureux dont le devenir m'avait surpris à la fin de la série. White Album 2 recommence l'exercice avec des lycéens, 10 ans environs après le premier opus. En supposant que vous supportez d'écouter 10 fois la même chanson, il vous reste à suivre l'évolution des relations du trio.

Les dessins et les couleurs sont chatoyantes mais la situation devient de plus en plus un imbroglio. Finalement une conclusion logique s'extirpe du sac de noeuds, un peu au détriment de la surprise justement. Le scénario en dévoile un peu trop après coup, ce qui tue la part de mystère, même si nous aboutissons à un fin nette et sans bavure, qui fait le charme du volet.      

Dans Kakumeiki Valvrave, Sunrise a couplé une histoire classique de mecha avec un phénomène de vampire. Dans le second volet diffusé cet automne, les combats se sont poursuivis mais avec un effort prononcé sur le tragique. Je ne pense pas aux états d'âmes de L-elf, bien saoulant à la longue, mais aux massacres en masse et le coup de la perte de mémoire des pilotes de Valvrave.

J'ai l'impression qu'il y avait suffisamment de personnages pour tenir 50 épisodes et qu'il a fallu raccourcir le tout en urgence mais d'un autre côté, le récit aboutit un dénouement a priori digne d'un bon Gundam... ou pas.

Le premier épisode de Coppelion était en deçà de mes attentes avec notamment des images beaucoup plus statique que ne le faisaient croire les bandes annonces. Le comportement irresponsable du Premier ministre nippon rend le scénario quelque peu grotesque mais le récit arrive tant bien que mal à submerger via les sacrifices des uns et des autres, malgré les bons sentiments qui dégoulinent à chaque sauvetage.

Nagi no Asukara présente un cadre enchanteur avec des humains qui peuvent vivre sous l'eau. PA. Works signe un nouvel anime bien léché, qui suit un groupe d'enfants au collège. Les rixes à l'école avec les gens de la surface et les différentes affaires de jalousie offrent rapidement un aperçu du peu d'ambition des scénaristes.

Heureusement la situation évolue vers des thèmes plus sérieux et un final en feu d'artifice, même si la chaîne amoureuse, où A aime B qui en pince pour C qui ne pense qu'à D, paraît un peu risible. Notez aussi quelques belles scènes ci et là.

  • Les anime a priori bien nuls mais en fait pas mal du tout

Cela me permet de dire quelques mots sur Kamisama no Inai Nichiyôbi. La petite Ai a un air – et le caractère – de Card Captor Sakura mais les aventures qu'elle connaît sont plus intéressantes que son personnage. Tout au long, il est question du rapport ambiguë des humains avec la mort. La subtilité est que les gens ne sont pas immortels mais qu'une fois morts, ils peuvent rester parmi les vivants sans être des zombies. Certains considèrent que c'est le paradis sur terre tandis que d'autres chassent les morts pour le repos de leurs âmes et éviter qu'ils n'entraînent les vivants avec eux. Nous aboutissons à des situations originales et quelques mini-histoires bien trouvées.

Avec un titre à rallonge Yahari Ore no Seishun Love Come wa Machigatteiru, que j'abrège volontiers en Oreigairu, la série sentait bon la nième comédie burlesque scolaire de l'année, aussi vite zappée que vous oubliez son nom complet. Finalement, le concept de garçon gentil couplé à son humour noir et sa posture anti sociale est très rafraîchissante. Avec peu de protagonistes, nous aboutissons à un anime sans intrigue solide mais digne d'une bonne comédie romantique.

En voyant arriver Log Horizon, j'ai pensé voir un ersatz de Sword Art Online. Si leur concept se ressemblent avec des joueurs prisonniers d'un monde virtuel, la comparaison s'arrête là. Log Horizon ne s'encombre pas d'explication rationnelle et à des personnages moins charismatiques que dans Sword Art Online.

Le titre reste dans les séries moyenne visuellement mais son intérêt apparaît ailleurs avec les plans stratégiques de Shiroe qui mène le jeu à sa guise. Peut-être que le scénario s’essoufflera mais il présente un contenu plus attrayant que celui de Sword Art Online, focalisé sur Asuna et Kirito.

Top anime 2013

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Commentaires sur ce billet:

  1. Le 28/12/2013 à 20:13
    Amo a dit

    Ho, pas touché à Gatchaman Crowds et Watamote ?

    C'est mes deux séries préférées de l'année, je suis un peu surpris de pas les voir du tout cité dans l'article :3.

  2. Le 29/12/2013 à 10:49
    Pazu a dit

    J'ai laissé tomber les deux - pas accroché du tout à Gatchaman Crowds et je me suis ennuyé devant le début de Watamote.

  3. Le 29/12/2013 à 22:51
    Dans The Amazing Bilan | Le Chapelier..., il a été dit

    [...] la fin de l’année, et on me dit dans la cullette qu’il est venu le temps du bilan anime de l’année. Sauf que, si vous avez bien suivi mon blog, vous aurez remarqué que je parle beaucoup moins [...]

  4. Le 30/12/2013 à 22:14
    Hikaru-san a dit

    C'est là que je me rends compte qu'il y'a énormément d'animés intéressants que j'ai zappé . Les seules séries que j'ai suivi en entier dans le top 10 sont Kill la kill et Shingeki no Kyojin. Sinon, aucune mention pour la suite de Kuroko no basket ... peut-être en 2014.
    Valvrave mérite bien le prix du nanard de l'année, avec Sekai de ichiban Tsuyoku Naritai pas très loin derrière. De bien belles parodies involontaires !

  5. Le 08/05/2016 à 19:27
    Dans The Amazing Bilan | Le Chapelier..., il a été dit

    [...] la fin de l’année, et on me dit dans la cullette qu’il est venu le temps du bilan anime de l’année. Sauf que, si vous avez bien suivi mon blog, vous aurez remarqué que je parle beaucoup moins [...]

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