Animint

  Anime & manga

 
 
“Animint traite des dessins animés japonais et du manga. Outre ce blog, le site comporte plusieurs milliers de pages de texte illustré.”

Les anime du printemps 2012 (2/2)

Par le :: Découvertes

series , oavs , mangas , 2012 , animes

Voici la deuxième tranche de présentation des anime du printemps 2012, avec mes premières impressions sur Queen's Blade – Rebellion, Shining Hearts - Shiawase no Pan, Eureka Seven AO, Tsuritama, Saint Seiya Omega, Tasogare Otome x Amnesia, Ginga e Kickoff!!, Haiyore! Nyaruko-san, Hiiro no Kakera, Lupin III - Mine Fujiko to Iu Onna, Medaka Box, Nazo no Kanojo X, Sakamichi no Apollon, Saki Achiga hen episode of side A, Hyôka, Jormungand et Natsuiro Kiseki.

badQueen's Blade – Rebellion

Je ne m'attarderai guère sur le scénario, où une nouvelle génération de guerrières fait son apparition, introduites dans des OAVs sorties plus tôt. La recette reste identique, avec des combats qui se succèdent et qui sont autant d'occasion pour mettre en avant les formes plantureuses des personnages féminins, quand elles ne finissent pas les seins en l'air ou toutes nues.

Queen's Blade Rebellion

badShining Hearts - Shiawase no Pan

L'histoire de base est un RPG d'Heroic Fantasy, mais il est nulle question de monstres ni de combats  dans un premier temps : Le personnage principal, Rick, est boulanger et est aidée par trois filles, Amil, Airy et Neris, qui l'aide à vendre son pain, à la boutique ou sur les marchés.

Pendant leurs courses, ils font la rencontre des elfes de la forêt mais leur aventure se cantonne à leur offrir du pain, pendant les 2 premiers épisodes, très tranches de vie et fades. C'est joliment dessiné et les décors sont colorés mais le reste est basique, et n'encourage pas à poursuivre, face au manque d'enjeux.

Shining Hearts Shiawase no Pan

okEureka Seven AO

Le jeune Ao vit seul avec son grand-père à Okinawa et souffre d'être considéré comme l'étranger du coin. Sa meilleure amie est Naru, de santé fragile, mais dotée de pouvoirs spirituels qui lui font craindre une catastrophe éminente. Alors qu'il est de sortie la nuit sur la plage, Ao se retrouve impliqué dans une course poursuite autour d'une livraison suspecte, et dans la confusion, il récupère un des items, mais un phénomène se produit alors.  L'île d'Iwato Jima est envahie par les coraux venus d'une autre dimension et est dévastée par un monstre surgi de nulle part.

La série se présente comme une suite un peu floue d'Eureka Seven, mais la filiation entre Eureka et Ao est posée très rapidement, même si les révélations iront sans doute au compte goutte. La situation est confuse, non seulement à cause de l'ambiance catastrophe, où les événements s'enchaînent au plus vite, mais aussi parce que les forces en présence sont nouvelles et que nous ne sommes pas mis au parfum des tenants et des aboutissants. Par exemple, il faut savoir qu'Okinawa a pris son indépendance vis-à-vis du Japon et que les japonais ne sont donc pas forcément du même bord que les habitants.

Cette suite s'annonce sous de bonnes auspices, avec un schéma un peu trop complexe pour commencer, mais la réalisation est de qualité et réussit à introduire les principaux personnages à la vitesse grand V, en se focalisant sur l'essentiel.

Eureka Seven AO

okTsuritama

Yuki Sanada a le sentiment de se noyer dès que les regards se posent sur lui, et n'est pas des plus sociaux au lycée : Il enchaîne les déménagements avec sa grand-mère et il a fini par se contenter de cette vie itinérante, sans chercher à se faire d'amis. Cette fois-ci, il débarque dans la ville côtière d'Enoshima, et Yuki ne perd pas de temps pour intégrer le lycée du coin.

Cependant, il n'est pas le seul nouvel élève et Haru, qui se proclame extra-terrestre, fait son apparition dans la classe avec uen canne à pêche, et l'entraîne dans ses pitreries. La plaisanterie va encore plus loin, car Haru a élu domicile chez Yuki et sa grand-mère, qui est contente que son petit fils se soit fait un ami. De fil en aiguille, Yuki se retrouve à devoir apprendre comment pêcher et suit les conseils de l'expérimenté Natsuki Usami, un camarade de classe taciturne.

Au niveau visuel, la série du studio A1 Pictures rappelle leur production de la 2ème série de Birdy the Mighty Decode mais l'ambiance joue beaucoup plus sur le dérisoire et l'absurde, à la Men in Black. Le petit plus est l'évolution des personnages coincés qui sortent de leur coquille, mais il est difficile de savoir jusqu'où l'intrigue burlesque va nous mener.

Tsuritama

bofSaint Seiya Omega

Mars, le dieu de la guerre a refait son apparition et vient enlever Saori, la déesse Athéna. Une nouvelle génération de Saints se dresse pour aller la sauver, avec à leur tête, Kôga, le nouveau propriétaire de l'amure de Pégase, que lui a laissé le légendaire Seiya.

Je trouve sympathique de revoir quelques personnages historiques pour la transition, même si les nouvelles aventures concernent la nouvelle génération, qui ré-apprend les bases du combat ou qui remet en question les règles. Je ne pleure pas non plus sur les boites des armures transformées en pendentifs. En revanche, je regrette le dessin des armures, simplifié à l'extrême pour faciliter l'animation. Là, le rôle de la franchise prend le pas sur la qualité intrinsèque de l'anime.

Saint Seiya Omega

okTasogare Otome x Amnesia

Adapté d'un manga éponyme, Dusk Maiden of Amnesia, se focalise sur la relation particulière entre
Teiichi Niiya, un des élèves de l'école et le fantôme de Yûko Kanoe, qui rode dans les anciens bâtiments depuis plusieurs décennies. Comme le titre l'indique, Yûko est amnésique et ignore tout de son passé de vivant. Au lycée, elle tient le rôle de présidente du club d'enquêtes sur les activités paranormales et peut interagir avec les objets.

Teiichi, est l'un des rares à pouvoir la voir sous sa forme de jeune fille. Kirie Kanoe, la petite nièce de Yûko, peut aussi la voir mais en revanche, Momoe Okonogi, la quatrième membre du club, ne perçoit pas du tout sa présence.

Le premier épisode est une bonne introduction à la série, même si la construction en 2 parties qui se répètent est un peu lourde. La suite est une analepse pour présenter la première rencontre de Yûko avec Teiichi, puis avec Kirie. Les éléments paraissent contradictoires entre l'amnésie annoncée pendant le premier épisode et la quantité d'information connue ensuite. La romance entre le lycéen et le fantôme a son originalité, et elle met moins mal à l'aise que l'ambiance zombie de Sankaera.

Dusk Maiden of Amnesia

okGinga e Kickoff!!

Le football est à notre époque ce que le baseball étaient aux années 80 au Japon, avec au moins 3 série en cours sur ce sport. Je m'attendais à friser l'overdose, avec déjà Area no Kishi en cours, mais Ginga e Kickoff!! se démarque. Les protagonistes sont en dernière année de primaire – l'équivalent de notre 6ème – et se doivent de bâtir une nouvelle équipe mixte.

Le personnage principal est un piètre technicien mais est doté d'un sens de l'analyse et de l'observation très aigüe et d'une volonté de fer. La formule est classique mais elle reste efficace.

Ginga e Kickoff

badHaiyore! Nyaruko-san

Mahiro Yasaka échappe de justesse à un monstre mis en charpie par une jeune fille, Nyaruko, qui élit domicile chez lui. Elle est en charge de sa défense et compte bien le suivre à plein temps pour assurer sa mission. En fait, son nom complet est Nyarlathotep, l'un des dieux dans le monde de Cthulhu!

Le concept de départ est amusant, avec les références au monde de Cthulhu, telle que la perte de points de santé mentale, si jamais Nyaruko apparait sous sa forme d'origine. Néanmoins, le récit s’essouffle très vite et les digressions ne diffèrent guère des sempiternelles extra-terrestres qui viennent faire du tourisme sur la Terre

Haiyore Nyarukosan

badHiiro no Kakera

Alors que ses parents sont partis travailler à l'étranger, Tamaki Kasuga poursuit ses études dans un lycée dans la campagne profonde auprès de sa grand-mère. En fait, elle est la descendante de la princesse Tamayori et la prochaine à remplir la charge, qui consiste à veiller sur un sceau d'Onikirimaru, aidée par 5 garçons qui assurent sa protection et dont 4 vont au lycée avec elle. Alors qu'elle vient de prendre ses marques, un groupe d'intrus pénètre dans les zones protégées.

A l'image du visual novel d'origine, les premiers épisodes se cantonnent à mettre en place le harem inversé autour de Tamaki, avant de faire apparaître les adversaires qui s'amusent à tester la garde rapprochée, avant de passer aux choses plus sérieuses. Il n'y a guère d’intérêt, avec les méchants d'un côté et les gentils de l'autre, et pas grand chose d'autres à se mettre sous les dents.

Vous pouvez reconnaître la voix de Tamie Kubota, qui double la grand-mère exactement de la même façon qu'elle doublait Sui Shijima dans Hanasaki Iroha.

Hiiro no Kakera

okLupin III - Mine Fujiko to Iu Onna

La chaîne NTV propose un nouveau téléfilm de Lupin III chaque été, depuis plus de 20 ans. En revanche, il est plus rare d'avoir une nouvelle série et en ce sens, Mine Fujiko to Iu Onna est un événement. Les histoires s'intéressent à Fujiko Mine, la cambrioleuse à la fois partenaire et adversaire de Lupin, et pour l'instant, les premiers épisodes suivent un schéma linéaire, en abordant les rencontres de Fujiko avec chacun des autres personnages, de manière indépendante.

Le dessin prend le parti pris d'un trait qui rappelle les anime des années 80 et la réalisation se focalise plus sur le récit et l'ambiance que l'animation et l'esthétique. Les téléfilms nous avaient habitués à des aventures vécues dans un esprit bon enfant mais là, l'atmosphère est beaucoup plus sombre, soit par la noirceur des sujets, soit par certains côtés implacables des acteurs. Les courses poursuites burlesques avec l'inspecteur Zenigata laissent leur place a des affrontements sans pitié avec des organisations criminelles, même si cela n'interdit pas l'humour et l'auto dérision.

Lupin III - Mine Fujiko to Iu Onna

okMedaka Box

La nouvelle production du studio Gainax est avant tout l'adaptation d'un hit manga, qui se classe parmi les meilleures ventes au Japon. Medaka Kurokami est une fille exceptionnelle, qui a la main mise sur le lycée, en ayant été élue présidente du bureau des élèves, alors qu'elle n'est qu'en première année, avec 98% des voix.

Son credo est d'aider les autres et a mis immédiatement en place une boite à suggestions, qui permet  aux garçons et aux filles de soumettre leurs demandes, pour régler leurs soucis. Pour remplir ces missions, Medaka s'entoure de quelques fidèles, avec en première ligne, Zenkichi Hitoyoshi, son ami d'enfance.

Le système de missions à accomplir à chaque épisode pour faire sa bonne action est quelque peu lourdingue, mais l'anime réussit à accrocher en conservant un fil conducteur, qui va au delà de ces opérations. Les personnages évoluent ou dévoile quelques côtés intéressants ou inattendues. Medaka est par exemple la fille parfaite, avec une aura surpuissante, mais trop forte dans certains cas. Il est amusant de voir aussi ses pics de jalousie vis-à-vis d'autres filles pourtant beaucoup plus en retrait, mais vous devez supporter les scènes burlesques, qui se succèdent entre temps.

Medaka Box

bofNazo no Kanojo X

Mikoto Urabe est une élève excentrique, qui cache ses yeux derrière des cheveux trop longs et qui passent son temps à dormir, en bavant, pendant les inter classes, quand elle ne rie pas aux éclats en plein cours. Son voisin en classe, Akira Tsubaki, est cependant intrigué et l'observe régulièrement. Un jour, il goutte à la bave de Mikoto et le soir même il est pris d'une fièvre inexplicable.

Alors qu'il est alité depuis quelques jours, Mikoto vient lui rendre visite et lui refait goûter sa salive avec son doigt pour faire tomber la fièvre. Elle lui explique qu'un lien existe entre eux et finalement un rituel se met en place entre eux : Ils rentrent ensemble du lycée, et avant de se séparer, Akira a droit à sa ration de salive.

Hormis l'excentricité de Mikoto, nous aurions presque une romance classique avec les premiers émois adolescents, mais le transfert de salive a un côté peu ragoûtant, d'autant plus qu'il prend une place centrale.

My mysterious girlfriend X

okSakamichi no Apollon

Kaoru Nishimi a quitté Tôkyô pour rejoindre la famille de sa tante à Kyûshû, où il débarque au lycée pendant l'été 1966. Bon élève mais avec un caractère rigide derrière ses lunettes, il étouffe facilement parmi les autres et a besoin de s'échapper sur le toit de l'école pour respirer. Il tombe sous le charme de la représentante de la classe, Ritsuko Mukae, mais il noue également des liens inattendus avec Sentarô Kawabuchi, le voyou de service, mais aussi l'ami d'enfance de Ritsuko.

Sentarô est féru de jazz, et par son biais, Kaoru découvre ce nouveau genre de musique pour lui, alors qu'il joue du piano.

La série était attendue du fait qu'elle est dirigée par Shinichiro Watanabe, le réalisateur de Cowboy Bebop et Samurai Champloo, qui est resté discret depuis. Il est peu étonnant de le voir arriver dans un récit, où le jazz est maître et jusqu'à présent, il s'en sort  royalement, en retranscrivant l'ambiance des années 60. Je suis plutôt bluffé par l'impression de réalisme qui se dégage des scènes, au delà  des péripéties inventées.

Sakamichi no Apollon

okSaki Achiga hen episode of side A

Le spin-off de Saki suit le parcours des anciennes amies de Nodoka Haramura, l'une des joueuses de mah-jong dans la série d'origine. Nous la découvrons en primaire avec ses amies, Shizuno Takakamo et Ako Atarashi, en train de jouer au club du lycée Achiga, avant que leurs chemins ne se séparent au collège. Alors que Nodoka réussit à percer dans les tournois individuels et passe à la télévision, Shizuno et Ako décident de ressusciter le club de mah-jong d'Achiga pour participer au tournoi inter lycée et pouvoir affronter Nodoka.  

Le premier épisode est mené de manière magistrale en condensant le parcours des amies d'enfance, avec les différents aléas de la vie, qui les séparent puis les fait se revoir des années après, et les sentiments contrastés qui les accompagnent. La suite est plus ordinaire, avec un cycle d'entraînement puis de tournoi. Le rythme de la série m'étonne un peu avec des scène qui annoncent un affrontement au sommet, qui est en fait expédié en 2 temps 3 mouvement lors l'épisode suivant.

Saki Achiga hen episode of side A

okHyôka

Hôtarô Oreki est partisan du moindre effort et il se montre le plus souvent asocial. A la grande surprise de son – seul ? - ami, Satoshi Fukube, Hôtarô compte s'inscrire au club de littérature, mais uniquement sous l'impulsion de sa soeur, qui craint que le club ne disparaissent, faute de membres. Hôtarô craint les pires représailles s'il ne s'exécute pas, sa soeur pratiquant les arts martiaux.

Le jeune homme pense cependant être tranquille tout seul au club, mais une fois dans la salle, il rencontre une autre recrue, Eru Chitanda, très enthousiaste de participer. Bien que membre du bureau des élèves et déjà inscrit à un autre club, Satoshi se joint aussi au cercle, sans que personne ne le lui demande. Hôtarô va devoir faire avec.

C'est du Kyoto Animation et visuellement, cela se sent, dans le bon sens du terme. La réalisation réussit la prouesse de nous faire gober une histoire, où il ne passe quasiment rien, sans que nous nous ennuyons un instant. Hôtarô est un personnage amusant, avec ses plans à la fois intelligents et si futiles, derrière une carapace impassible. Il invente toute une machination, où il se montre subtil et manipulateur, mais tout ça, juste pour éviter de faire un détour après les cours, tout en évitant de froisser Eru. C'est un peu tôt pour savoir si le récit tiendra la distance sur la durée mais j'ai trouvé ce début excellent.

Hyouka

excellentJormungand

Koko Hekmatyar est une jeune femme au métier atypique : Marchande d'armes. Elle est confrontée à la concurrence ou à des clients capricieux, et doit faire appel à sa garde rapprochée pour régler certaines affaires par la manière forte. Dans cet univers sans pitié, elle embauche Jonah, un enfant soldat.

Vous retrouvez l'ambiance de Black Lagoon, mais sans la présence d'un innocent dans le groupe. Jonah est le protagoniste qui vient de l'extérieur mais c'est déjà un homme de main redoutable. Les  personnages prennent un air détaché mais les cadavres s'empilent tout au long du parcours, entre moult scènes d'action.

Jormungand

excellentNatsuiro Kiseki

Natsumi, Saki, Rinko et Yuka sont des amies d'enfance. Pourtant, au collège, alors que les vacances d'été approchent, rien ne va plus entre Saki et Natsumi. Pour y remédier, Yuka et Rinko invitent leurs 2 amies à venir les retrouver auprès du rocher du temple, là où elles s'étaient déjà réunies 4 ans avant.  

Sunrise ne fait pas que du robot même si le studio a confié les manettes à Seiji Mizushima, le réalisateur de Gundam 00 mais aussi Fulletal Alchemist et Un-Go chez Bones. Le résultat est une agréable surprise, avec un récit peut être banal, mais bien vivant, et des personnages charismatiques.

Natsuiro Kiseki

Discuter de ce billet sur le forum - - Laisser un commentaire »

Cet article vous a plu?

Faites-le connaître ou votez pour cet article sur les sites suivants :

  • anime manga aggregator sama
  • Partager sur del.li.cious
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur Google

Commentaires sur ce billet:

  1. Le 23/04/2012 à 22:50
    Blakbear a dit

    Intéressant, j'en ai noté quelques uns à regarder.
    Une remarque en passant, Hiiro no Kakera était déjà dans la première partie des animés du printemps avec une appréciation un peu plus souriante, c'est au fur et à mesure du visionnage que l'intérêt à baissé?

  2. Le 23/04/2012 à 23:12
    Pazu a dit

    @Blakbear pour Hiiro no Kakera, c'est passé de "bof" à effectivement "insupportable" après les premiers combats ^^;. Je corrige le premier article pour supprimer l'entrée.

  3. Le 25/04/2012 à 15:41
    Carolus a dit

    J'ai vu les deux animes en streaming légal : Tsuritama sur wakanim et Kids on the slope sur la plateforme dailymotion de Dybex (Sakamichi no Apollon).
    J'ai bien aimé le premier. C'est du grand n'importe quoi mais amusant. Les passages où Yuki est victime du pistolet à eau de Haru sont marrants. En plus, il y a un petit coté pédagogique pas déplaisant et même si la pèche n'est pas forcément notre truc.
    Sakamichi no Apollon est un gros coup de cœur pour moi. Je suis tombée sous le charme de l'ambiance, des personnages et de l'histoire.

Ajoutez votre commentaire:

Merci de bien vouloir soigner votre orthographe et de proscrire le style SMS.


Le code HTML est affiché comme du texte et les adresses web sont automatiquement transformées.

 

↑ Haut de page